Chapitre 21 : Demons

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Note de l'auteure :

Bonjour à tous !

 Je tenais à remercier encore une fois tout ceux qui m'ont laissé des commentaires, qui vote, qui me suivent, et tous les lecteurs en général. Vraiment un grand merci d'avoir fait ce voyage avec moi.

Voilà, nous y sommes, le dernier chapitre de cette histoire. Après ça, vous pouvez officiellement considérer que vous avez terminé cette lecture.

Mais, pour ceux qui  sont encore un peu curieux, j'ai un nouveau projet en préparation, quelque chose qu'une amie m'avait suggéré il y a quelques années, et que l'on pourrait considérer comme un tome 2.

Non, ce n'est pas une suite. C'est simplement la même histoire, écrite du point de vue de Clarke. Le texte n'est pas encore passé en beta-lecture, alors il va falloir patienter un peu, mais il n'a jamais été aussi près d'arriver. 

Il est aussi très possible que je fasse un chapitre bonus, quelqu'un m'a fait remarquer qu'il manquait quelque chose entre les chapitres 4 et 5. Alors j'y pense. Bref, n'hésitez pas à me suivre pour les updates.

En attendant, je posterais mes anciennes fic, et surtout (je l'avais oublié), une petite nouvelle que j'ai écrite l'an dernier, toujours sur le couple Clexa.

Alors à très vite, et je vous laisse à votre lecture.

F.

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Le médecin rentre encore une fois, seringue en main. Trois petits flacons remplis de liquide rouge sont déjà posés sur la table à côté du lit où je suis étendue. Je ramène mon bras vers moi d'un geste défensif, et promène mon regard à la recherche de mon père. Il est dans la pièce, un peu plus loin, parlant à une infirmière.

Je m'apprête à protester alors que le médecin s'approche, mais il passe sans m'accorder la moindre attention. Et quand mon père se retourne, je découvre mon petit frère, tout juste âgé de quelques semaines, dans ses bras.

Mon cri de détresse est étouffé car ma voix semble ne pas avoir servi depuis longtemps. Je tousse un peu quand j'essaye de parler, et tente d'arracher les patchs qui me relient par des fils à ces ordinateurs. Je ne veux pas qu'ils fassent la même chose à mon petit frère.

Mon père s'installe à mes côtés, Aden n'est plus dans ses bras. Par-dessus son épaule, je l'aperçois dans les bras de l'infirmière, le docteur est en train de l'examiner.

- Chuuut Lexa, calme-toi. Qu'est-ce qu'il ne va pas ?

- Je ne veux pas qu'ils fassent du mal à Aden !

- Voyons Lexa, les docteurs ne font pas de mal.

- C'est moi qui suis malade, pas lui ! Il ne faut pas faire ça.

- On doit vérifier si Aden n'est pas malade lui non plus, Lexa, ne t'inquiète pas.

Je continue à m'agiter, mon père me repousse au fond de mon lit, et fait un signe à quelqu'un derrière moi que je ne vois pas. Tout à coup, je sens mes muscles se relâcher, la tête me tourne un peu, et je fini pas me reposer sur les oreillers blancs, avant de plonger dans un sommeil sans rêve. Malgré l'état apathique de mon corps, mon esprit est pourtant toujours vif, et ne peut s'empêcher de trembler en entendant le premier cri de panique du nourrisson.

I was nineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant