Celle Qui Changera Midorima ( Midorima x Oc ) [ En correction ]

Épisode 20 : Double entraînement ( partie 2 )

Le lendemain, à peine éveillée, je me tourne dans mon lit, puis je sens une odeur qui m'est familière, c'est étrange, ma sœur n'est pas aussi grande, pourtant les jambes de cette personne dépassait largement les miennes. Mais je faisais quoi déjà hier soir ? Et puis quelle heure il est ?
Je me lève brusquement, paniquée, en tâtant mon épaule, je sens que j'ai bien morflé. Je perçois une faible lumière qui traversait la pièce, je regarde autour de moi, en constatant que j'étais dans le lit de Midorima !!

QUOI ?? NON MAIS JE RÊVE !!

Je hurle tout à coup, angoissée, et sous mon cri, le vert se réveille, en saisisant ses lunettes avant de prendre la parole.

MIDORIMA : Tu te crois où pour hurler ainsi, je te rappelle que ma sœur dort encore !

MOI : Mais je peux savoir pourquoi je suis dans ton lit ?? Lui questionnais-je, les nerfs qui montaient en moi.

MIDORIMA : Tu as la mémoire courte, tu t'es endormie sur moi hier soir, et comme tu ne pouvais plus marcher, c'était plus simple de t'amener chez moi. Ça m'évitait un aller-retour à pieds. M'explique-t-il en se redressant.

Il portait sur lui un tee-shirt rouge, et un caleçon noir, tandis que moi, je suis restée habillée de la veille. Mon dieu l'odeur... et lui a supporté ça toute la nuit ?

MOI : Midorima, il faut que je rentre chez moi, même si on a pas cours, je peux pas rester une minute de plus ici !

Il me regarde sans cesse, j'essaie de marcher mais mon corps refusait encore de m'obéir, donc j'atteris droit au sol.

MOI : Tu aurais pu me ramener chez moi directement sale flemmard !

MIDORIMA : T'es assez lourde comme ça pour moi !

MOI : Tu sous-entends que je suis grosse ?! T'exagères pas un peu là ?!

Le vert ne répond pas et me relève sur son lit.
Je ne comprends pas son action. Il aurait pu me laisser tomber hier soir, ou alors me ramener chez moi, mais au lieu de ça il a préféré que je sois près de lui...ce n'est pas son genre de se soucier des autres, et encore moins de se préoccuper de ses coéquipiers. Il ne pense qu'à lui en règle général...

MIDORIMA : Si tu veux prendre une douche, je peux t'y emmener, mais pour le reste tu te débrouilles toute seule.

MOI : De toute façon je t'aurai jamais demandé de rester avec moi ! Abruti !

Midorima se lève de son lit, et me porte dans ses bras telle une princesse, et il m'a dirigé jusque dans sa salle de bain, qui est immense... il y a une grande baignoire et une douche à côté, il y a un grand meuble à l'extrème gauche, un porte serviette. Bref tout ce qu'il faut dans une salle de bain. J'essaie quand même de me lever, qu'il me pose à terre, dans la baignoire.

MIDORIMA : Si tu as besoin de quelque chose, je serai derrière la porte. Je t'ai déposé des vêtements ici, ça devrait t'aller.

Je ne réponds rien, même si j'avais envie de le remercier au fond.
Il sort de la pièce et à cet instant-là je me déshabille et je prends ma douche le plus rapidement possible. Je parviens tant que mal à mettre un pied devant l'autre pour sortir de cette baignoire.
Je saisis les vêtements que le vert m'a donné et je me suis habillée. Je me dirige donc vers la porte.

MIDORIMA : Tu en as mis du temps ! Se plaint le vert, les bras croisés.

MOI : Tu rigoles ! J'ai été super rapide !

MIDORIMA : Retournons dans ma chambre.

J'acquiesce sans répondre.

Je le suis sans rien dire, ça se voit rien qu'à la grandeur de leurs pièces que c'est une famille de riche.