~ 13 ~ Désir

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Hey tous le monde !

Me voici avec un nouvel OS plus sensuel cette fois ci.
PAS de lemon, juste, comme le dis si bien le titre, il n'y a que du désir.
Mettez la musique quand je vous le dirais.
Sur ce, bonne lecture !
Kiss <3

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Le désir n'est pas éphémère, il est constant. C'est un besoin naturel dont nous avons l'appétence en permanence et dont on ne peut se passer.

Le manque en serait alors des plus insoutenables, au-delà de la crise de nerf.

Le désir est très souvent lié au plaisir sexuel. Mais il n'est pas que cela. Il peut être objets, animal, alimentaire, il peut être le pouvoir ou encore l'argent. L'humain en est sa principale cause.

Par sa puissance, le désir peut même devenir douloureux t'en l'envie de possession est forte.

Désiré revient à rêvé de la chose souhaitée, que l'on veut posséder.

L'homme et la femme sont toujours avides de plus. Cela leur est presque vital.

Le comble que pourrait être la limite du bonheur (s'il y en avait une) serait pour cet être qu'est l'humain, de désiré, mais plus particulièrement d'être désiré en retour. Alors là, il serait définitivement et totalement comblé, si barrière, il y avait.

Un jeune homme brun, accoudé au comptoir d'un bar d'une boite de nuit, fessant aussi l'office d'hôtel, avait justement à faire aux bordures étroites qu'ils s'étaient fixées pour cette soirée. Il avait pour mission de ne pas toucher à cette être exquis dansant au milieu de la foule, qui n'était d'autre que son petit ami.

Il avait alors commandé une boisson alcoolisée quelconque, c'était installé sur un tabouret à l'assise en cuire rouge et c'était mis à observer toutes ses personnes bougeant en tout sens, pour la plupart déjà bien peu nette. Mais il ne pouvait empêcher son regard d'aller et venir sur cette même et unique personne à la chevelure blonde qui dansait et s'élevait dans les airs d'une façon plus sensuelle, plus folle que les autres, enfin, trouvait-il. Cet homme le rendait fou.

Newt était prêt à tous pour faire craquer son copain et il le savait. Il savait aussi comment s'y prendre et se débrouillais plutôt bien jusque-là. Il savait aussi ce qu'il y avait en jeu s'il gagnait.

Thomas ne pouvait s'empêcher de le détailler de bas en haut. Newt était habillé d'un élégant pantalon noir, maintenu par une ceinture de la même couleur, suivant à la perfection la longueur de ses jambes, s'arrêtant juste au-dessus de ses chevilles. Sa chemise blanche était rentrée, il avait retroussé ses manches au trois-quarts. Il avait mis pour compléter le tous une paire de basket immaculé de la même couleur que son haut. Il était magnifique et d'un séduisant ! Sa bouille si angélique, soit-elle, cachait bien des choses. Il paraissait si pur, alors qu'il était tout le contraire. Plutôt dominant et toujours avide de le faire dans tous les endroits possibles et imaginables, et dans toutes les positions, rien de l'arrêtait. Mais Thomas ne s'en ai jamais plein.

(musique)

La musique qui jusque-là donnait à sauter et à crier les paroles de chansons classiques, passa sur un tout autre ton, plus lent, plus sexy, d'une certaine façon. De quoi faire commencer les collés-serrer pour ceux qui ne voulaient pas passer la nuit seul.

Newt avait, lui aussi, changé sa façon de danser. Lui, qui juste que là bougeai en tous sens, passa sur des mouvements plus lents, plus calculé. Il avait une certaine délicatesse qui se dégageait de ses gestes d'une souplesse déconcertante. À croire qu'il avait fait cela toute sa vie.

Thomas était totalement subjugué par la façon qu'il avait de se déhancher. Il l'appelait clairement à la luxure et il commençait à avoir chaud.

Il avait l'impression que la scène se passait au ralenti. Newt avait les bras dans les airs, il les bougeait au même rythme lent que son corps.

Son amant commençait à avoir du mal à tenir en place. Son assise lui sembla bien moins confortable.

Newt fessait onduler son corps bien trop sensuellement pour que cela soit innocent. Et c'est alors qu'il passa à l'étape supérieure. Il se mit alors à regarder Thomas dans les yeux tout en continuant à bouger. Ses yeux étaient d'un noir empli de provocation pur, il avait un léger sourire carnassier, mais séducteur, au coin des lèvres.

Le brun dégluti difficilement et se commanda un nouveau verre qu'il but d'une traite, la fraicheur de la boisson n'ayant en aucun cas aidé à la descente de la pression qui s'accumulait dans tous son corps. Il sentait son bassin chauffer, mais il n'arrivait tout bonnement pas à décrocher son regard de cet être qu'il désirait tant. Il ne voyait que lui, il n'y avait que lui.

Le blond fit alors descendre ses mains le long de son corps dans une caresse légère avant de les remonter gracieusement. Thomas ne put s'empêcher de lâcher un grognement de satisfaction.

Et là, ce fut sûrement le geste de trop, le geste qui déclencha tous. Newt venait d'ouvrir le premier bouton de sa chemise laissant entre apercevoir une parti de ses clavicules blanches.

La tension était montée d'un coup alors que la deuxième attache subissait le même sort. Le regard du blond était brûlant alors qu'il était en train de se mordiller la lèvre inférieure.

Ce dernier geste fit se lever Thomas d'un seul coup, la tentation de le rejoindre devenant bien trop forte pour que cela puisse être supportable.

Son bas-ventre quant à lui, n'attendait que ça, il était au bord de l'implosion.

Newt le provoquait ouvertement. La troisième accroche allais être enlevées, quand, Thomas n'y tenant plus, le rejoignis en à peine trois enjambés. Il se colla au blond qui passa ses mains autour du cou du brun derrière lui, tout en continuant à se déhancher, frottant ses fesses à l'érection de Thomas qui ne put s'empêcher de lâcher un gémissement.

- Tu as perdu. Tu me dois donc une nuit de folie ou tu me seras complètement soumis.

- Quel est votre numéro de chambre monsieur Isaac ?

Pour toute réponse, Newt lui prit la main et lui fit traverser un dédale de couloirs avant de passer le pas d'une porte en lourd chêne massif ou tous leurs rêves et désirs les plus charnels seront réalisé et mis à découvert.

Thomas savait qu'il avait perdu à l'instant même ou il avait accepté le deal, il se savait incapable de lui résister, le désir qu'il ressentait de le toucher étant bien trop fort et vital pour lui. Newt était son encre et lui sa plume.

OS de Newtmas Où les histoires vivent. Découvrez maintenant