Tu te retrouves face à Spider Man dans l'appartement de ton petit copain Peter Parker. Que fait-il ici ? Aurai-t-il quelque chose à t'avouer ?
Après cet incident tu continues ta vie entre dessiner les costumes, aller en mission et ...éviter Peter...
- Bravo les kids ! Je savais que vous y arriveriez, nous félicite Tony.
- Heu ... C'est pas se que j'ai cru comprendre en partant . C'est qui déjà les gamins de 16 ans immatures ? demandai-je avec un petit rictus au coin des lèvres.
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- J'avais juste besoin que vous me montriez que j'avais tort. Bon aller passe moi l'appareil photo. En attendant que je les transfères aller prendre une douche parce que vous sentez pas la rose.
- OK.
- Et après vous me rejoignez au labo.
(Dans les douches)
L'eau chaude coule sur mon corps. J'en avais grandement besoin après toutes ces émotions malgré le fait que j'ai adoré partir en mission. J'ai trouvé ça excitant et sa m'a changé les idées. Je crois que c'est ce dont j'avais besoin : de l'action. J'adresse une parole timide à Peter qui était dans la douche d'à côté :
- Merci Parker...
Il ne me répond pas et il coupe l'eau de sa douche. J'entend sa porte grincer en s'ouvrant. Avais-je dis quelque chose qu'il ne fallait pas ? J'enfile mon jogging et mon sweat avant de sortir. En ouvrant la porte je le retrouve en pleure par terre à même le carrelage froid. Il était adossé contre un mur, ses jambes repliés sur lui même et la tête entre ses genoux. Je marche d'un pas appréhensif pour venir m'asseoir à côté de lui. Je ne sais pas si c'est approprié de le faire mais je pose ma tête sur son épaule comme à mon habitude lorsqu'on regardaient un film ensemble. Il me déclare d'une voix tremblotante.
- Je ...Je sais pas se que j'aurai fais si je n'avais pas réussi à te rattraper.
- Hey ... hey ... Peter regarde-moi...
Il relève la tête de ses genoux pour plonger ses deux prunelles noisettes dans les miennes. Ça me déstabilise car je n'avais plus l'habitude qu'il me regarde ainsi.
- Tu as réussi à me rattraper et tu réussiras toujours à me rattraper.
- Qu'est-ce que tu en sais ?
- Parce que tu me l'as promis lors de notre premier combat.
Je remis ma tête sur son épaule et il posa la sienne sur le haut de ma tête. Nous restons ainsi de longues minutes, sans parler, seul le silence suffisait pour nous comprendre. Comme par magie, la colère que je lui portais disparut. Je ne lui en voulais plus, comme si un dé-clique avait fait que, même si il m'avait menti, je savais que je pourrai toujours compter sur lui.
- J'y arrive plus sans toi... dit-il a voix basse.
