Que des sœurs

(34)

               L'arrivée de l'inspecteur Lars aller donner plus de détails à la famille. Et quelques minutes plus tard, après l'appelle, il sonnât à la porte et Annih étant dans sa chambre, descendait pour aller voir ce qui se passer au séjour, après sa sieste, en profite pour ouvrir.

- Bonjour, que puis-je faire pour vous ?

Montrant son badge, il répond avec un air plus sérieux :

- Bonjour demoiselle, je suis l'inspecteur Lars Mcguire. C'est moi qui suis en charge de l'affaire de votre sœur ! J'ai besoin de parler avec tes parents, est-ce qu'ils sont là ?

Annih, lui répondant oui avec la tête, le laissât rentré. Lui conduisant dans le séjour, où était ces parents et par surprise, elle vit Craig. C'est la surprise de sa vie. La présence du professeur, dans sa maison. Mais, quasiment rien n'avait changé car, même en vivant cette situation, cela n'a pas empêché Annih, avec des signes de la tête, discrètement à le voir en privé.

- Euh maman, il y a l'inspecteur Mcguire qui vous demande !

Dit Annih, ayant les yeux fixés sur Craig. Anniah l'accueil, l'invitant à s'installer, demandant à Annih d'aller préparer du thé. Pour la première fois de toute sa vie, la jeune fille s'en va immédiatement, sans discuter, ni même poser de condition, dans la cuisine. Mais, en faisant un signe à Craig de le rejoindre. Malheureusement pour elle, celui-ci n'y prête pas attention, voulant simplement écouter ce que l'inspecteur a à leur dire. Elle allât colérique dans la cuisine chauffer l'eau au bouillard et s'est précipité dans sa chambre pour lui envoyer un message via son téléphone. Elle redescend ensuite pour leur servir.

- Madame et monsieur Flencher, je suis vraiment très confus de savoir que cette situation n'est pas celui que vous souhaitez, ni même pensait. Et cela nous a aussi abasourdit. Car si cela n'a été qu'un suicide, comme je l'ai dit à votre mari, il y a bien longtemps, on vous aura rendus le corps pour que vous puissiez enfin faire votre deuil en paix. Mais, par le médecin légiste, il y a plusieurs éléments qui ne coïncident pas avec un suicide.

Après les avoir servis le thé, Annih reste pour écouter ce qu'ils sont en train de discuter. Anniah, ne voulant pas mêler sa fille dans cette situation, la demande de retourner dans sa chambre. La jeune fille prit la direction sans discuter. Mais, la curiosité la mène à se cacher silencieusement derrière les escaliers et à écouter.

- Vous pouvez reprendre !

Demande Anniah à l'inspecteur. Puis, il poursuit alors son rapport.

- Je disais, déjà, l'outil qui a servi à votre fille de s'ouvrir les veines, n'a jamais était retrouvé, alors que si c'était réellement un suicide, elle serait soit dans la baignoire ou tomber par terre. Deuxièmement, d'après mon collègue, Rogge Barret, qui est profiler, sa position n'était pas digne d'un suicide. Par la suite, on a constaté qu'elle a des blessures dans ses ongles. Comme si elle essayait de se débattre, mais la force physique lui manqué. Et que quelqu'un continuer à l'épuiser physiquement et psychologiquement. Et enfin, il y a quelque chose qui peut peut-être nous aider à avancer dans l'enquête. Vous saviez que votre fille attendait un enfant ?

Les parents sous le choc, Craig n'arrive plus à encaisser les nouvelles et Annih, écoutant leurs conversations, se situant dans la pièce d'à côté semble perturber. Elle allât immédiatement dans sa chambre et s'enferme à clé. Ils sont abasourdis par ce qu'il vienne d'entendre. Et sur le coup, Craig se fait enfin remarquer en disant aux parents de la jeune victime.

- Monsieur et madame Flencher. Monsieur l'inspecteur, je dois me rendre au lycée.

Trouvant tout simplement une excuse pour quitter ce sujet aborder, les souhaitant bon courage pour la suite. Mais l'inspecteur étant méfiant de tous dans l'enquête s'est mis debout et demande qu'il se présente :

- Et vous, puis-je savoir qui vous êtes ?

- Bonjour monsieur, je comprends votre position. Moi c'est monsieur Craig Joshwe, le professeur principal des sœurs. Ce n'est pas que, mais je ne veux pas faire remarquer mon absence. Passez une bonne journée.

Anniah le raccompagne à la porte et devant, elle la remercie de s'être présenter pour partager ce moment intense. Se retournant pour se diriger dans voiture qu'il a garé assez loin de la maison, il fond sévèrement en larme. Il n'était pas prêt à être parmi les premiers à entendre les mauvaises nouvelles, concernant la femme de sa vie. Mais, soudainement, Annih surgie de l'arrière siège de la voiture, pose sa main sur son épaule droite et tente de le réconforter.

- Mon amour, comment est-ce que tu vas ? J'ai entendu ce que l'inspecteur à annoncer et sache que je suis vraiment triste !

- Annih, mais comment ça se fait que tu es là ? Comment-tu as fait pour ...

Répond-il en étant tout dégouter qu'étonner de la voir.

- Comment je suis rentré n'est pas important. Le plus important, c'est que je sois là pour te réconforter. Et tu sais quoi ? je suis vraiment désolée que tu sois triste pour elle. On peut constater que sa mort t'a beaucoup plus rendu anxieux ?

Dit-elle, essayant de le calmer, en le séduisant de plus en plus. Par son comportement, le professeur constate que la jeune fille ne va pas bien mentalement. Elle insiste pour l'embrasser, se mettant sur le siège avant. Mais il ne se laisse pas faire et la demande de quitter sa voiture en ouvrant la portière.

- Annih ! Tu es folle ou quoi ? Tu sais très bien que ma relation avec ta sœur était sérieuse. Je l'aimais réellement de toute mon âme. Et personne d'autre ne le sait plus que toi, car j'ai pris tous les risques pour être avec elle. Mais tu ne sais pas respecter sa mémoire ? Je me demande si tu n'as rien à voir avec sa mort ?

Elle se mis en colère et le dispute, mais heureusement qu'il n'y avait personne dehors en ce moment-là.

- Quoi ? Mais qu'est-ce que tu veux sérieusement. Elle est morte maintenant. Elle ne reviendra plus. Je suis là pour toi maintenant et je peux te donner tout ce qu'elle ne pourra plus te donner. Arrête d'être aussi têtue.

Cri-t-elle hystériquement, lui tenant fortement les bras pour l'empêcher de le laisser. Mais, Craig l'exige de rentrer chez elle, car il a beaucoup plus de problème actuellement.

- Annih, comment ça se fait que tu te comportes ainsi. C'était ta sœur, pas n'importe qui. Et c'était la femme de ma vie qui portait mon bébé.

- Mais qu'est-ce que j'ai à foutre d'elle maintenant ? Le plus important aujourd'hui c'est toi et moi. Et je suis sûr que son absence peut nous rapprocher encore plus. Si c'est un enfant que tu veux, je peux te le donner et tu le sais très bien, car ce n'est pas la première fois qu'on a couché ensemble ...

Il est assez étonné de la réaction de la jeune fille.

- Vu ton comportement, ça se voit que tu as avoir avec sa mort. Car quelqu'un de normal ne se comporterais pas ainsi. Et en plus, ce que vient de dire l'inspecteur, qu'elle ne sait pas suicider, me convînt plus pour croire que tu as avoir avec la mort d'Annah. Et je suis déterminer à savoir ce que tu as fait.

Le dit-il, la regardant droit dans les yeux. Elle, se mit à rire et lui explique à son tour.

- Je ne sais pas de quoi est-ce que tu me parles. Mais juste une chose, sache que si je tombe, tu tombes aussi avec moi. Car tu vas perdre ton travail pour détournement de mineur et tu vas aussi aller en prison. Alors si tu ne veux pas que je te dénonce, tu vas faire tout ce que je te dis.

- Tu n'as pas besoin de me dénoncer, car je vais me rendre. Et en plus de mes aveux, je vais dénoncer ce que tu faisais à ta sœur. Car elle m'a tout raconté et si elle était encore ici, j'aurais tout fait pour la protéger de toi. J'aurais honte à ta place.

Elle est choquée par ce qu'il vient de lui cracher au visage. Au bout de la rue, Annabelle, surgissant discrètement de nulle part les perçoit. Constate outre qu'une conversation entre ami, car les gestes expliqué consciemment tout. Craig exigeant à Annih de sortir de sa voiture. Elle sortit en larme, la laissant planter-là. Il démarra la voiture, partant. Celle-ci poussât un cri et Annabelle courut vers elle pour savoir ce qui s'est passait, en la prenant dans ces bras.

- Annih, est-ce que ça va ? Qui était-ce ?

- Personne d'important !

Répond-elleen rejetant sa sœur, rentrant frustré chez eux. Annabelle la suit par derrière,ne cessant de regarder en arrière, par peur que cet individu ne revienne.