Chapitre 11 : Secret

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🥀 Tu dis que je suis un étranger, mais je suis celui à qui tu murmurais des "je t'aime", poupée. 🥀

Bonne lecture,

PDV DE TAEHYUNG :

Chez moi, je les ramenais avec moi, ressentant le besoin de l'avoir près de moi après tout ce qui s'était passé. Jungkook semblait ailleurs, choqué par les événements. Nous pensions passer une bonne soirée, peut-être même éliminer mon cher cousin. Mais tout a dérapé. Désolé pour le langage cru, mais c'est la réalité.

Dans ma chambre, il était assis sur mon lit. Je m'approchai de lui, décidé à lui enlever sa veste. Il se laissa faire. Une fois sa veste retirée, je déboutonnai sa chemise et la lui enlevai. J'avais une vue magnifique sur son torse parfaitement blanc, une cicatrice juste en dessous de son ventre, dont je connaissais bien l'origine. Je m'apprêtais à la toucher, mais ma main fut violemment repoussée.

Je fus choqué en voyant la haine dans ses yeux.

Jungkook : Tu t'es bien joué de moi, espèce de connard ! "hurla-t-il."

Je ne comprenais pas de quoi il parlait.

Moi : De quoi tu parles ?

Jungkook : Ne me prends pas pour un fou, TAEHYUNG, PUTAIN !

Moi : Je n'ai jamais dit ça, explique-toi, merde !

Il se leva et s'approcha de moi, me prenant violemment par le col de ma chemise pour me rapprocher de lui.

Jungkook : Tu oses encore me prendre pour un con, en plus ?

Moi : Dis putain, ce que tu as ! "criais-je."

Je le voyais s'énerver encore plus.

Jungkook : Ferme ta gueule ! Comment tu le connais, hein ? Comment tu sais ce qui s'est passé il y a cinq ans, hein ?

Que faire ? Je ne pouvais pas tout lui dire maintenant. Je voulais qu'il comprenne par lui-même.

Moi : Oui, je le connais. Et alors, c'est quoi le putain de problème ?

Je le vis resserrer sa prise sur moi avant de me jeter violemment contre le lit. Il s'assit sur moi et me tenait par la gorge.

Jungkook : Qui es-tu, putain ? Qui es-tu en réalité ?

Moi : À toi de me le dire, Jungkook. Je suis qui ?

Je parlais doucement. Nous avions tous les deux la même haine ; nous étions des êtres brisés.

Jungkook : Pourquoi moi, Taehyung ? Pourquoi m'avoir choisi alors que, pour toi, je ne suis qu'un étranger, et aux yeux des autres aussi ?

Être qualifié d'étranger, ça fait mal à entendre.

Moi : Tu affirmes que je suis un étranger, Jungkook. Es-tu vraiment sûr que je le suis à tes yeux ? "dis-je sérieusement."

Il me fixa, m'évaluant du regard.

Jungkook : Je ne sais pas, Taehyung. C'est sombre dans ma tête. Mais depuis que je t'ai vu, dès le premier regard, j'ai senti que je te connaissais. Explique-moi, je suis perdu. Je déteste être aussi vulnérable et dans l'ignorance, "murmura-t-il."

Je sentis qu'il laissait prise, alors je décidai de poser mes deux mains sur ses joues parfaites.

Moi : Jungkook, ne dis jamais que je suis un étranger, surtout quand tu me murmurais des "je t'aime" il y a longtemps. Je t'en prie, ne dis jamais ça, "le suppliai-je."

Je vis ses yeux s'agrandir. J'aurais peut-être pas dû dire ça, mais l'idée qu'il me considère comme un étranger me faisait tellement mal.

Jungkook : De quoi tu parles, Tae ?

Putain, ce surnom... Ça faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas entendu. Les larmes me montèrent aux yeux.

Jungkook : Non, ne pleure pas, s'il te plaît, arrête. Ça fait mal de te voir comme ça. Pourquoi j'ai ces réactions, Taehyung ? Je suis perdu, je ne comprends plus rien. Quand j'étais près de toi, j'ai cru que tu allais partir avec lui, et là, tu pleures. Je n'aime pas ça, arrête, "paniqua-t-il."

Je le bousculai pour me mettre sur lui.

Moi : Tu comprendras pourquoi tu réagis ainsi, Jungkook. Ne t'inquiète pas, laisse-toi du temps.

Jungkook : J'ai le pressentiment que tu as un lien avec mon passé, Tae, je le sens.

Il me regarda de ses beaux yeux. Nous étions tellement proches.

Jungkook : J'aime tellement être proche de toi. Avant de te connaître, ça me répugnait. Je détestais le contact physique, mais avec toi, c'est différent. Je perds toutes mes gardes, je faiblis, et je déteste ça, mais en même temps, j'aime. Je ne veux pas devenir faible, hors de question. Mais depuis que tu es là, je perds tout. Tu es le péché dans lequel j'ai envie de me perdre, et j'ai envie de croquer dans ce bonheur.

Sa déclaration me prit au dépourvu, et une vague de bonheur m'envahit.

Moi : Jungkook, ressens ce sentiment exclusif envers moi, plonge avec moi, rien que moi.

Ses yeux brillaient, me fixant comme si j'étais précieux. Ce regard m'avait tant manqué. Il prit ma tête, se rapprocha, nos lèvres à quelques millimètres, puis s'effleurèrent. Je perdis le contrôle et l'embrassai.

C'était tellement délicieux, tellement précieux pour moi. Je mordis sa lèvre inférieure, il comprit mon message, et nos langues se rencontrèrent dans une sensation divine. Ses gémissements de satisfaction résonnèrent, me faisant perdre complètement la tête.

Ce baiser était unique, mêlant tous les sentiments. Sa main gauche dans mes cheveux, il tirait, je grognais, prenant sa main droite, liée à la mienne, posée à côté de sa tête.

Je serrai sa main contre la mienne, séparant mes lèvres des siennes par manque d'oxygène. Je regardai Jungkook, et wow, qu'il était magnifique. Ses longs cheveux éparpillés sur l'oreiller rouge, essoufflé, les joues rouges... Cette vision me rendait complètement dingue.

Jungkook : Ne me laisse pas, embrasse-moi...

Je l'embrassai sauvagement. Putain, pourquoi dit-il des choses comme ça ?

Mes baisers descendaient le long de sa mâchoire, que je mordillai, atteignant son cou. C'était divin ; la douceur de sa peau me rendait fou. Je la dévorai, la léchai, la suçotai, laissant des traces violacées. Ses gémissements étaient une mélodie, j'adorais les entendre.

Jungkook : Tu me rends dingue, je t'aime tellement, "chuchota-t-il."

Nous avons passé presque toute la soirée à nous embrasser, à nous enlacer, et à dormir l'un contre l'autre.


À suivre...

Nouveau chapitre ! J'espère qu'il vous a plu 😊

MercIi 💜

Bisous 💜

𝕷𝖆 𝕻𝖔𝖚𝖕é𝖊 𝖊𝖙 𝕷𝖆 𝕽𝖔𝖘𝖊 𝕽𝖔𝖚𝖌𝖊 -TAEKOOK -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant