Un mois de préavis [Terminé]

J-4 : "C'etait écrit"

Vendredi 27 novembre

Je me fais réveiller par les lèvres de Karol sur mon abdomen. Je souris avant d'ouvrir les yeux. Je la regarde. Elle est à califourchon sur moi et elle est vraiment sexy. Elle lève sa tête sur moi et vient m'embrasser. Je pose mes mains sur ses fesses et les presses doucement. Elle rit. Je les passe dans ses cheveux pour l'inciter à continuer de m'embrasser. Elle insère sa langue dans ma bouche et c'est avec plaisir que je l'accueil. Elle s'écarte de mes lèvres et continue de me regarder. Je lui passe la mèche de cheveux qui lui tombe sur le visage derrière l'oreille. Elle me sourit. J'admire la beauté de cette femme.

- Je veux me réveiller comme ça tous les matins. Lui dis-je

Elle frotte son nez contre le mien. Je souris davantage. Je profite de ce moment rien que tous les deux.

- Et moi j'attend toujours que tu me prépares mon petit déjeuner. Rit-elle

Je ris. Elle m'avait dit qu'elle n'allait pas me lâcher avec ça.

- Tu n'as pas oublié... lui dis-je

- Quand il s'agit de nourriture, je n'oublie jamais. Et puis, comme je ne vais plus jamais partir, je ne vais jamais te lâcher. Me dit-elle

Je souris à l'entente de cette phrase. Elle ne va plus jamais partir. Je me précipite sur ses lèvres.

- Je t'aime. Lui dis-je

- Je t'aime Ruggero. Me dit-elle

Elle met son visage dans mon cou. Je passe mes bras autour d'elle. Je ne veux pas me lever et je ne veux pas la lâcher.

- Vous aller répéter jusqu'à tard ce soir ? Lui demandais-je

Elle lève sa tête.

- Et bien non, on a notre soirée libre puisque nous allons répéter toute la journée de demain. Me dit-elle

Je souris. Je suis content de cette nouvelle. Je vais l'avoir pour moi toute la soirée. Je lui caresse les lèvres du bout de mes doigts.
Elle m'embrasse puis se lève.

- Aller ! Debout ! Me dit-elle

- J'ai pas envie... lui dis-je

Elle rit et me tire par le bras. Malgré qu'elle y met tout son cœur, je suis beaucoup plus lourd et fort qu'elle alors je l'attire à nouveau sur moi et la fait basculer sur le dos pour que je me mette sur elle.

- Tu me fatigues. Me dit-elle

Je ris et plonge mon visage dans son cou. Elle n'essaye même pas de se dégager de mon poids. Elle sait qu'elle n'y arrivera pas de toute manière. Elle me fait des caresses dans le dos.