𝟎𝟎𝟑. 𝐂𝐇𝐀𝐏𝐓𝐄𝐑 𝐓𝐇𝐑𝐄𝐄

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SEATTLE – WASHINGTON.
LILIAN CORMONT.

     JE SENTAIS QUELQU'UN me secouer doucement l'épaule gauche ce qui me réveille. J'inspire profondément avant de m'étirer et regarder qui me réveille. J'avais complètement oublié ce qu'il se passait en ce moment, je soupire avant de faire un demi-sourire à mon père qui sort de la voiture une fois sure que je sois réveillée. Je m'étire avant de sortir de la voiture et regarder la maison, le quartier était rempli de maisons qui étaient presque tout pareils à quelques détails près. La plupart étaient blanches avec des grandes fenêtres et un extérieur joli et unique pour chacun. Pour mon père,  c'était une maison blanche avec les fenêtres au contour noir, la lumière du jour passait facilement, il y avait quelques lumières à l'extérieur, certaines dans le sol près du garage, d'autre collé au mur. Il y avait aussi des rosiers planté près de la porte d'entrée, mais rien d'extraordinaire, cela m'impressionnait venant de mon père.

Allez tu viens ? Me sort-il de mes pensées.
– J'arrive.

Je regarde autour de moi encore une fois pour être sûre et je rentre dans la maison. La maison n'avait rien à voir avec celle de ma mère à Paris, ça me changeait beaucoup. Les meubles étaient parfaitement disposés dans chaque pièce les meubles étaient principalement blanc, d'une couleur qui attiré la lumière en tout cas, je ne savais pas où donnait de la tête tout avait l'air confortable et high-tech.

Impressionnant n'est-ce pas ? Me dit mon père qui pose mes sacs à côté d'un des canapés du salon.
– Ça change de chez maman. C'est moins... vieux si je peux me permettre. Je dis en touchant le canapé.
– J'ai travaillé dur pour ça, il regarde sa montre métallisé qui avait l'air de valoir chère, je vais devoir y aller ma chérie, je te laisse visiter la maison si tu as des questions sur comment te servir de quoique ce soit tu m'envoies un message je te répondrais au plus vite. Pour te repérer pendant ta visite, ta chambre se situe juste en face de la salle de bain. M'informe t-il avant de remettre correctement sa cravate.

Il s'approche de moi en posant sa main à l'arrière de ma tête et embrasse mon front délicatement. Je fais un petit sourire avant de lui dire au revoir de la main tandis qu'il ferme la porte sans la claquer. J'enlève mes chaussures que je jette devant la porte d'entrée près des autres chaussures que mon père possédait et j'enlève ma veste que je plie et pose sur le canapé gris. Par où commencer ? Pensai-je en posant mes mains sur mes hanches.

Après tout, ici il n'y avait rien de plus à regarder au rez-de-chaussée, il y avait le salon, la cuisine et la porte du jardin au loin, je m'aventure vers le fond de la maison pour voir comment c'est et je vis une porte à ma droite, je l'ouvre et je vis un bureau. Mon père doit sûrement bosser à la maison par moment, je la referme aussi tôt que je l'ai ouverte et je vais regarder comment est le jardin et à mon étonnement il n'était pas si grand que ça, il y avait une petite terrasse simple avec un barbecue, des transats dans l'herbe et un grand arbre, mais rien de plus. 

Mon père est seul alors pourquoi avoir plein de choses dans le jardin ?

Je retourne à l'intérieur et je vais à l'étage, l'endroit le plus intéressant pour moi. Je monte les marches deux par deux avant de visiter chaque pièce qui existait ici. La première porte près des escaliers était la chambre de mon père qui était rangé avec le lit fait, des tenues de travail étaient aussi sur le côté de son lit. Je referme la porte en marmonnant un « pas important », je vais un peu plus loin et j'ouvre la deuxième porte et je tombe sur la salle de bain, je regarde vite fait, mais mon esprit savait que la porte en face était ma chambre alors je me presse limite, je regarde juste d'un coup d'œil sans faire attention à quoique ce soit et je cours ouvrir la dernière porte de l'étage, ma chambre.

𝐓𝐇𝐄 𝐂𝐑𝐔𝐒𝐇 - 𝐕𝐈𝐍𝐍𝐈𝐄 𝐇𝐀𝐂𝐊𝐄𝐑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant