Chapitre 5 : La librairie

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On a joué au poupée pendant toute la matinée, vue la façon dont on jouait au poupée et mon expérience avec elle je crois que Lorie a des problème à l'école ou quelque chose dans ce genre et se venge à travers ses poupée. C est assez dingue jai l'impression de me revoir quand javai son âge. Je pars manger ce midi seul Nicolae m'a dit que c'est lui qui s'occupe des repas de sa soeur et que je devais pas m'inquiète.

Après avoir mangé je sors dehors découvrir la ville. Je peux voir quelle est très différente de New York, même des autre ville que j'ai pu voir. J'ai l'impression que cette ville regorge de mystère et quelle est le lien ou se réunissent les âme perdu, c est la première fois que j'en vois autant dans une même ville. Il vaut mieux les ignorer, les esprits peuvent être gentil comme à la fois cruel.

??? : Salut Allyson, tu vas bien ?

Je me retourne et vois Lyly qui me fait un grand sourire, on dirait qu'elle est contente de me voir, je me demande pourquoi.

Allyson : Sa va, jetait en train de me promener et découvrir la ville.

Lyly : Je vois, moi je pars à la recherche d'un travai. On m'a dit qu'il y avait une librairie qui était à la recherche de quelqu'un pour m'aider. Jetait en train d'y aller.

Pourquoi elle me dit ça, quand on veut quelques chose il vaut mieux ne rien dire à personne car les gens pourrai prendre ta place ou avoir la même idée que toi.
Je ne savais pas qu il y avait une librairie dans cet ville, les livres sont la seul chose maintenant qui me permet d'imaginer les émotions que l'auteur à voulue mettre.

Allyson : Est-ce que ça te dérange pas que je t'accompagne, je voudrais voir ce si je pouvais t'accompagner ?

Lyly : Oui t'inquiète ça me dérange pas je suis même un peu stressé ta présence me déstresse.

Allyson : Si tu le dis.

On marche en direction de la librairie, quand je l'aperçois je me dit qu'elle est petite mais à la fois mystérieuse.
On rentre dans la librairie, j'aperçois un esprit d'une vieille dame, lorsqu'elle nous voit elle s'approche de nous.

Esprits : Je suis contente que tu m'as écouté je ne pouvais plus supporter mon marie travailler seul ? En plus je vois que tu as ramener une amie bonjour.

Je fais en sorte de regarder à travers le vide j'ai pas envie que Lyly sache que mon aussi que je vois les esprits, je l'a connais à peine on est pas ami pour que je lui raconte mes secret. Mais est que c'est une coïncidence la première personne que je rencontre est comme moi, je regarde Lyly et elle à l'air gêné.

Allyson : Sa va Lyly pas trop stressé, tu fais une tête bizarre.

Lyly : Oui t'inquiète pas disons que l'ambiance ici est assez spéciale.

Allyson : Si tu le dis, moi je vais à la recherche de livre pendant ce temps va parler au patron.

Lyly : D'accord Je te dis quand j'ai finis.

Je parcours les livres, il y a un peu de tout ici mais surtout des livres du 18ème et 19ème siècles. Un livre m'attire "Les fleurs du mal" de Charles Baudelaire, j'avais lu ce livre quand javai 10 ans ce recueil de poèmes m'as fait voyager mais je ne l'ai jamais fini comme les enfants à l'école me trouvais bizarre ils ont volé mon livre et ils l'ont détruit, je me suis encore battu et la bibliothèque m'a interdit de revenir quand je lui ai raconté en disant : " seule des personnes sérieuses ont le droit de venir ce qui n'est le cas pour vous ".
Je décide de le prendre jai bien envie de le finir cette fois, et peut-être que j'arriverai à ressentir des émotions.

Je vois Lyly parler avec le patron, c'est un vielle homme il est un peu plus vieux que sa femme, elle doit être morte récemment.

??? : Je vous dit que c'est non je n'ai besoin de personne.

Lyly : Mais je pourrais vous aider, vous êtes souvent à la réserve je pourrais rester devant, accueillir les clients et ranger les livres.

??? : Vous n'avez jamais fait ce métier, vous ne connaissez rien, je connais les jeune d'aujourd'hui tous des hypocrites qui ne s'intéresse pas au livre.

Lyly : Monsieur je ne suis pas comme les autres, c'est que vraie je ne connais rien à ce métier mais j'ai lu énormément de livre.

Le patron semble réfléchir il doit peser le pour et le contre, je le vois soupiré.

??? : Bon d'accord j'accepte je vous laisse 1 semaine d'essai et si vous n'êtes pas efficace je vous renvoie et vous ne serez pas payer pour cette semaine.

Lyly : C'est d'accord, merci Monsieur Archibald.

Monsieur Archibald : Et vous mademoiselle vous voulez quoi.

Allyson : Je voudrais acheter ce livre.

Monsieur Archibald : Les fleurs du mal de Charles Baudelaire plutôt rare que des jeunes acheter des poèmes.

Allyson : C'est simple je ne suis pas comme tout le monde.

Monsieur Archibald : Si vous le dites au revoir, et vous soyez à l'heure je ne veux aucun retard.

Lyly : Oui pas de soucis au revoir Monsieur.

Esprits : Au revoir mademoiselle et à bientôt.

Nous sortons de la librairie, Lyly est très heureuse elle n'arrête pas de sourire.

Allyson : Arrête de sourire comme ça on dirait une idiote.

Lyly : Mais je suis tellement heureuse.

Allyson : Heureuse ?

Lyly : Oui, tu n'étais pas heureuse quand tu a trouvé ce travail chez les Bartholy ?

Allyson : Pas vraiment, enfait je n'ai rien ressentie.

Lyly : Oh bien peut être que tu voulais faire autre choses.

Allyson : Non, je voulais continuer mes études et j'ai trouvé cette annonce par hasard.

Lyly : Si ça se trouve c'est le destin, ah ah.

Allyson : Peut être que tu as raison

Lyly : Je disais ça pour rigoler.
Ah oui c'est vrai tien mon numéro comme ça on pourra se revoir à la fac.

Allyson : Si tu veux, tiens C est le mieux celui là

Il faut toujours avoir le numéro des gens c'est beaucoup plus simple si il faut pirater son portable, mais je ne vais pas le faire elle a l'air d'une fille sympathique.

Lyly : Je vais y aller Allyson il commence à se faire tard. On se revoit à la fac.

Allyson : Oui à bientôt.

Je la regarde partir et je pars en direction du manoir.

Is It Love Peter : L'enfant Maudit Où les histoires vivent. Découvrez maintenant