New york

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J'ai mis trois jours. Pour me rendre de mon petit coin paumer à la grande ville de New york. Tous le monde semblait pleurer la mort de se hero. Celui qui porte une armure .

Comme je l'es dit au par avant. A par mon auto radio il n'y avait rien qui m'informer et je passé le plus claire de mon temps à écouter de la musique. Faudrait peut être que je me mette à jour dans les nouvelles du monde ? Bha.. j'aurais le temps plus tard.

J'avance donc à l'adresse que m'indique la lettre. Et découvre un bâtiment semblant être un cabinet dentaire.

J'avance et me dirige vers l'accueil ou un réceptionniste me regarde du coin de l'oeil.

- bonjour excusez-moi de vous déranger. On m'a envoyé une lettre il y a cinq ans.. je vien de réapparaître. Et j'aimerais savoir si c'est toujours la bonne adresse ou si on a finalement plus besoin de moi.

- je suis désolé mademoiselle. C'est un cabinet dentaire ici. Revenait quand vous aurez des problèmes de dents

- d'accord je vois...

- qu'elle est votre nom ?

- Meghan. Day.

- meghan day ? Original. Aller donc vous trouvez de quoi vous offrir des soin dentaire.

Un peu vexé par le ton désobligeant du réceptionniste je débranche le fil à l'arrière de l'écran de l'ordinateur qui le relie à la tour avant de partir loin de lui

Je sort donc de là et me pose sur un banc en soufflant. Un peu déçu de ne pas savoir quoi faire de ma vie à présent.

Je reprend ma lettre et regarde attentivement les mots employés.

« Hero de demain, bonjour. Le projet reconnaissance a besoin de vous . Veuillez vous rendre à cette adresse au plus vite , l'avenir a besoin de vous »

Et c'est même pas signé. J'aurais pas dû écouter mike. J'aurais jamais dû partir à l'aventure comme ça....

- je ne me serez jamais douter qu'ici il puisse reste des personnes qui prennent le temps de s'asseoir et de regarder le monde

Je tourne la tête vers l'homme qui venait de dire ça. Il était borgne , noir, grand , et assez flippant

- je m'excuse je vous laisse. Dit je en me levant

- oh non. Reste ici je crois que nous devons parler.

Je l'écoute. De peur de me faire tuer

- cette lettre. Tu l'a reçu il y a cinq ans ?

- oui.

- j'ai disparu il y a cinq ans moi aussi alors ne stresse pas.

- qui êtes vous au juste ?

- quelqu'un qui sais qui tu es.

- comment ?

- disons simplement que tu n'es pas la plus étrange que j'ai rencontré dans ma vie. Tu viens d'où ?

- de Newburgh... enfin... du côté reculé de la ville. Ça se voit tant que ça ?

- bienvenue à New York city . J'espère que c'est ce que tu t'attendais à trouver.

- pas vraiment.

- ce n'est pas très chaleureux ici n'est-ce pas ? Si tu veux il y a une petite araignée sympa pas loin

- pourquoi vous êtes là ?

- pour toi bien évidemment.

- cest parce que j'ai débranché l'ordinateur au cabinet dentaire ?

- oui et non. Disons juste que cette homme que tu as contrarié la bas est de mon organisation. Oh ne t'inquiète pas nous ne somme pas là pour te faire de mal. Dit moi juste. Avec quoi est signé la lettre.

Je regarde encore une fois pourtant je sais pertinemment qu'il n'y a rien de plus que les quelque mot inscrit et que je relis en boucle depuis trois jour.

- tu as déjà essayé de lire entre les lignes non? Donne moi ton avis sur cette lettre.

- l'es mot employé sont ceux d'un homme.

- pourquoi tu pense cela ?

- cest froid et impersonnel. C'est quelqu'un qui a du essayer de faire un message patriotique mais qui inclue tous le monde. Le style est banal. Mais c'est quelqu'un d'intelligent.

- cest très gentil à toi.

- cest vous qui l'avez écrit n'est-ce pas ?

- exactement.

- alors si vous saviez déjà tous ça... pourquoi me demander d'où je vien ?

- parce qu'il fallait que je sache si tu me faisais confiance pour des informations basiques petites. J'ai une petite mission pour toi.

- une mission ?

- exactement. Et tu as tous a fait le droit de refuser cette offre. Parce que si. Quand je me lèverai tu aura pris la décision de me suivre. Tu peux oublier tous ce que tu connais et tu vivra sans doute dans la peur. Mais tu découvrira aussi tous ce que le monde a à t'apporter. Tu pourrais en découvrir plus sur toi même que tu ne peux l'imaginer. Et crois moi. Je sais ce que je dit.

Il se leva donc et je me mît à réfléchir. Sois je le suis. Sans savoir ce qui m'attend. Il ne me promet pas le bonheur ou la tristesse. Il ne promet que la découverte. Mais si je refuse... j'aurai... ? Je n'ai rien à perdre . Rien à gagner. Je n'ai pas de vie. Pas de famille inquiète. Pas d'amis depuis longtemps. Je n'ai rien.
Je me lève alors et le voit m'attendre devant une voiture. Il ouvre la portière mais je ne monte pas

- dites moi au moins votre nom.

- Nick furie

- ravis de faire votre connaissance monsieur furie

- ravis de te voir permis nous. Maghan day

la relèveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant