Après une grosse journée, je rentre tard
Ma femme m'engueule, croyant à un rencart
"Avec qui tu étais, elle demande, encore une?"
Sans me laisser le temps juste d'en placer uneJe laisse passer l'orage en attendant le calme
Espérant que peut-être elle déposera les armes
Mais c'est le contraire, le premier coup part
La gifle que je reçois sans vraiment la voirLa rage me prend et je me tourne vers elle
Qui dissimule un sourire, diable de donzelle !
Je remarque alors comme elle est habillée
Nuisette vaporeuse et large décolletéJe l'attrape par les bras, sous ses épaules nues
La regarde intensément, ses yeux sentent le cul
Rouge et en sueur, elle tente encore de gueuler
Je m'approche un peu plus et la tais d'un baiserMaintenant elle tremble, parce qu'au fond elle sait
Qu'elle va avoir ce qu'elle veut, ce qu'elle attendait
Je la plaque au mur et l'embrasse encore
Mes mains courent sur elle et sur tout son corpsDe sa taille fine à ses hanches voluptueuses
Gémissements et soupirs, elle se fait langoureuse
De son cou gracile à ses seins rebondis
Elle ondule, supplie et pousse de petits crisMes mains s'attardent sur son option confort
Là où ses cuisses douces rejoignent son corps
C'est mon péché mignon, et elle le sait bien
Ses belles pêches mignonnes, meilleures que ses seinsTrêve de tout ça, changeons de vitesse
Je ne pense qu'à une chose : ses jolies fesses
Je déchire sa nuisette, qui glisse au sol
Elle a sursauté, on inverse les rôlesMes vêtements que j'enlève volent en un instant
Nous sommes nus tous deux, excités, consentants
Je la prend par les hanches, lui mordille l'oreille,
Elle gémit de nouveau, une vraie merveilleJe la retourne de suite, admirant son fessier
Le caressant à deux mains avant de l'écarter
Elle se cambre aussitôt, réclamant la suite
Que je tiens dans ma main, mon chibre, ma biteElle écarte d'une main une admirable fesse
Je m'approche, je me frotte, puis je la laisse
Prendre les choses en main pour dedans me guider
Je sens ses doigts carmins sur ma queue violacéeQuand je suis dans l'axe et que je sens sa mouille
Juste mon gland au contact, un sursaut dans les couilles
J'attends quelques secondes, savourant l'instant,
Puis d'un coup d'un seul, je lui rentre dedansOn a crié ensemble, juste au moment où
Après ce coup de reins, j'arrive tout au bout
Mes cuisses musclées viennent claquer sur ses fesses
Je lui attrape les seins, ma libido en liesseJe la pilonne sans arrêt, parfois dur, parfois doux
Elle gémit plus fort, au rythme de mes à-coups
Me dit comme c'est bon, et m'en demande encore
"Ta main sur mon clito, presse-le donc, plus fort!"On a jouit tous les deux, un seul cri pour deux âmes
Nos deux corps collés, il y eut même quelques larmes
Pleurer de jouissance plutôt que de tristesse
Et s'endormir ensemble, ma joue contre ses fesses
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Rimes coquines
PoésieUn essayage de bikini qui dérape, une rencontre inattendue au bord d'une route, la piscine d'un hôtel presque vide, une randonnée polissonne... Autant de situations, autant de rencontres, autant de fantasmes que je vous invite à découvrir.