Destin Aomine X oc

23 ~décalage~

Leur baisé se fit plus rude, plus implorant, ils se dévoraient comme si, quand leurs lèvres rompraient contact, tout aurais changé à jamais.

Aomine avait, en ce qui le concerne, une opinion de la chose toute autre.

C'était bon, c'était excitant, et quand ce serait fini, ce sera simplement du passé.

Lui, voulait simplement profité de l'instant présent.

Car il savait que ça pouvait s'arrêter à n'importe quelle moment.

Alors il profitait de chaque parcelle de ça peau douce et si clair que sous les doigts du bronzé elle paraissait presque translucide.

Son corps ferme aux formes généreuse était au goût du beau brun et il ne put empêcher son regard de dérive vers les deux excroissances de peau qui commençaient à pointés sous le t-shirt fin que portait la blonde.

Il lâcha ces mains et en quelques instants seulement la situation se retourna complètement.

Ayano passa au-dessus du bleu et se mit à califourchon, mêlant leurs chaleurs l'un à l'autre.

De ce fait leurs lèvres c'était décollées l'espace d'un instant histoire de pouvoir bouger convenablement.

Mais quand la blonde voulu revenir à la charge.

Il la repoussa, sans faire exprès, d'instinct.

Ayano se stoppa. Comme si elle était en trans elle venait de se reconnecter à la réalité. Haletante, les joues rouges, les lèvres gonflés ,les cheveux ébouriffés.

Ce fut à ce moment précis que Le Brun ce dit qu'il n'y avait pas plus belle vision que celle-ci,cette fille, à côté de lui, dans ce lit.

Ils se levèrent et firent comme si de rien n'était, comme si rien ne c'était passé, ils prirent le petit déjeuné en parlant de tout et de rien, de sujets complètement erronés.

Ils s'habillèrent puis c'était le moment de partir pour le grand basketteur, sur le pas de la porte il se pencha légèrement pour pouvoir dire au revoir à la petite blonde.

Mais il n'eut pas le temps car elle s'empressa d'entourer la taille du brun dans un étreinte douce.

Il lui rendit légèrement, mal à l'aise, puis partit en secouant la main par dessus son épaule.

C'était son petit en revoir bien à lui, et dés les portes des escaliers passées il reprenait son air nonchalant habituel comme si leur petit moment rien qu'à eut n'avait pas existé pourtant, pour rien au monde il ne l'aurait effacé de sa mémoire.

Je suis fière car je voulais écrire un chapitre sans paroles et je le trouve plutôt réussi.

Voici donc la fin de cette incartade forte en rebondissements, premier baisé, premiers moments, début de leur destiné à deux.

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