𝕷𝖆 𝕻𝖔𝖚𝖕é𝖊 𝖊𝖙 𝕷𝖆 𝕽𝖔𝖘𝖊 𝕽𝖔𝖚𝖌𝖊 " TAEKOOK "

Chapitre 7 : La haine de la Poupée

🥀 Mon rythme cardiaque bat dans mes oreilles : bump, bump, bump. 🥀

Bonne lecture,

PDV DE JUNGKOOK :

Moi : Allez, tuez-les tous, sans exception ! "criais-je."

Je vois mes hommes courir pour pénétrer dans la maison de ce traître.

Moi : Jimin, prends ta position, vite !

Moi : SUGA, SUIS JIMIN !

Je les observe courir, tandis que moi, j'entre par la porte d'entrée calmement. Il m'a fait mal, mais je vais le tuer, ce chien.

Je monte les escaliers pour atteindre l'étage. En entrant dans son bureau, je le trouve assis sur son fauteuil.

Moi : Tu sais, Jay, tu es vraiment bête. "Je rigole."

Jay : Ce n'était pas mon but, JK, je te le jure.

Moi : Arrête de mentir. "Je souffle."

Jay : JK, tu sais très bien que je ne t'aurais pas mis dans ce plan. Tu connais mes sentiments envers toi, je n'oserais pas faire ça de mon plein gré. "Il dit."

Moi : Mais tu l'as fait.

Jay : Je ne l'ai pas fait de mon plein gré.

Moi : Qui t'a envoyé, Jay ?

Je vois les larmes couler de ses yeux. Cela ne m'atteint pas ; un traître restera toujours un traître à mes yeux.

Moi : DIS-LE ! "Hurlais-je."

Jay : Je ne sais pas, JK. Il m'a menacé de tout balancer à la police !

Je le regarde avec haine, et un rire amer s'échappe de mes lèvres.

Moi : Les types comme toi, ça me dégoûte. C'est pour ça que je ne t'ai jamais respecté, Jay. Au lieu de me prévenir, moi qui suis ton chef, que tu te faisais menacer, tu me laisses dans l'ignorance, espèce de sous-merde ! "Lui balançais-je avec dégoût."

Il s'approche rapidement, à une proximité troublante, et me lance :

Jay : Je suis désolé, JK, vraiment.

Soudain, quelque chose perce violemment mon ventre, mais j'ai le temps de le repousser. Putain, je suis idiot ; je lui tire une balle entre les deux yeux. Je tire encore et encore. Je déteste les traîtres, je les hais.

Je jette un coup d'œil à ma blessure. Ça va, elle n'est pas trop profonde, juste une entaille. Je réajuste mon t-shirt noir et descends les escaliers où mes hommes se battent. Prêt à parler, quelqu'un me saisit par derrière et me frappe.

Je ne suis pas ravi, vraiment pas. Je me reprends et le frappe avec haine, des images que j'avais tant chassées remontent, une par une. Non, non, je ne veux pas. Je continue de frapper, le sang de la victime éclabousse partout.

Soudain, je sens une traction par derrière, et un cri déchirant s'échappe de ma bouche.

? : Chut, hey Jungkook.

La voix appartient à Namjoon, qui me tient fermement dans ses bras.

Namjoon : Je suis là, Jungkook. C'est bon, c'est fini. Chut, s'il te plaît, calme-toi.

Nous restons ainsi pendant dix minutes. Finalement, je parviens à me calmer et me lève, bien que ma tête tourne légèrement. Mon état ne m'importe pas pour le moment.

Moi : Rentrons.

Namjoon : Oui, patron.

Nous sortons à l'extérieur, où mes hommes m'attendent.