Rimes coquines

Canicule

Un été chaud dans l'appartement
Moi en caleçon, elle en sous-vêtements
La clim en panne, une vague de chaleur
Nous étions tous les deux en sueur

Il ne baissera pas, ce coquin de mercure
Tout était soit trop mou, soit trop dur
Ma belle coloc est petite, la bougresse
De jolis petits seins, de grosses fesses

Nous étions jeunes et étudiants
Curieux de tout, expérimentant
Les rapports humains sous toutes leurs formes
Sans nous mélanger, car c'est la norme

Mais la chaleur nous a piégé
Le troisième jour, en fin de journée
Elle prenait sa deuxième douche
La porte ouverte, pas farouche

Le propre des températures élevées
Est de pouvoir tout dilater
Et en étant peu habillé
Des choses ne peuvent être cachées

On a croisé nos regards
Quand j'ai traversé le couloir
Elle était nue et toute mouillée
Et moi, hé bien, moi, je bandais

Ça n'est pas arrivé de suite
Mais après c'est allé très vite
Elle m'a rejoint dans la cuisine
A vu la bosse de ma pine

Cheveux mouillés, courte serviette
Et rien dessous, elle semblait prête
Hoche la tête, fait "On arrête!
De porter ça, soyons honnête."

Elle laisse glisser le tissu au sol
Mon boxer tombe sur ma demi-molle
Qui durci vite sous son regard
Peut être un peu ostentatoire

On se retrouve à même le sol
Moi, contre le mur, sa bouche se colle
Sur ma queue maintenant bien dure
Qu'elle aspire entre deux murmures

Derrière elle un grand miroir
Me montre tout ce qu'il y a à voir
Son beau cul est dressé en l'air
Ses fesses, sa chatte, toutes ces chairs

Et puis soudain elle se retourne
Il va falloir que je l'enfourne
La tête au sol, les fesses au ciel
Qu'elle écarte à deux mains, un appel

"Je veux que tu me la mettes là"
Et moi qui n'ait jamais fait ça
Car elle parle bien de sa rondelle
Je fais "OK" à la demoiselle

Elle me guide patiemment
D'abord un doigt très lentement
Et quand le trou s'y prête enfin
Je m'approche d'elle ma bite en main

Ma queue est dure comme une barre
Quand je m'enfonce, elle pique un fard
Car je nous voie dans le miroir
Mais je regarde surtout mon dard

Qui lentement, doucement force
La porte arrière de sa Rolls
La sensation est délicieuse
Et fait suer mon aguicheuse

Encore juste quelques centimètres
Et j'y serai jusques-aux couilles
Elle qui voulait que je la lui mette
Là, maintenant elle se déverrouille

Voilà j'y suis, c'est juste divin
Mon ventre au contact de ses reins
Je commence à me retirer
Mais elle me demande de rester

J'en profite pour lui caresser
Ses fesses, son dos, ses épaules nues
J'y suis, au fond de son beau cul
Comme j'aimerais le pilonner

Elle glisse une main entre ses cuisses
Caresse mes couilles et sa chatte lisse
Puis enfin elle me murmure
"Tu peux bouger, elle est si dure"

Je m'exécute sans attendre
Son cul est élastique et tendre
Je me régale de reculer
Pour pouvoir encore l'enculer

Elle pousse un petit cri aigu
Je m'arrête, mais elle dit "continue!"
"Ramone mon trou, mais prends ton temps"
"Caresse-moi les seins, lentement"

J'acquiesce et me penche en avant,
Écarte les jambes pour rester dedans
Je frotte mes cuisses contre ses fesses
J'adore comme elles sont épaisses

Elle continue de se caresser
Et commence un peu à trembler
Là je crois qu'on va bientôt y être
Ça ne va pas tarder, je dois l'admettre

Son petit trou est bien serré
En plus d'être très bien nervuré
Je donne encore deux, trois poussées
Et là elle s'est mise à crier

C'est un orgasme long et intense
Je la suis dans cette dernière danse
Je gicle en elle comme jamais
Un jet tombe même sur le parquet

Nous restons ainsi quelques instants
Comme pour faire durer ce moment
Et le tonnerre a retenti
Mettant fin à l'épiphanie

"Demain matin, je déménage"
"C'était prévu avant tout ça"
Elle me l'annonce sans ambages
Je suis déçu, et elle le voie

Elle m'embrasse au coin de la bouche
Me dit qu'elle ne m'oubliera pas
Je suis le premier qui ici la touche
Et qui la touche de cette façon-là

Voilà pourquoi quand on annonce
Canicule et fortes chaleurs
Je me souviens de la défonce
De son cul et de ce bonheur