ONE-SHOTS BOOK • ʰᵃʳʳʸ ᵖᵒᵗᵗᵉʳ

Remus Lupin

Voilà pour toi DamiLeBoss!

J'espère que ça te plairas et j'espère que ça conviendras à tes attentes :)

/*/*/*/*/*/*/*/*/*/*

J'étais heureuse, malgré la guerre, je l'étais. Il y a maintenant un an et demi, que je sortais avec l'un des maraudeurs. Remus Lupin. Les débuts avaient, pourrait-on dire été compliqués, mais cela était derrière nous. Faisant partie de la maison Griffindor, je représentait au mieux les qualités de ma maison. J'étais courageuse, loyale, forte et intelligente. Je savais que je devais réussir dans mes études pour après pouvoir m'en sortir dans la vie. Ma famille n'était pas pauvre, mais l'on ne roulait pas non plus sur l'or, je savais qu'il fallait que je trouve un emploi bien payé et cela depuis toute petite.
Mais ce n'est pas le moment pour parler de cela, ils nous restaient encore du temps, environ un an avant de nous décider.

Assise sur une chaise de ma salle commune, je faisais mes devoirs. J'avais un devoir en potion particulièrement compliqué à rendre cette semaine. Cela faisait plusieurs jours que j'allais à intervalle réguliers à la bibliothèque pour faire des recherches. Lily m'avait d'ailleurs beaucoup aidé sur ce point là, mon amie connaissait presque toute la bibliothèque par cœur. Elle aurait sut me retrouver un livre, même au fin fond de cette pièce.

Je sentis une main se poser sur mon bras et je releva la tête. Mes yeux tombèrent sur Remus et un sourire vint automatiquement orner mon visage. C'était fou tout ce que l'amour pouvait nous faire et nous faire faire. Je le regarda et attendit finalement qu'il parle.

-T/p, sourit-il un peu hésitant, est-ce que l'on peut parler ?

Inquiète que se soit grave, je le suivis. Remus m'emmena en dehors de la salle commune et je fus d'autant plus inquiète. Ce n'était pas qu'il ne quittait jamais la salle commune, loin de là, mais c'était à cause du fait que se soit assez important pour que cela nécessite de la quitter. Même si elle n'était pas du genre à se laisser faire sans rien dire, avec des personnes proches, comme Remus ou encore Lily, elle pouvait changer de caractère et être un peu plus émotive, même si elle n'était pas non plus une armoire à glace.
Remus se dirigea finalement vers la salle sur demande, que j'avais découvert par hasard un soir. J'en avais ensuite fait part aux Maraudeurs et ceux-ci avaient finalement découvert le pourquoi du comment cette pièce était apparue de nul part. Il passa devant trois fois et une porte apparut, comme à son habitude. On entra dans la salle et je fus presque surprise de voir la parfaite réplique de la salle commune des Gryffondor, que l'on venait tout juste de quitter. Je m'assis sur l'un des canapé pres du feu et Remus en fit de même. J'avais l'impression que quelque chose me tracassait mais je n'arrivait pas à mettre la baguette dessus. Pourtant, il y avait plein de choses sur lesquelles Remus pourrait réfléchir, mais aucunes ne me paraissait plausible à ce moment là.

-T/p, je voulais savoir si... Enfin estcequetuesd'accordpourallerauvalavecmoi ?

Bien que j'y mette tout les efforts possibles pour comprendre ce que Remus venait de me demandé, cela ne fuit visiblement pas suffisant puisque je ne compris pas un traitre mot de ce que le maraudeurs venait de lui dire.

-Pardon mais... Je n'ai pas compris ce que tu m'as dit, fis-je dans un sourire rassurant.

Remus me regarda dans les yeux et inspira un grand coup avant de répéter, cette fois, intelligiblement.

-Est-ce que tu es d'accord pour aller au bal avec moi ?

À cette question, je fronça des sourcils. Est-ce qu'il était vraiment sérieux ? Il paraissait l'être en tout cas.

-Mais... Avec qui d'autres veux-tu que j'y aille ? Bien sûr que je viens avec toi !

Je vis Remus ouvrir la bouche mais finalement la refermée. Il semblait soulagé et coupable dans un sens, bien que je n'arrive pas à détenir pourquoi. Je savais qu'il était plus calme que ses amis et avait tendance à les frêner sur certaines blagues, mais je ne savais pas pourquoi il semblait comme coupable à chaque fois que je me trouvait avec lui. Je ne lui avais rien fait, ou alors pas intentionnellement.