J-8 : "Je t'aime"

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Lundi 23 novembre

J'ouvre les yeux doucement et tapote la place à côté de moi en espérant trouver Karol mais rien. Je me retourne et vois qu'en effet, elle n'est pas dans le lit. J'espère que ce n'était pas un rêve...
Je me lève rapidement et m'habille puis je me rend directement dans la cuisine. Je souris lorsque je vois Karol. Ce n'était pas un rêve. Elle est bien là entrain de se préparer un café. J'arrive derrière elle et encercle sa taille de mes bras. Je pose mon menton sur sa tête. Je me sens bien quand elle est dans mes bras. Je lui embrasse le cou. Elle se retourne face à moi. Je reste aussi proche d'elle. Elle sourit et je l'embrasse.

- Tu as bien dormis ? Me demande-t-elle

Je lui souris à mon tour. Elle était dans mes bras, évidemment que j'ai bien dormi et je suis d'autant plus heureux puisque cela va se répéter encore et encore.

- Oui et toi ? Lui demandais-je

- Dans tes bras toujours. Me dit-elle

Mon cœur palpite. Je l'embrasse une énièmes fois. Je la regarde. Ses yeux brillent. Elle est magnifique.

- Tu es belle. Lui dis-je

Elle rit et secoue la tête comme pour écarter cette idée.

- Impossible. Tu as vu ma tête ? Je ne suis même pas maquillée.... dit-elle

Je la regarde et sourit.

- Tu n'as besoin de rien de tout ça pour être belle. Lui dis-je

Elle rougis et baisse la tête. Je lui relève le menton pour qu'elle me regarde dans les yeux et qu'elle vois que je suis sincère avec elle. Elle me sourit.

- Je peux t'inviter au restaurant ce soir ? Lui demandais-je

- Évidemment. Accepte-t-elle

Je l'embrasse puis nous nous installons pour déjeuner. Je ne fais que de la regarder.

- Ça fait vide sans Gianni. Me dit-elle

Je ris.

- Oui mais maintenant que tu es la, ça ne l'ai plus. Lui dis-je

Elle me sourit. Je n'ai même pas dis à Gianni que Karol revenait à la maison. Il est partie tellement vite avec Candelaria que j'ai complètement oublié de lui dire.
Je bois mon café puis lève les yeux sur Karol qui me regarde. Elle baisse la tête et sourit. Je fais de même.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Lui demandais-je

- Rien... me ment-elle

- Ne me dis pas rien... c'est quoi ce sourire ? Riais-je

Un mois de préavis  [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant