Je continuai de toutes mes forces à ne pas arrêter de courrir, mon souffle fût tellement saccadé que je n'arrivai même plus à reprendre mon souffle.
Une fois encore, la peur me saisissait
car je su qu'ils me ratrapperaient.
C'est impossible, j'avais un bon 500 mètres d'avance. Comment ils pouvaient courrir aussi rapidement ?
-Les hommes en costumes-cravates : Mademoiselle arrêtez vous, s'il vous plaît !
Pour une fois que l'on me respectait ici ! Mais je refusa de m'arrêter, car je refusais de rester dans cette villa maudite ! Je continuai à m'enfoncer dans la forêt.
Avec tous ses arbres, le ciel se faisait absent...
-Dereck: Allez les mecs, plan B gogogogoogogo.
-Ma conscience : De quoi plan B il se croit dans 007 où quoi ?
-Eve: Court toujours Conn.... Dis-je
Mais je fus plaquée contre un arbre.
-Dereck : Je t'avais dit d'arrêter de me parler comme ça ! Alors maintenant arrête de te débattre et mets tes poignets derrière le dos, c'est un ordre !
Je me débattis puis mis quelques seconde à réfléchir, je pourrai lui mettre un coup de préssion, il croira que je me calmerai et hop j'en profiterai pour me barrer.
Donc j'appliqua mon idée et j'arrêta alors de me débattre.
-Dereck: C'est bien, tu obéïs enfin ! Dit-il
Je sentis le froid du métal sur mes poignets.
-Conscience: Non mais attends ! Il est en train de me mettre des menottes ? Et si je me barre comment je ferai pour les retirer ?
Puis j'appliqua mon plan et me debatit d'un seul coup, Dereck n'eu même pas bouger d'un millimètre.
-Dereck : maintenant fait demi-tour et on rentre, dépêche-toi.
-Eve : Non je ne bougerai pas ! Je fais ce que je veux !
-Dereck : et maintenant tu fais la capricieuse ! Dit-il
-Eve : Pourquoi tu pouvais pas simplement me demander de dégager de ta baraque de merde ! J'veux pas rester et d'autres filles serait contentes de me remplacer... Dis-je en me plaignant.
-Dereck : J'ai pas à me justifier sur ce que je dis ou fais comme choix, maintenant avance, ou sinon je te porte ! Et tu le sais très bien que j'en suis capable.
Je ne voulais plus me faire porter encore comme un sac à patate.
-Eve : D'ACCORD!
Puis je marcha jusqu'au retour.
Dereck me maintenait les mains tous le long du retour, puis quand on arriva juste devant la maison de mer**, j'entendis un cri strident et me retourna pour savoir d'où venait ce bruit... Il venait du fond de la forêt, c'était le crit d'une fille. Et mon cerveau fit tilte ! C'était peut être bien Lara? Oh mon dieu !
-Eve : il faut aller sauver LARA ! criai-je
Je commença alors à me débattre et les hommes en costume cravate me maintenèrent en place. L'un d'eux sortie un mouchoir blanc et il me le plaqua sur le visage. Le produit puait horriblement et je sentis mes paupières ce fermer tous seuls. Et j'eu le temps de dire :
-Eve : Fais.... chier.... Chuchotai-je
-Dereck : Salut la chieuse ! Dit-il en me faisant un signe de la main.
Quel conn**D.
Puis je m'évanouissa.
Le soir
Je me réveilla difficilement, je ne reconnu même pas l'endroit. Il n'y avait pas bcp de lumière. Mais je me leva du sol et avança à tâtons.
Et là je sentis des barres de fers...
-Ma conscience : Je suis emfermée dans une prison ! C'est une blague là j'espère ?
J'entendis deux hommes qui faisait certainement le gai et d'un seul coup la lumière s'est allumé.
Un des deux hommes : Elle est réveillée ça y'est. Dit-il
Ma conscience : Mais comment il peut savoir ça ?
Alors je décidai de me rallonger pour faire semblant que je dormais.
Une voix qui m'était familière se fit entendre : Dereck.
-Dereck : Te rallonge pas ma belle ça sert à rien ! J'entends ton cœur qui bat à tout rompre. Dit-il
Mais je continua à faire semblant.
Les hommes ouvrirent ma cellule et Dereck entra.
Il s'accroupissa tout prêt de moi et repoussa mes cheveux de ma nuque.
Je me leva d'un seul coup mais il me plaqua au sol de manière ferme.
-Dereck : Bon je vais être gentil ! Tu dois être coopérative et arrêter de te barrer quand t'en a envie ! Crit-il
-Eve : Je suis prisonnière ici ! Tu crois que je vais me laisser faire comme t'es pouffiasses qui sont à tes pieds ?! Tu as rêvé mon pti !
Dereck renifla si fort qu'il ne pouvait me cacher son énervement.
Dereck :Je t'avais prévenu ! Et ne crois pas que ton séjour en prison ne dura qu'une nuit ! J'ai envie que tu souffres, que tu cris !
Il s'approcha de moi dangereusement. Je remarqua que ses yeux avait encore une fois changé de couleur. Ils étaient rouges comme les Alpha dans teen Wolf (j'avais vraiment du mal à croire que cela se passait dans la vraie vie) , et il respirait comme un animal enragé...
Dereck se stoppa me fixa dans les yeux, une douleur m'envahit subitment comme des milliers d'aiguilles qui lacéraient chaques centimètres de ma peau.
Attend c'est un vampire, loup-garou et sorcier ?????? Comment je vais faire moi pour m'en sortir vivante ?!
Eve=ARRÊTE ! S'IL TE PLAIT, ARRÊÊÊÊÊÊÊÊTE ! J'EN PEU PLUUUUUUUUS!Criai-je
Les douleurs s'estompa aussitôt, mes joues étaient remplies de larmes. Mes genoux aux sols, je releva la tête vers lui et je ne le reconnu plus. Une telle rage s'étaient épris de lui. Je craignais le pire.
Il se retourna et parla à un des ses hommes.
Dereck : Appelez Zahk, il lui fera comprendre la chance qu'elle avait il y a 24 heures ! Dit-il calmement.
Un des hommes qui étaient postés devant ma cellule crasseuse fit une grimace comme de la pitié. Puis s'éclipsa...
Dereck sorti de ma cellule et parti lui aussi en me lâchant un regard des plus haineux.
Quelques secondes après ce regard ma haine remplaça ma douleur et je me leva avec difficulté pour me rapprocher des barreaux noire d'acier.
Eve: J'EN AI RIEN À FAIRE DE TES MENACES ! TOUS CE QUE JE SAIS C'EST QUE TUUUUUU VAS VITE LE REGRETTER ESPÈCE DE CON****!TOUS CE QUE TU MÉRITE C'EST DE MOURRIR ESPÈCE DE MONSTRE !!! vociférai-je en pleurant.
Il ne répondit point et parti comme un lâche.
Je décida de m'asseoir contre le mur dans un coin et m'assoupie.
Quelques temps après, je ne sais pas combien de minutes, ni d'heures qui se sont écoulées car j'avais perdu la notion du temps depuis un bon moment. Deux "esclaves" de Dereck rentrèrent dans ma cellule. Il y avait la fameuse fille qui m'avait aggréssée dans la chambre de Dereck et avait d'ailleurs un sourire malicieux. Et l'autre était une de ses potiches qui n'avait rien d'autre à faire que de faire comme l'autre fille.
C'est une blague, il veut me pousser à bout ou quoi ? Il pouvait pas demander à quelqu'un d'autre ?!
La fille méchante : Allez lève-toi sac à merde. Dereck, mon roi m'a donné un ordre alors ce serait bien que t'obéïsse !! En plus ça pue ici ! Je vais vomir sur toi si tu te dépêche pas ! Dit-elle en rigolant.
Je n'avais aucune force alors je restait assise contre le mur. Malgrès mon envie de lui asséner un poing dans sa figure de pé**sse.
La fille méchante : LÈVE TOI IMMÉDIATEMENT ! Cria-t- elle en me tirant les cheveux.
L'autre fille me prit par le bras pour me soulever. Tandis que la pimbèche me tirai les cheveux pour me soulever.
Je couina en me levant. Mes jambes étaient de vrai flageolets....
On sorti de la cellule et on avança dans le couloir sombre. Tandis que la pimbèche souriait face à mon sort.
Je me traînai de plus en plus.
Tandis que ma vue commençait à se brouiller, je sentis que l'on tournait à droite dans une pièce froide, encore plus froide que ma cellule. Puis une des filles m'assit sur une chaise métallique l'autre m'atacha les poignets sur les acoudoires de la chaises métalliques.
Je commençai alors à retrouver ma vue doucement. L'odeur du sang emplissait la pièce. Ça me donnait des hauts-le-cœur.
Les filles s'assirent en face de moi sur des chaises pliantes métalliques.
La péta**e: Tu vas souffrir moi je te le dis ! Rigola-t-elle.
D'un seul coup la porte s'ouvrit dans une telle force que la porte claqua contre le mur et le fissura.
Un homme très grand, très costaud. Il avait le crâne rasé, des tatouages dans le cou. Ses tatouages disparaissaient sous son tee-shirt troué. Il y avait écrit sur son tee-shirt "pain is my favorite hobby" ce qui veut dire en français "la souffrance est mon passe-temps préféré."
Ma gorge se noua et le stresse m'envahit. Un stresse familier qui était souvent présent quand mon père me rouait de coup.
-Zahk: ICI IL N'Y A QUE MOI QUI DÉCIDE QUI DOIT SOUFFRIR ! Cria-t-il en direction de la pimbèche.
Son visage devenu blanc et c'est à partir de ce moment là que je vis son vrai visage. Elle avait l'air fragile.
Zakh se rapprocha dangereusement de la fille et lui assena un gifle si puissante qu'elle vola au bout de la pièce.
-Zahk: ÇA T'APPRENDRA À FAIRE LA MALIGNE MORGANNE ! Cria-t-il.
A cette seconde j'avais appris deux choses, d'une cette fille s'appelait Morganne et de deux, Zahk était tous sauf humain.
Il se tourna vers moi et je vis son visage monstrueux rempli de veines noires ressortant sous ses yeux. Et des yeux jaunes fluorescent comme les loups-garou.
J'entendis un sanglots.
Ce n'était pas les sanglots de Morganne mais bien les miens.
Vais-je survivre ?
Mon cauchemard se répétait encore...
Comment allai-je faire pour m'en sortir ??
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Voilà !
Bonne semaine à vous !
Suite au prochain épisode
Bisouuuus 💋
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Trybride®
WerewolfEve, une jeune femme ordinaire va faire une rencontre des plus étranges. Alors qu'elle croyait que les vampires, les loups-Garou et les sorcières ne se trouvaient que dans les contes imaginaires, elle va découvrir que toutes ses créatures peuvent se...