Secret [Arrêter]

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 Je le voie et lui referme la porte au nez.

????: Allers Aurélie, ouvre moi.

Moi : Va-t-en Maxime, s'il te plaît, je ne veut pas te voire.

Maxime : Allers, laisse moi entrés.

Moi : Non Maxime, casse-toi, je n'est plus rien à te dire.

Maxime : O.K, mais ne t'inquiète pas, je ne lâche pas l'affaire, on se reverra.

Je l'entend partir, je m'adosse contre la porte et me laisse tomber assise par terre et laisse mes larmes couler. Pourquoi est-il revenue, qu'est-ce qu'il me veut, il ne ma déjà pas fait assez de mal comme sa, il fallait qu'il revienne encore une fois.

Je suis en train de pleurer quand mon téléphone sonne, c'est Mévene, j'essaye de me calmer et répond.

Moi : Allô

Mévene : Aurélie, ça ne va pas, tu pleure ?

Moi : Non, ça va, ne t'inquiète pas.

Mévene : Ne me ment pas, qu'est-ce qu'il y a ?

Moi : Rien Mévene.

Mévene : Aurélie, je l'entend que tu pleure et que ça ne va pas, alors dit moi ce qu'il y a ?

Moi : Oui je pleure, et non ça ne va pas, mais laisse, qu'est-ce que tu veut ?

Mévene : Rien, j'arrive.

Moi : Non, Mévene, c'est bon ça va.

Trop tard, il avait raccrocher, il allait arrivé d'une minute a l'autre, je ne fait même pas d’effort, je reste telle que je suis et part dans ma chambre me blottir sous ma couette.

10 minute plus tard, la sonnette retenti, je ne répond pas, la porte et de toute façons est ouverte, il sonne une nouvelle fois, je ne répond toujours pas, j’entends enfin la porte s’ouvrir et quelqu'un monter, il ouvre la porte de ma chambre, j'enlève la couette de mon visage et le voie, non, ce n'est pas Mévene, c'est Maxime.

Maxime : Alors on laisse la porte ouverte et on ne répond pas quand sa sonne.

Moi : Je tes déjà demander de partir Maxime, alors laisse moi tranquille.

Maxime : Ah, mais ces que tu pleure en plus, j'aime te voire pleurer.

Moi : Tu aime me faire souffrir de toute façons alors dégage bâtard.

Maxime : Hum…laisse moi réfléchir...non.

Moi : Qu'est-ce que tu me veut ?

Maxime : Toi, je te veut toi.

Moi : Et pourquoi tu me veut ?

Maxime : J'ai besoin de quelqu'un de fragile que je peut facile faire souffrir.

Moi : Je ne suis plus fragile, alors trouve quelqu'un d'autre.

Maxime : Non, je te veut toi.

Il s'approche de moi, retire la couette et se met a califourchon sur moi, il attrape mes poignet et les bloque au dessus de ma tête, il commence a me toucher, je me débat, mais rien n'y fait, il a trop de force pour moi, il commence a m'embrasser le coup et à passer ces main sous mon T-Shirt.

Moi *en pleure* : Maxime arrête, lâche moi.

Maxime : Quoi, tu n'aime pas sa, pourtant tu ne disait pas non la dernière fois que je tes toucher.

Moi *en pleure* : C’était avent, lâche moi, laisse moi tranquille.

Maxime : Non.

Il continue a m'embrasser et commence a me déshabiller, je ferme les yeux et continue a pleurer, quand je ne sans plus son poids sur moi, j'ouvre les yeux et voie Mévene en train de frapper Maxime.

Moi *toujours en pleure* : Mévene arrête, laisse le partir.

Mévene : Ta pas intérêt à revenir la voire, tu t'approche d'elle je te fini.

Mévene le lâche et il part en courant. Moi je suis sans t-shirt sans soutien-gorge complètement désemparer, perdu, triste, énervé et surtout, je me sans vide.

Mévene se retourne vers moi enlève son t-shirt et me le donne.

Mévene : Ça va, il ne ta pas fait mal ?

Moi : Si.

Mévene : Ta mal où ?

Moi : Au poignet.

Il prend mes poignets et voie les trace de ces main, mes poignets commencer déjà à devenir bleu.

Mévene : C'est qui se bâtard ?

Moi *en pleure* : Mon ex.

Mévene : Ton ex, mais comment ta fait pour sortir avec ce con ?

Moi : Je ne suis pas vraiment sorti sorti avec lui, j'étais à une soirée avec des amis, j'ai un peut trop bue et…

Je fit une pause, je n'arriver pas à le dire, c'était un côté cacher de moi, personne n'est au courant, même pas ma famille.

Mévene : Et quoi ?

Moi : Et il a profiter de moi.

Mévene : C'est-à-dire ?

Moi *en pleure* : Il ma violer.

Mévene contracte la mâchoire et sert les poing, il me prend dans ces bras et je pose ma tête sur sont torse.