Kidnappée par Hades peu après sa naissance, Haziel, l'ange le plus célèbre de la planète. Connue pour sa beauté rare, personne n'avait pu le constater, car personne ne l'avait jamais vu.
Son pouvoir était grand, et d'après la légende, elle était d'...
Les ailes d'Haziel disparaissaient sous une fumée épaisse, elle regardait autour d'elle sans pourtant reconnaître quoi que ce soit autour d'elle. Elle avait dépassée les nuages et avait trouvée un endroit, qui sembler pour le moment désert. Elle se tournait doucement, et elle eu un sursaut. Des tas de femmes devant elle, elle l'a regardait, mais elle était incapable de traduire le regard. Haziel ? Une femme blonde dépasser la foule pour s'approcher de l'ange. Haziel se reculait instinctivement, elle se méfiait. Qui êtes vous ? Des chuchotements résonnaient après la question d'Haziel. Haziel, nous sommes des anges. Elle regardait leurs visages les uns après les autres, sans comprendre. Nous t'appelons depuis des jours. Comment ça ? Vous êtes les cauchemars ? Nous n'arrivions pas à te contacter autrement, désolé. La seule qui parlait à Haziel semblait l'apaiser, et le faite que ça ne soit pas Hades qui tentait de rentrer en contact avec elle. Pourquoi vous m'appelez ?Et est ce que je peux savoir qui vous êtes ? Les questions se bousculaient dans sa tête, elle n'arrivait même pas à mettre ses idées en place. Je suis Sanna. Je suis comme toi, tu peux me faire confiance. On est où? Au dessus des nuages, de là nous pouvons veiller sur la terre. Quoi? C'est notre devoir, nous ne nous mélangeons pas avec les humains. Les sourcils d'Haziel se fronçaient. Ou des shadowhunters. Nous veillons, mais nous agissons sans que personne ne sache. Nous restons entre nous. Mais vous restez ici toute votre vie ? Que entre vous ? Tu as vécu des années en enfer. Ça a du être affreux, suis moi. On va où? Dans le palais, là bas. Elle pointait un endroit flou, mais en approchant elle voyait un château, c'était magnifique, fais de verre et brillant comme le soleil, l'ange était émerveillée. Elle entrait dans le palais, et regardait autour d'elle avec des yeux ronds, elle regardait chaque détails de cet endroit et pourtant son excitation ne descendait pas. C'est magnifique ! Sanna lui souriait et continuait sa marche.
Sanna lui demandait de s'installer en face d'elle, dans un petit salon de thé lumineux dans le palais. Le silence durait bien trop longtemps au goût d'Haziel, elle fixait ses pieds se balançaient dans le vide. Elle n'osait pas vraiment être elle même avec Sanna, elle semblait si formelle et cliché, sa gentillesse sonnait fausse pour Haziel, elle avait vécu en enfer donc, elle n'avait pas l'habitude de ce genre d'attitude. Lorsqu'elle avait rencontré les shadowhunters, ils étaient méfiants et pas aussi accueillants, quelque part, ça l'avait rassuré. Haziel. Nous voulions que tu nous rejoigne, pour accomplir ton devoir d'ange. Écoutez, je sais pas vraiment si je devrais faire ça. Je suis pas vraiment comme vous. Nous savons tout de toi, et ce n'est pas un problème, nous allons te faire devenir un véritable ange. Je suis pas sure que je peux faire ça. Haziel se levait et commençait à paniquer. Haziel calme toi, assis toi, nous allons en discuter. Non, vous comprenez pas. Sa respiration devenait saccadée. Je suis pas comme vous. Haziel tu es un ange, et il est tant pour toi de te comporter comme telle. Je suis pas un ange. Enfin si. Tu l'es. La colère montait en elle, elle devenait tremblante, Sanna tentait de s'approcher mais elle la repousser, la forçant à s'asseoir. Haziel ! D'autres anges entraient dans la pièce, inquiètes. Calme toi. Les mots de Sanna résonnait dans la tête de la blonde sans pour autant fonctionner, d'un coup ses yeux devenaient vert et la fumée arrivait autour d'elle.
Mais juste avant que la transformation eu lieu, tout les anges entouraient la blonde en la faisant souffrir, ses yeux reprenaient le vert purs. Et la jolie blonde tombait au sol affaiblit, sans savoir ce que les anges lui avaient fait.
Elle reprenait conscience, et pendant une seconde, elle avait l'impression d'être retourner en enfer. Elle ouvrait les yeux et regardait un peu mieux autour d'elle, hors elle ne reconnaissait pas l'endroit, mais elle reconnaissait Sanna, devant une cellule étrange et magique. Qu'est ce .. Ne parles pas, ne te fatigue pas. Tu es bien trop faible. Vous m'avez fais quoi? Elle était essoufflée sans pour autant avoir bougé autre chose que ses lèvres. Nous ne pouvons pas te laisser ainsi Haziel. Pourquoi ? Elle ressentait une douleur en elle, comme si elle était attaché par un câble électrique mais elle ne voyait rien. Tu es beaucoup trop dangereuse. Je ne comprend pas. Elle pleurait à présent, fermait les yeux et imaginait un endroit qui la calmait. Elle imaginait Alec, devant elle, souriant. Tu n'as pas besoin, nous allons nous occuper de toi, ne t'en fais pas. Nous allons fixer le problème et bientôt tout sera normal. La grande brune disparaissait dans un couloir sombre, elle était à présent seule, et Haziel s'effondrait. Elle pleurait car elle ne comprenait pas ce qu'il se passait, elle pleurait parce qu'elle était fatiguée et elle pleurait car elle avait mal, mal partout, il n'y avait pas une cellule de son corps qui ne la faisait pas souffrir.
Elle restait éveillée à imaginer les pires scénarios, mais Haziel avait beau chercher, elle ne comprenait pas ce qu'elle avait fais de mal. Elle n'avait tuée personnes, fais de mal à personne, à part de démons qui le mériter. Elle avait beau retourner le problème dans tout les sens, elle ne trouvait aucune réponses.
Les jours suivants, l'ange était dans une solitude absolue, même la présence de n'importe qui lui aurait fait un bien fou. Puis le jour suivant, Sanna arrivait, elle regardait la pauvre Haziel qui avait l'air misérable. Elle n'avait pas dormi depuis des jours, et n'avait pas vu la lumière depuis si longtemps. Haziel, le grand jour est arrivée ! Elle était pleine d'entrain, et cela effrayée l'ange. Emmenez la dans la salle. Deux personnes arrivaient de nul part et prenait la blonde, qui avait à peine la force de tenir debout. Il la trainait et l'installait dans une pièce, blanche, et l'attachait à un siège. Qu'est ce que vous voulez ? Demandait Haziel, elle était dans un état étrange, comme si ils l'avaient drogués. Personne ne répondait, et les deux personnes disparaissaient et laissaient la blonde seule, une fois de plus.
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