Chapitre n°22 : Le 8 Décembre

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Salut à tous ! :)

Résumé : Clarke déménage, elle quitte Paris pour Polis, sa ville natale qu'elle a quittée il y a 10 ans. Revenir n'est pas quelque chose qu'elle veut au début, après tous, il lui a fallu tellement de temps pour oublier sa vie d'avant... mais a Polis, il y avait cette petite fille dont elle a aujourd'hui oublié le nom... peut-être que le destin les réunira ! Clexa !

Quelque mot sur ce chapitre : Ce chapitre marque plusieurs changement cruciaux dans la relation Clexa qui sont primordiale pour la suite ! Vous comprendrez en lisant ! :)

A l'époque, j'avais proposé aux lecteurs de laisser des idées pour fêter les 100 reviews ! :) Quand une idée était mise dans un chapitre, je leur dédirais une note ! ;)

Les personnages de la série The 100 ne m'appartient pas.

Je remercie tous ceux qui m'ont mit en favoris, laisser une reviews, les following et les guest bref, TOUT le monde , ça fait vraiment plaisir et m'incite à écrire alors continuer ! :)

Un très grand merci à @Louxit_ pour son travail que je trouve énorme et très efficace sur cette histoire. Sans sa proposition de correction et sa détermination a vouloir donner un nouveau souffle à cette fiction, je ne l'aurai pas posté sur Wattpad !

Et, je souhaite la bienvenue aux petits nouveaux !

Je vous souhaite une bonne lecture et je vous retrouve en bas ! :)

oOoOo

Chapitre n°22 : Le 8 Décembre

POV - Lexa

J'ai essayé. J'ai vraiment essayé. Je voulais agir normalement aujourd'hui. Faire comme si c'était un jour tout à fait normal. Et je voulais réussir ce miracle pour Clarke. Mais j'ai échoué ; lamentablement.

J'ai abandonné mon téléphone portable sur un meuble, quelque part. Je ne sais plus vraiment où. Je suis allée au studio. J'ai marché entre les murs comme un loup en cage.

Ce jour me rend toujours complètement folle. J'ai envie de pleurer, de hurler, de réduire les murs en miette. L'année dernière, à la même date, j'étais retournée dans notre ancienne maison, armée d'une batte de base-ball et j'ai détruit le piano sur lequel je jouais depuis que j'étais enfant.

Lincoln m'en a beaucoup voulu. Je crois qu'il l'a réparé mais je m'en contre fiche particulièrement aujourd'hui. Je me suis comme même enfermée. J'ai peur de faire de nouveau quelque chose d'irréfléchi.

Ce qui me détruirait encore plus et qui rendrait cette journée encore pire c'est qu'inconsciemment, je fasse du mal à Clarke. Alors il vaut mieux que je reste loin d'elle pendant les prochaines vingt-quatre heures.

Je stoppe mes pieds pile au milieu du studio. Je ferme les yeux et j'imagine le visage de Clarke. Ses yeux de la couleur de l'océan, son sourire parfait, son petit nez - j'adore quand elle le retrousse - et ses boucles blondes. Mon Dieu ce que je peux aimer glisser mes doigts dans ses cheveux. Mais je deviens complètement folle quand mes mains frôlent sa peau. La folie devient un euphémisme quand j'ai le droit de l'embrasser.

On n'est toujours pas allées plus loin. Je sais que Clarke commence à avoir du mal. Attendre n'est pas son truc, mais elle le fait pour moi. Un sourire étire mes lèvres. Je me sens infiniment mieux.

J'ouvre les yeux et jette un coup d'œil à ma montre. Il est un peu plus de midi. Ce sera bientôt fini. Demain, tout ira mieux. J'espère juste que Clarke ne m'en voudra pas d'avoir disparu toute une journée, sans la moindre explication, sans le moindre message...

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