𝕏𝕀

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𝕏𝕀.

𝕃 𝕐 𝕊 𝔸 ℕ 𝔻 ℝ 𝔸

— Arrête toi ! Kratos arrête toi !

Il se retourne juste au moment où il allait entrer dans sa voiture.

— Pou... pourquoi tu fais ça ?!

Il détourne le regard avant de me zieuter sans sciller.

— Je la veux pas.

KRATOS - ...

Je sais pas pourquoi, je me suis mise à pleurer encore en parlant.

Je perds mes moyens. Pourquoi il agit comme ça ? Pourquoi il me laisse pas juste partir et il continue sa vie où il la laisser ? Avec sa nouvelle go.

— PARLE !

KRATOS - ARRÊTE DE GUEULER ZEBI ! J'TE RENDS LA BAGUE PARCE QUE Y A PERSONNE D'AUTRE QUE TOI QU'AURAIT DU LA PORTER !

Je lâche un de mes rires venimeux habituel.

— Laisse-moi rire stp. Tu lui as donné et maintenant tu veux genre me la rendre ? Je suis quoi moi, ta poubelle ?

KRATOS - Arrête de dire des dingueries comme ça. J'te la rends parce que j'ai été con de la lui donner. Elle t'appartient.

— Mh. Elle nous appartenait mais encore une fois t'as niqué ma confiance, j'ai pas envie de reprendre cette bague. Fous la au feu, fous la là bas avec moi et nos souvenirs.

Il ouvre grand les yeux en serrant les poings.

KRATOS - Y a un truc que tu piges pas. C'est que j'vais pas t'laisser partir tu captes ? Peu importe si y nous faut encore six ans. Rentre ça dans ta putain d'tête.

— Et moi j'veux plus d'toi tu captes ?!

Sans faire exprès, on s'est rapproché, au point où nos fronts se sont retrouvés à un mètre l'un de l'autre.

KRATOS - J'vais... hessoul. J'arrête de parler.

— Et de me suivre aussi ce serait pas mal. J'en ai marre de te voir là ça fait trois fois, c'est trop pour moi.

KRATOS - *rire* Hm.

Il n'ajoute rien et monte dans sa caisse mais avant qu'il ne ferme la portière, je lui hurle dessus.

— KRATOS RÉCUPÈRE TA PUTAIN DE BAGUE !

Il claque la portière et démarre sans même me donner mon reste.

— Enflure de tes morts.

... - Excusez-moi Mademoiselle, vas-t-on continuer à assister à vos scènes de ménages avec votre mari ou bien vous allez enfin régler tout cela ?

Je me retourne en sursaut vers une vielle dame qui est dans son jardin.

— C'est pas l'heure d'aller laver votre dentier vous ?! Fichez-moi la paix, crachai-je à bout de nerfs avant de décamper chez Ginevra.

MADAME KRATOSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant