Comme ils n'habitaient pas très loin l'un de l'autre, avant d'aller au restaurant, Hotch avait raccompagné Sara chez elle pour qu'elle pose sa voiture.
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Il passait un bon moment. Il souriait même à une histoire de Sara sur son fils.
- Les enfants sont vraiment la meilleure chose au monde. Dit-il.
- Oui. Je ne sais pas ce que je ferais sans mon fils.
- Je ressens la même chose.
Ils se regardèrent en souriant avec tendresse.
- Une fleur pour votre femme, monsieur ? Demanda un marchand ambulant.
- Nous ne sommes pas... Commença gênée la jeune femme.
- Oui.
Il prit une des roses rouges. Il la donna à Sara puis il paya. Le marchand s'en alla.
- Merci Hotch. Vous êtes très galant.
- Je perçois de la surprise dans votre voix.
- Je sais qu'il ne faut pas se fier aux apparences, et nous ne nous profilons pas entre nous. Malgré tout, ce soir, j'apprends à connaître un Hotch que je n'avais jamais, ne serait-ce imaginer.
- Je ne sais pas comment je dois prendre cela.
Sa collègue sentit la rose.
- Comme un compliment.
La façon dont elle l'avait regardé en lui répondant avait troublé les battements de son cœur. Il cacha son trouble en buvant une gorgée de son verre de vin.
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Il avait passé une excellente soirée. Ils avaient toujours eu un sujet de conversation, sans pour autant parler de travail, ni de l'équipe.
Au moment de payer, la jeune femme voulait partager, mais il refusa. Il lui avait proposé ce repas, il se devait de payer.
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Il raccompagna Sara devant chez elle. Il ne la déposa pas simplement, il l'accompagna jusqu'à sa porte.
- Merci pour cette soirée Hotch.
- Ce fut un plaisir.
Il ne voulait pas la laisser rentrer. Il avait l'impression que s'il laissait passer ce moment, il le regretterait amèrement.
Il ne savait pas qui avait fait le premier pas, trop obnubilé par son regard, mais il sentait à présent ses lèvres sur les siennes.
- Nous ne devrions pas. Souffla Sara.
- C'est vrai.
Mais ces phrases tout juste murmurées, s'effacèrent lorsque leurs lèvres se touchèrent à nouveau. Il l'enlaça la collant contre lui.
- Montons. Murmura sa collègue.
- D'accord.
Dans l'ascenseur, la tension entre eux ne descendait pas.
À peine étaient-ils entrés dans l'appartement de Sara, qu'il reprit possession de ses lèvres tout en commençant à la caresser. La jeune femme passa ses mains dans ses cheveux alors que leur étreinte devint plus sensuelle.
Il glissa ses lèvres sur son cou alors qu'il commençait à la déshabiller.
Quand elle fut en soutien-gorge, il glissa ses lèvres sur le haut de ses seins. Il sentit les mains de Sara venir enlever les boutons de sa chemise. Il la laissa à son tour le déshabiller.
Ils allèrent dans la chambre avant de s'attaquer à leurs bas.
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Il la tenait dans ses bras après leur étreinte. Il lui caressait le dos ainsi que son épaule gauche alors qu'elle lui caressait son torse et sa hanche droite.
- Sara...
- Ne dis rien. Je sais. Ce n'était qu'un moment. Mais ne regrettes rien, car moi je ne le fais pas. Puis, ne me fais pas l'affront de partir de suite.
- Je n'y comptais pas. Puis saches que je ne regrette rien.
Il se pencha pour l'embrasser tendrement.
- Ce n'était pas qu'un moment. Ce sera une nuit.
Il se plaça au dessus d'elle. Le doux sourire qu'elle lui fit en ayant les joues rougies le rendit fébrile. Il se pencha pour l'embrasser une nouvelle fois, mais langoureusement puis avec fougue.
*****
Penelope avait passé une excellente soirée. Ils avaient énormément rit avec Derek. Il avait réussi à la détendre après la journée d'enfer qu'elle avait eu.
Ils étaient devant leur voiture, près du restaurant.
- Rentres bien, baby girl. Envoies-moi un message quand tu seras chez toi.
- Tu t'inquiètes pour moi, bel adonis ?
- Plus que de n'importe qui d'autre, ma baby girl.
Il posa un baiser sur son front. Elle se sentit frémir. Sans le vouloir, il lui avait donné de l'espoir.
- À demain, ma belle.
- À demain, mon beau.
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L'amour au-delà des meurtres
Ficción GeneralAprès la ''mort'' de Prentiss, un nouveau agent arrive au BAU. Elle est envoyée en tant que psychologue pour voir si l'équipe gère leur deuil.