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 *Le lendemain matin, Samedi*

Mévene a dormi chez moi cette nuit, j'avais trop peur que Maxime revienne, je n'est pas beaucoup dormi, grand max 3H, je n'est pas arrêter de penser à ce qu'il c'est passer avec Maxime, il m'a vraiment choqué hier soir, depuis 2 ans il n'est plus pareil, avent, c'était mon meilleur ami, il étais vraiment gentil, il était timide et il ne se faisait pas remarqué, mais un jour, il est revenue complètement différent, c'était plus le même, il traîner avec les populaire, il coucher avec toute les filles, il ne respecter plus rien, il se foutez de tout et le pire, il m'ignorer, je n’exister plus pour lui, j'en est beaucoup souffert , mais il n'en avait rien a faire.

Mévene : Hey, tes déjà réveiller, il es que 8H !

Moi : Oui mais, c'est-à-dire que j'ai pas beaucoup dormi en faite.

Mévene : Pourquoi ? Tu penser à ce qu'il c'est passer ?

Moi : Oui, mais pas que à sa.

Mévene : A quoi d'autre alors ?

Je respire un bon coup et me lance.

Moi : A comment étais Maxime avent.

Mévene : Il étais comment avent ?

Moi : C'était mon meilleur ami

Mévene : QUOI ?

Moi : Eh, doucement s'il te plaît !

Mévene : Mais comment tu pouvais être meilleur ami avec un con pareil.

Je lui explique donc toute l'histoire. Quand je fini l'histoire, je pleure encore, j'en ai marre de passer pour la fille sensible, il me prend donc dans ses bras et m'embrasse la joue.

Mévene : Bon on fait quoi aujourd'hui ?

Moi : On reste au lit a ne rien faire ?

Mévene : Non Aurélie, c'est Samedi alors aujourd'hui on bouge et ce soir on va à la soirée de Vincent.

Moi : Oh non, j'ai pas la tête à sa, s'il te plaît.

Mévene : Même pas en rêve, tu ne m'aura pas avec ton regard de chien battu, va te préparer, moi je vais chez moi pour me préparer, et on se rejoint à l’arrêt de bus à 10H.

Moi : Roh O.K.

Mévene : Donc sa veut dire oui ?

Moi : De toute façons j'ai pas vraiment le choix, pas vrai ?

Mévene : Exacte, alors a toute à l'heur.

Il me fit un bisous sur le front et parti.

Je part donc dans ma salle de bain pour me doucher, je me sèche les cheveux, m'habille d'un jeans noir troué, avec un débardeur blanc, ma veste en cuir et mes nike noir et blanc, puis je me maquille normalement. Je retourne dans ma chambre et commence a faire mon lit quand j’entends mon téléphone vibrer sur mon bureau, je l’attrape et répond sans regarder qui m'appelle.

*Appelle téléphonique*

Moi : Allô

???: Coucou bébé, ça va ?

Moi : Oh coucou, ça va et toi ?

Hugo : Ça va, tu fait quoi aujourd'hui ?

Moi : Euh… Rien, je ne me sans pas très bien, je vais rester à la maison, et toi ?

Hugo : Rien aussi, tu veut que je vienne cette après-midi ?

Moi : Oh non, t'inquiète pas, tu n'a qu'à sortir avec les bande.

Hugo : O.K, bisous.

Moi : Bisous.

Je raccroche et regarde l'heur, eh merde, il est 9H48 faut que je me bouge.

Je prend mon sac, mon téléphone et les clé de la maison et sort, je cour jusqu'à l'arrêt de bus, quand j'arrive Mévene étais déjà là, il étais juste devant le bus.

Mévene : Allers, dépêche toi, je vais pas retenir le bus toute ma vie.

Je rentre dans le bus accompagner de Mévene et on part s'asseoir au fond du bus.

Mévene : T'en a mit du temps, me dit pas que tu a passer tout ton temps à te préparer ?

Moi : Non.

Mévene : Alors ces quoi qui ta retarder?

Moi : C'est Hugo qui ma appeler.

Mévene : Il voulait quoi ?

Moi : Il voulait savoir ce que je faisais cette après-midi.

Mévene : Tu lui a quand même pas dit que tu passer ton après-midi avec moi ?

Moi : Non, t'es fou ou quoi, tu veut qu'il nous tue tout les deux, je lui et dit que je ne me santé pas bien et que j'allers passer la journée chez moi.

Mévene : Ah oui, heureusement.

Moi : Ouais. Bref, on va où ?

Mévene : Tu verra.

Moi : Ah non, dit moi s'il te plaît.

Mévene : Non, tu verra quand on y serra.

Moi : Roh tes chiant.

Mévene : Je sais.

Pendant le reste du trajet aucun de nous ne parler, mais ce n'étais pas gainent.

Quand on arrive prêt d'une forêt Mévene me tape doucement l’épaule pour me faire comprendre que ces la que nous descendons, il passe devant moi et nous descendons du bus.

On marcher depuis 5 bonne minute et nous nous enfoncions dans la forêt.

Moi : En fait, tu n’emmène là parce que c'est à cette endroit la que tu viole tes victime et que tu les tue ?

Mévene : Toi, tu regarde trop de film d'horreur, et puis, tu croit vraiment que je vais te violer ?

Moi : On sais jamais, l'habille ne fait pas le moine comme on dit.

Mévene : T'es sérieuse de me sortir cette veuille expression ?

Moi : Oui très. Bref, on est bientôt arrivé, je commence à avoir mal au pied ?

Mévene : Il doit nous rester environ 10 minute.

Moi : Ah non, je peut plus marcher là, je ne vais pas plus loin.

Mévene : Oh tes chiante, tous sa pour que je te prenne sur mon dos, allers monte.

Je monte sur sont dos et il continue de marcher.

Secret [Arrêter]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant