Anorïel et la Terre du Milieu

I Chapitre 12

Je me transforma en aigle et m'envola pour rejoindre Tauriel et Legolas.

Je les retrouva non loin de Gundabad, on grimpa ensemble une des coline et on regarda le batiment, Tauriel dit

- Gundabad. Qu'y as-t-il au delà ?

- Un vieil ennemi. L'ancien Royaume d'Angmar

Je continua

- Cette forteresse était sa principale place forte, c'est là qu'était leur immense armurerie. Là qu'ils forgeaient leurs armes de guerre.

- Une lumière, quelque chose à bouger.

- Attendons qu'il fasse nuit. C'est un lieu très dangereux Tauriel. Dans un autre âge, notre peuple à mené une batail sur ces terres.

Les larmes me montaient aux yeux rien que de repenser à ce qui c'est passé ici.

- Ma mère est morte ici. Mon père n'en parle jamais. Il n'y as pas de tombe. Pas de souvenirs. Rien. Il ne me reste que Anorïel pour m'en parler quand ce n'est pas trop difficile pour elle. Je vais allez cherchez un endroit pour faire un feu, comme ça vous pourrez vous reposez en attendant ce soir. Surtout toi Anorïel, je suis sûr que à part quand tu t'évanouis, cela doit fait plusieurs jours que tu n'a pas dormis.

- Tu sais très bien que je fait beaucoup de cauchemars à cette époque.

Il y as deux jours c'était le jours de la mort de ma meilleure amie, je revivait souvent à cette époque la scène quand je dors même après deux mille neuf cent ans, cette scène me hante toujours.

- Ne t'en fait pas, je serais près de toi.

Quelques minutes après, Legolas nous fit signe et on le suivit, il avait trouvait une grotte où il n'y avait rien et pas de piège. Le feu était déjà fait et Legolas étendit une cape pour que je me couche dessus ce que je fit. Legolas souleva un peu ma tête et la mit sur ses genoux, il me caressa les cheveux et je finis par m'endormir.

"Nous étions à Gundabad pour une bataille, seulement, nous étions en trains de perdre, avec les soldats nous voulions protéger la Reine en essayant de la faire sortir de cet endroit maudit mais elle avait refusé, elle ne voulait pas abandonné ses soldats. J'était à quelques mètres de Evranï quand soudain je la vis se faire encerclé par cinq Orque. Je tua le plus rapidement possible les Orques qui se trouvaient sur mon chemin. Je tua les Orques qui l'encerclait puis je me mit à ses côtés pour combattre. Seulement je ne vis pas la lance arriver dans ma direction. Ce ne fut que lorsque Evranï me poussa et se prit la lance à ma place que je compris. Avec une flèche je tua l'Orque et tomba à genoux au côté de ma meilleure amie.

- Evranï !!

Du sang commencer à couler le long de sa bouche,

- Tu, tu pourras, veiller sur mon fils s'il te plaît

- Ne dit pas ça je t'en supplie, je vais te sauver.

Les larmes coulaient le long de mes joues.

- On sait, toutes les deux, que c'est, trop tard. Ne renie pas, ce que tu ressens, même si ils, sont en vers, mon fils, plus tard.

- Je ne comprends pas

- Il n'y as, rien as, comprendre.

Son visage se contracta puis elle rendis son dernier souffle

- NAAAAAAAAN, EVRANÏ "

Je me réveille en sursaut, Legolas me tenait pas les épaules. Je laissais mes larmes coulaient sans rien faire, j'en avais besoin. C'était la première fois que mon cauchemar allez aussi loin, d'habitude il s'arrête au moment où je cris la première fois son prénom. J'avais complètement oublié ce qu'elle m'avait dit sur cette histoire de sentiments. Il faut savoir que Evranï pouvait savoir avec qui un Elfe est lié. Ce qui veut dire que j'était destiné à épouser Legolas. Nous avons commencer à sortir ensemble lors de sa centième année, près de 70 ans après la mort d'Evranï. Nous nous sommes mariés trois ans plus tard et nous avions même eu une fille, que nous avons nommé Evranï en l'honneur de la mère de Legolas, mais Thranduil ne l'a jamais su car peut de temps après la mort de sa femme, il m'a banni de son royaume pour toujours, me prenant comme responsable pour la mort de sa femme.

Legolas me prit dans ses bras en me berçant et me chuchota des mots doux. Après plusieurs minutes je finis par me calmer.

- ça va mieux ?

- Oui, merci. Où es Tauriel ?

- Dehors elle monte la garde. La nuit vient tout juste de tombé. On va pouvoir retourner voir la forteresse.