💫Chapitre 8💫

4.4K 307 664
                                    

Je suai à grosses gouttes. J'aurais peut-être dû me taire, ou mentir. Désormais, si jamais cette femme allait tous raconter au chef de l'ordre, je serai l'ennemi de la région. Je joingna mes mains et inclina ma tête en signe de respect. 

- S'il vous plaît....Ne dites rien à votre chef...

- Je suis la cheffe, répondit-elle froidement, tu vas me remettre l'objet dont tu parles. 

- Désolée....m'excusais-je, je ne peux pas, je me le suis jurée....

Je tremblait malgré le fait que je désobéissais à des forces supérieures au miennes.  Je ne savais pas pourquoi mais je serrai mon sac contre moi et m'enfuis de la pièce en courant. Je me précipitait dans les rues de Mondstradt, cherchant un endroit pour me cacher. On allait sûrement mette des chevaliers à mes trousses. En y pensant, je ne faisait que aggraver ma situation. Dans ma fuite, je bouscula des dizaines de passants car je regardait derrière moi. Des gardes étaient bel et bien à ma poursuite. Comme je ne regardais pas en face de moi, je tribucha et tomba, ce qui me fis perdre un temps fou. 

- Elle est là, crièrent les chevaliers de l'ordre 

Je me relevai. Si je ne sortait pas de cette ville au plus vite, j'allais passer le reste de ma vie en prison et il allait dérober cette flûte qui était l'objet le plus cher à mes yeux. En passant dans les rues, une main me recouvrit la bouche avant de m'entraîner dans une petite ruelle caché de la vue de tous. J'essaya de prononcer un mot quand il me murmura à l'oreille une voix de jeune homme : 

- Si tu tiens à la liberté, je te conseille de ne pas parler. 

Les soldats passèrent dans la rue, criant pour que je me montre avant de soupirer et crier comme ordres aux autres : 

- Elle n'est pas ici ! chercher ailleurs, elle ne doit pas être bien loin. 

J'entendis les bruits de course s'éloigner au fur et à fur de l'endroit où je me trouvais. Cette homme avait toujours la main sur ma bouche que je finis par enlever, n'arrivant plus à respirer. 

- Merci infiniment, le remerciais en m'inclinant devant lui. 

- Hehe c'est rien, répondit-il d'un ton bien trop joyeux en se grattant le nez. 

Je le regarda plus attentivement. Il paraissait plus jeune que moi, je ne savais même pas si il avait l'âge de boire. Il était vêtu d'une chemise blanche à volants  avec une partie en cuir ressemblant à un corset, ainsi qu'un short bleu sarcelle avec des broderies dorées et une cape turquoise assortie maintenue par un nœud bleu profond et or qui recouvrait le tout. Il porte également des bas blancs avec trois formes de diamant d'or le long de chaque jambe et un chapeau en forme de béret avec une Cécilia. Quand à son visage, il possédait des trais fin et une peau claire.  Ses épaules sont surplombées de deux tresses bleu marines virant vers le vert aqua, tous comme ses yeux. Elle m'adressait un sourire malicieux qui lui allait plus bien. 

- Qui êtes vous ? 

- Je me nomme Venti, un barbe itinérant qui chante les plus belles histoire de Mondstradt et toi ? 

- ( T.P ) une archéologue qui m'intéresse à l'histoire antique de Teyvat 

Il me tapota l'épaule gentiment avant de me frotter les cheveux. C'est qu'il est gonflé celui là. 

- On s'intéresse à l'histoire de Teyvat de manière différente, tu me plaît. Enfin....comment tu t'es retrouvé dans cette situation ? Les chevaliers de l'ordre s'en prendre à une étrangère de la sorte ne leur ressemble pas.

- Si je te dis la raison, tu me promet de ne pas me livrer ? Demandais-je toujours méfiante. 

- Je t'ai sauvé, pourquoi je te livrerai ensuite ? Me riait-il au nez. 

Destinés à nous retrouver || Xiao X readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant