Chapitre 18

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PDV Extérieur :

Les deux complice descendaient les escaliers qui menait au bas-fonds. Ils marchaient tranquillement mais pourtant l'enfant désirer vite arrivé pour retrouver ses souvenir. Une fois en bas ils se rendirent dans la maison dans laquelle habitait Livaï lorsqu'il était encore adolescent.

-Eren : Tu te rappelle de quelque chose ?

-Livaï : Non, allons à l'intérieur.

Il poussèrent la porte, à l'intérieur ils commencèrent à fouiller le salon puis les chambres.

-Eren : Et là, un truc de reviens ?

-Livaï : Toujours rien, désolé.

-Eren : Ce n'est pas grave. Je pense qu'il faudrait trouver un autre endroit où tu as des souvenirs.

-Livaï : C'est une bonne idée, mais où ?

-Eren : Je sais pas.

Étant dans une impasse Livaï et Eren partirent, ils errèrent dans la rue. Que devaient t-ils faire ? Ils n'avaient aucun indice, alors les deux marchèrent tournant à gauche puis à droite, sans vraiment savoir où aller. Ils marchèrent jusqu'à un quartier mal fréquenté, les voyou étaient de sorti et tout le monde les regardaient, de travers.

-Eren : Viens Livaï on s'en vas. On vas s'attirer de gros ennuis si on reste ici.

Livaï continua d'avancer sans se préoccuper de ce qu'avais dis Eren. Son regard s'était totalement vider, on aurait pu croire qu'il était possédé. Il se dirigea vers un bar. La jeune recrue dû le suivre.

PDV Eren :

Le major m'as dis de ne pas perdre Heichou des yeux. Je me demande bien ce qu'il a, on dirait qu'il ne m'as même pas entendu. Peut être qu'il se souvient de quelque chose. Je le suis donc, or de question de le laisser tout seul avec tous ces sales types qui rodes.

PDV Extérieur :

A leurs entrée dans le bar les personne présentes se retournèrent et pendant quelques secondes un silence d'or régna. Mais les clients revernirent vite à leurs occupations.

-Barman : Eh ! C'est pas un endroit pour les gosses ici ! Revenaient quand vous seraient majeur !

Livaï l'ignora lui aussi et continua son chemin. Il partit vers l'arrière boutique.

-Barman : Tu m'as pas entendu sale mioche !

La jeune recrue l'ignora à son tour et pris le même chemin que son caporal. Ils arrivèrent finalement dans une petite pièce. Un lit en piteux état était posé au milieu. Personne ne devait être venu depuis longtemps, il y avait de la poussière partout ainsi que de nombreuses toiles d'araignées.

Livaï s'arrêta devant le lit, une larmes perla sur sa joue, puis deux et trois. Eren se précipita vers lui.

-Eren : Qui a t-il Heichou ?

-Livaï : J'ai mal à la tête Eren.

L'enfant tomba à la renverse, heureusement pour lui Eren avais pu le rattraper juste à temps.

-Eren : Eh Heichou, ça vas ?

-Livaï : Il y a des images Eren, ça fait mal...

Le brun posa délicatement la tête du noiraud sur ses genoux. Livaï se tordait presque de douleur, face à cela Eren posa sa main sur sa te et lui parla calmement. Mais ces paroles apaisante ne reflétait en aucun ses pensées, en fait il s'inquiétait beaucoup pour son caporal-chef.

-Eren : Calme toi Livaï, respire doucement d'accord.

Après quelques minutes Livaï s'était enfin calmer, il respirer normalement et n'avait plus de douleur à la tête.

-Eren : Tu te sens mieux ?

-Livaï : Oui merci.

-Eren : Dis moi, c'est quoi les images que tu as vu ?

-Livaï : Je n'ai pas envie d'en parler, peut être demain.

-Eren : Très bien, mais ne te force pas, si tu n'as envie d'en parler tu n'en parle pas.

-Livaï : D'accord. En attendant j'aimerais dormir s'il te plaît.

-Eren : Tu n'as qu'a t'allonger sur le lit, je veillerai sur toi cette nuit.

L'enfant s'affala sur le matelas et s'endormit aussitôt malgré l'inconfort du lit. Eren s'assit sur le rebord de la couette et regarda avec attention Livaï. Il se demandait de quoi avais pu se souvenir son petit protégé. Dans tout les cas vu sa réaction cela ne devait pas être très joyeux.

 Il repensa aussi à la discussion qu'il avait eu avec Mikasa plus tôt dans la journée. Il était vrai qu'Eren était tombé amoureux de Livaï, cela ne faisait plus aucun doute. Mais il refusait de l'admettre par peur de faire baisser l'estime du caporal. De toute façon ses sentiments n'était sûrement pas réciproque. Ça le faisait souffrir de devoir refouler son amour seulement il n'avait pas le choix. Du moins c'est ce qu'Eren pensait.

Le brun s'assoupit après quelques autres minutes de réflexion. Il était dans une position peu confortable mais cela ne l'empêcha pas de passer une bonne nuit de sommeil. Jusqu'au matin il rêva de son Heichou.

 Le lendemain, quand les deux acolytes furent réveiller ils discutèrent de ce qui s'était passé la veille.

-Eren : Donc tu te souviens de tout ?

-Livaï : Oui je crois.

-Eren : Et tu te sens près à en parler ou pas ?

-Livaï : Oui.


Un caporal enfantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant