Un mois de préavis [Terminé]

J-9 : "Tu es piqué"

Dimanche 22 novembre

J'ouvre les yeux en sentant le soleil me caresser le visage. Je tourne la tête et vois des cheveux bruns. Je souris. Karol est sur le ventre, la tête tournée de l'autre côté. Je fais dérouler mes yeux sur son corps. Elle ne porte que sa culotte. Mon érection du matin est encore plus présente que d'habitude. Je m'approche d'elle et commence à lui faire des caresses le long de sa colonne vertébrale. Elle frissonne. Je souris. Elle bouge et tourne sa tête vers moi. J'arrête mes caresses. Elle me sourit.

- Tu as bien dormi ? Lui demandais-je

Elle hoche la tête. Je souris.

- Et toi ? Me demande-t-elle

- Mieux que d'habitude. Lui dis-je

- Tu peux continuer... s'il te plaît ? Me demande-t-elle

Je comprend qu'elle fait référence aux caresses. Je souris et reprend. Elle ferme les yeux. Je la regarde. Je veux me réveiller de cette manière tous les matins. Du moins, avec Karol à mes côtés.
Je me rapproche d'avantage d'elle et pose mes lèvres sur son dos. Je me met à califourchon sur elle et remonte mes baisers dans son cou puis sur ses épaules. Elle sourit puis se retourne. Mon érection grossi et commence à me faire mal.

- Tu es magnifique. Lui dis-je

Je plaque mes lèvres sur les siennes. Ses mains glissent dans mes cheveux. Je descend ma bouche dans son cou puis sur sa poitrine. Elle se cambre. Je souris. Je continue mon chemin vers son nombril. Elle rit. Elle est très chatouilleuse à ce niveau. Je ris moi aussi. Je continue à descendre plus bas et pose mes lèvres sur le dessus de sa petite culotte. Je remonte jusqu'à ses lèvres et la regarde.

- Je peux ? Lui demandais-je doucement

Elle hoche la tête. Je pose mes lèvres sur les siennes et redescend en enlevant sa petite culotte. Elle remonte ses jambes. Je lui embrasse l'intérieur des cuisses puis pose mes lèvres sur son intimité. Elle est déjà toute mouillé. Elle soupire. J'entre ma langue. Elle gémis. Elle tire sur mes boucles pour m'inciter à continuer. Ça me rend fou... Elle se cambre. Je continue et lève les yeux vers elle. Elle mord sa main pour s'empêcher de faire du bruit, je souris. Je la sens convulser. Elle lâche mes cheveux pour accrocher les draps puis elle jouit. Je reviens à ses lèvres et l'embrasse. Elle fait glisser ses mains le long de mon dos en laissant une traînée de frisson jusqu'à la ceinture de mon boxer. Elle essaie de me le retirer. Je le fais à sa place puis pose mes lèvres sur son ventre. Elle m'attrape le visage et m'amène jusqu'à ses lèvres. Je colle mon front au sien et entre en elle. Je pose ma bouche sur la sienne pour capturer ses gémissements. J'accélère mes coup de reins. Elle s'agrippe à mon dos. J'avale chacun de ses soupires. Nos peau claquent et nos respirations sont saccadés. Nous sommes proches du septième ciel... J'accélère encore. Je quitte ses lèvres par manque d'air. Elle crie. Je m'empresse de plaquer les lèvres sur les siennes pour l'arrêter, elle sourit contre mes lèvres. Je ne tarde pas à la rejoindre. Je ralentit les coup. Je me retire et m'écroule sur elle. Je pose ma tête sur sa poitrine et elle me caresse les cheveux. J'entends son cœur battre et le mien aussi. Je ferme les yeux. Je suis dans un état second. Il n'y a qu'elle qui peut me mettre dans cette état de bien être.

- Tu rentres toujours avec moi à Buenos Aires ? Lui demandais-je