Mario

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Mario, petit plombier replet de son Etat,
Ne saurait dire comme il en était là.
Il avait délaissé ses outils, voilà le pitch :
Partir au secours de la princesse Peach

Princesse du Royaume d'il ne savait où 
Peach la bien nommée pour ce qu'elle cachait sous
Ses robes de soies et jupons de dentelles
Des jambes girondes, une paire de fesses, belle

Mario avait marché, couru, bondit
Et au passage s'était fait des amis
Il avait désherbé, surtout des radis
Cueilli des champignons, retrouvé Luigi

Puis il avait affronté, seul et à mains nues
De terribles ennemis, des monstres du cru
Bowser le blindé, toute la famille Koopa
Et Wario, son reflet inverse, d'autres aléas

Il mit tant d'années, de châteaux en châteaux
De mondes inondés en hautes citadelles
Des créatures voraces et de vicieux robots
Mais pour se motiver, la princesse, ses dentelles!

Las! Intouchable autant qu'elle était douce
Quand il croyait l'atteindre, ce n'était que son ombre
Il se fit promener dans le mille-feuille des mondes
Et n'était plus très loin de demander "pouce!"

Puis vint enfin le jour du tout dernier château
Pas de farces, pas de trucs, que du vrai, rien de faux
Il gravit les marches de tous les escaliers
Traversa les salles de tous les dangers
Et enfin arriva dans le dernier donjon
Où l'attendait Peach, fraîche comme un gardon

Il y eut un ralenti, puis un arrêt sur image
Ils étaient enfin seuls, tous deux, encore sages
Mais plus pour très longtemps, car désir et émotion
De la belle princesse, faisaient mouiller le con

Mario n'était pas non plus en reste
Une énorme bosse trouait sa salopette
En trois pas, face à face enfin ils se trouvaient
Fatigue et colère s'étaient envolées

Ils se prirent dans les bras et s'embrassèrent enfin
Peach le câlina et le serra fort sur son sein
Mario promena ses mains sur tout son corps
Caressa et huma ses longs cheveux d'or

Vint enfin le moment de la déshabillade
Plus de fuite en avant, plus de dérobade
En bon technicien, Mario ne mit pas longtemps
A retirer son bleu de travail, habilement 

La robe était une autre paire de manches
Corset lacé d'épaisses ficelles blanches
Jupes et jupons, au moins trois couches de chaque
Mais Mario avait plus d'un tour dans son sac

Duquel il sortit fourniture et outils
Pinces, colle, joints et vernis
Quand il eut terminé, ils étaient nus tous deux
Et c'était à celui qui embrasserait le mieux
Mais le sexe de Mario touchait celui de Peach
Drôle de situation, dans un décor si kitsch 

Il la pénétra debout, presque par accident
Ils étaient tellement proches et se touchaient tellement 
Peach sursauta et eut un gémissement
Mario se tendit et fit un grognement

Il l'attrapa par les hanches pour l'asseoir sur son vit
Qui glissa en elle, provoquant nombreux cris
Des deux participants à ces chaudes retrouvailles
Pour Mario c'était comme une dernière bataille

Il s'était ensuite allongé sur elle
L'avait pilonnée et honorée comme telle
Puis toutes les positions y étaient passées
Levrette et andromaque, debout ou bien couchés

Après plus d'une heure de pareil traitement
Mario avait déjà jouit plus que de contentement
Mais pour Peach, les portes du plaisir
Restaient closes, refusaient de s'ouvrir
Elle sentait son amoureux fatiguer, c'est normal
Elle n'osait pas lui proposer l'anal

Alors qu'elle le chevauchait et le sentait faiblir
Elle eut l'idée géniale qui la ferait bien jouir
Elle savait l'effet des champignons magiques
Sur son beau Mario et surtout sur sa trique

Par bonheur elle en avait dans sa tour
Elle alla en chercher, pleine d'amour
Elle s'assit à nouveau sur la queue du plombier
Lui fait signe d'ouvrir grand et y fourre le goûter

L'effet ne tarde pas, s'accompagne d'un son
Peach sent la verge doubler de volume dans son con
Mario regagne sa vigueur de suite
Et dans sa chatte, fait jouer sa bite

Elle décolle du sol, il doit la maintenir
Il n'est plus vraiment lui, il vient de s'agrandir
Peach commence un long cri, aigu et saccadé
Mario la retourne, levrette sur le parquet 
Il voit son sexe roide bien coulisser en elle
Il s'accroche à ses fesses qu'elle a vraiment très belles

Par la grâce du champi, Mario aurait duré
Encore de nombreuses heures, si ce n'est
Que Peach atteint l'orgasme et son apothéose
Qui la fait trembler, lui donne les joues roses

Tout le monde, au Royaume, à dû les entendre
Après autant de sexe, viennent les gestes tendres
Ils s'endorment de suite, un repos mérité
Font le tour du cadran et s'éveillent reposés

La princesse le regarde d'un air coquin, et sans hâte :
"Dis-moi, mon amoureux, sais-tu conduire un kart?"

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