Coucou,
Je prends la parole aujourd'hui parce que je réalise que j'en suis (déjà) au 15ème chapitre ! Merci à celles et ceux qui prenne le temps de lire l'histoire, j'espère qu'elle vous plaît...
J'écris au fur et mesure et je m'éclate ! N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, c'est important pour moi :)
En tout cas je risque de beaucoup publier dans les jours qui viennent parce que j'ai été placée en quarantaine suite à une détection positive du Covid-19... Grace à Dieu je vais bien, mais s'il vous plaît, continuez à faire attention à vous et vos proches. Je sais que c'est l'été, il fait beau, il fait chaud, mais le virus circule toujours... alors plus que jamais respectez les geste barrières.
Voilà je vous embête pas plus et je vous laisse avec la suite !Enjoy :)
Maddie
J'enchainais incompréhensions sur incompréhensions. Mon cerveau est complètement embrouillé maintenant. Tout ceci me semble irréel. D'abord l'enlèvement, ensuite le rapport avec mon père que je ne comprends toujours et surtout sa présence. La coïncidence était quand même difficile à croire. Et pourtant tout ça est bien vrai. Et même si j'étais terrorisée, je me suis fait la promesse d'essayer d'être forte. Il le fallait.
Ma tête me fait horriblement mal, j'ai tellement pleuré que la migraine qui me lancine la boîte crânienne n'est pas prête de me laisser tranquille.Il est venu me voir deux fois dans cette cellule froide et humide. La première fois, il est arrivé juste à temps avant que ce violeur ne me malmène. Et la deuxième, c'était pour me parler de ... de quoi déjà ? Comment il avait appelé ça ? Le M quelque chose je crois... J'avais rien compris. La vérité c'est que jamais je n'ai eu autant peur de quelqu'un. Quel contraste avec le souvenir que j'avais de lui hier soir. Je me revoyais chercher son regard, je crois même que je voulais le charmer. J'en frissonnais de dégoût. Si j'avais su que ce visage angélique et ces yeux enjôleurs appartenaient à un criminel...
Il était parti, j'avais pas vraiment compris ce que lui avait dit l'autre gars, ils parlaient toujours dans cette langue étrangère dont j'étais sure que c'était de l'italien à présent. Mais j'étais certaine aussi qu'il y avait un problème. À la façon dont son visage s'était assombri et qu'il avait disparut dans le couloir. Moi je ne pleurais plus. Leur montrer que j'avais peur allait me rendre vulnérable. Je me suis levée de ce lit de camp défoncé et je m'approchais de le grille, je voulais comprendre ce qu'il se passait. Je n'ai pas eu le temps d'y arriver qu'il était déjà revenu. Son visage déformé par la rage m'a donné des sueurs froides dans le dos. Il avait mis un gilet pare balle et portait une arme de guerre contre son épaule. De la main gauche il me jeta un vêtement et m'ordonna de l'enfiler. En me saisissant de l'objet je réalisais que c'était un gilet pare balle aussi. Je ne comprenais pas... ma respiration avait de nouveau accéléré et je commençais à ressentir toute l'urgence de la situation. Il a commencé à perdre patience alors il m'a brutalement arraché le gilet des mains et me l'a enfilé de force. Je le regardais s'activer à la tâche, concentré. Il remonta la fermeture éclair sur ma poitrine et je n'ai pas pu m'empêcher de frissonner. J'en ai immédiatement voulu à mon corps pour cette trahison et j'ai sentis mes joues brûler quand j'ai vu qu'il l'avait remarqué. Il a planté ses yeux bleus dans les miens et il a arqué son sourcil noir l'air ... amusé ? J'étais incroyablement gênée. Putain Maddie c'est un putain de psychopathe ! J'ai détourné le regard, fuyant le sien qui s'était maintenant voilé de noir.
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Les princes de la ville
RomanceQuand on est la fille d'une des plus riches familles de Manhattan , la vie est souvent synonyme de luxe et d'excès. Mais entre démesure et insouciance il n'y a parfois qu'un pas. À l'aube de ses 21 ans, Maddie sera forcée de constater que derrière...