Chapitre n°9 : Je ne peux pas l'expliquer

2.3K 163 50
                                    

Salut à tous !

Résumé : Clarke déménage, elle quitte Paris pour Polis, sa ville natale qu'elle a quittée il y a 10 ans. Revenir n'est pas quelque chose qu'elle veut au début, après tous, il lui a fallu tellement de temps pour oublier sa vie d'avant... mais a Polis, il y avait cette petite fille dont elle a aujourd'hui oublié le nom... peut-être que le destin les réunira ! Clexa !

Quelque mot sur ce chapitre : Comme promis dans ce chapitre vous allez savoir qui est Costia. Au début, je n'avais pas du tout prévu d'écrire ce chapitre. Il n'était pas dans ma trame et j'espère que ça n'aura pas d'impact sur votre lecture. En même temps vous m'avez tellement demander qui elle était ! J'ai eu pas mal de propositions... et si certaine se rapprochait aucune n'était tout à fait ce que j'avais imaginer. Je suis presque triste que ce petit jeu entre nous soit fini ! Sinon le chapitre est divisé en deux. D'abord, on a plusieurs point de vue comme la plupart de mes chapitre mais au milieu, il y a de nouveau une partie dans le passer qui est écrit avec le narrateur omniscient. Puis on fini avec le point de vue de Lexa et une petit surprise à la fin.

La série The 100 ne m'appartient (toujours) pas.

Je remercie tous ceux qui m'ont mit en favoris, laisser une reviews, les following et les guest bref, TOUT le monde , ça fait vraiment plaisir et m'incite à écrire alors continuer ! :)

Un très grand merci à @Louxit_ pour son travail que je trouve énorme et très efficace sur cette histoire. Sans sa proposition de correction et sa détermination a vouloir donner un nouveau souffle à cette fiction, je ne l'aurai pas posté sur Wattpad !

Je vous souhaite une bonne lecture et je vous retrouve en bas ! :)

oOoOo

Chapitre n°9 : Je ne peux pas l'expliquer

POV - Abby

Je reviens de mes vingt-quatre heures de garde complètement exténuée. Je traîne des pieds jusqu'à la porte. Je suis étonnée de la trouver ouverte. Je soupire en réalisant que Clarke a encore oublié de la verrouiller.

Une fois à l'intérieur, je pose mon manteau et je suis surprise de voir de la lumière dans le salon. Clarke ne veille pourtant jamais au rez-de-chaussée. Je prends la première arme que je trouve, soit un parapluie, et j'avance stratégiquement vers ce qui est une incohérence dans ma propre maison.

Je serre un peu plus mon arme et place mes mains comme s'il s'agissait d'une batte de baseball et j'entre.

Heureusement, je n'ai poussé aucun cri de guerre car il n'y a en fait aucun cambrioleur. Juste ma fille et son amie d'hier, endormies dans le canapé. Elles abordent une position des plus improbables.

Je fixe ce tableau un peu perplexe. C'est bien la même fille qu'hier. Celle qui ressemble tant aux dessins de Clarke. Moi qui m'étais toujours demandée de qui elle s'était inspirée pour créer son personnage principal, j'avais maintenant ma réponse, mais aussi de nouvelles questions.

Soit : pourquoi ? Pourquoi cette inconnue ? Et qui est-elle ? Pourquoi Clarke ne m'a jamais parlé d'elle ?

J'ignore jusqu'au nom de cette fille.

J'étais persuadée qu'il n'y avait pas de secrets entre ma fille et moi. Voilà que je tombais de haut !

Je soupire et décide de les laisser dormir au moins le temps que je mange.

Lorsque je reviens, plus d'une demi-heure plus tard, elles n'ont pas bougé d'un pouce. C'est très certainement un exploit, à la vue du puzzle qu'elles ont fait de leurs membres. Je ne peux décemment pas les laisser dormir ici toute la nuit. Elles auraient à coup sûr un torticolis demain !

RevenirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant