II Chapitre 2

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Alors le conseil débuta :

(Elrond) - Étrangers venus de Terres lointaines, amis de toujours, vous vous êtes rassemblés ici afin de répondre à la menace du Mordor. La Terre du Milieu est au bord de la destruction, nul ne peut y échapper. Vous vous unirez ou vous serez vaincu. Chaque race est lié à ce destin, à ce sort commun. Montrez leur l'Anneau Frodon, commença Elrond très calme.

Frodon alla placé l'anneau unique sur le socle de pierre au milieu de l'assemblé. Je pus percevoir des changement dans le visage de chaque personne du conseil comme si ils étaient hypnotisé par l'anneau pourtant moi je ne ressentais rien à par une douleur à la tête, comme une sorte de pression interne. Alors je vis un homme Boromir de Gondor qui était comme attiré par l'anneau

- Alors, c'est vrai... murmura Boromir.

Il se leva lentement, puis il reprit :

- Lors d'un rêve, j'ai vu à l'Est le ciel s'assombrir mais à l'Ouest une pâle lueur persisté.

Il se rapprocha de l'anneau

- une voix s'écrier "Votre fin est proche, le fléau d'Isildur à était retrouvé", le fléau d'Isildur.

Il tendit la main vers l'anneau, il était à deux doigt de le touché, Elrond et moi on se leva en même temps et on cria son nom. Gandalf lui parla dans la langue noir, il finit par se lever alors que j'avais énormément mal à la tête et que je commençais à tanguer. Je vis Elrond se tenir la tête tandis que Legolas fermé les yeux et Evranï se tenait la tête. Le ciel qui s'était assombri deviens à nouveau claire une fois l'incantation finit. Elrond m'aida à m'asseoir et je le remercia d'un hochement de tête.

- Jamais de mot n'ont été prononcés dans cette langue ici à Imladris.

- Je n'implore pas votre pardon, maître Elrond

Ce dernier s'assit enfin.

- Car le parler Noir du Mordor peut déjà être entendu dans toute les régions Ouest. L'anneau est totalement maléfiques.

Gandalf allait s'asseoir quand Boromir se leva en disant :

- Cet Anneau est un don, un don fait aux ennemis du Mordor.

Gandalf fini par s'asseoir tout de même et Boromir continua :

- Pourquoi ne pas s'en servir ? Depuis longtemps mon père, l'intendant du Gondor a tenu a distance les forces du Mordor, c'est grâce au sang de notre peuple que vos terres sont encore en sécurité. Donnez au Gondor l'arme de notre ennemi et laissez-nous l'utiliser contre lui !

 - On ne peut le contrôler, intervint Aragorn. Aucun d'entre nous ne le peut ! L'Anneau unique ne répond qu'à Sauron, il n'a pas d'autre maître ! dit-il calmement.

Boromir se retourna vers Aragorn en le prenant de haut, puis dit :

- Et qu'est ce qu'un rôdeur connaît à ces choses là ?

- Ce n'est pas un simple rôdeur! Décida d'intervenir mon cher époux en se levant. C'est Aragorn fils d'Arathorn, vous lui devez serment d'allégeance

Un lourd silence ce fit entre eux, surpris par l'étonnante révélation de Legolas. Je jetai un bref coup d'œil dans le ciel, puis mon regard se posa sur Legolas, mais il ne vit rien.

Bien sûr, Boromir resta fière et la tête haute.

- Aragorn ? Le descendant d'Isildur?! Finit par demander Boromir abasourdit, bien qu'il ne le montra à peine. 

- Et l'héritier du trône du Gondor, lui affirma Legolas. 

Boromir dévisagea Aragorn avec une lueur de stupeur dans son regard, puis Aragorn qui eut l'air gêné que l'on parle de lui comme ça, fit un geste pour calmer Legolas et Boromir avant de dire :

- Asseyez-vous Legolas

Boromir regarda Legolas d'un air de défi, puis il dit sèchement :

- Le Gondor n'a pas de roi... il n'en a pas besoin.

Boromir partit se rasseoir et continua de regarder Aragorn d'un regard mauvais. Celui là ne me plait pas trop mais je ne dit rien la réunion est trop importante pour que je  puisse me permette de perdre mon sérieux.

- Aragorn a raison. Nous ne pouvons l'utiliser, déclara Gandalf.

Elrond se leva et prit la parole avec un air très sérieux :

- Vous n'avez pas le choix... L'Anneau doit être détruit.

Boromir baissa les yeux et il fut exaspéré par cette décision.

- Qu'attendons-nous pour le faire?!

Tout à coup, Gimli se leva rapidement et s'empara de sa hache. Avant que quelqu'un n'est pu l'empêcher de faire cette bêtise, Gimli eut déjà abattu sa hache sur l'anneau. Sa hache se brisa en mille morceau et Gimli tomba en arrière avec un air choqué en constatant que sa hache fut brisé en mille morceau.

Anorïel et la Terre du MilieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant