I Chapitre 2

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Le quatrième soir nous avons rendez-vous Thorin, son conseiller Balin, le hobbit Bilbon, Gandalf, Elrond et moi.

- Nos affaires ne regarde pas les Elfes.

- Au nom du ciel Thorin, montrer leur la carte.

- C'est l'héritage de mon peuple. Je doit le protéger. Lui et ses secrets.

- Que l'on me préserve de l'entêtement des Nains. Votre orgueil causera votre perte. Vous êtes chez l'une des rares personnes en terre du milieu qui puisse lire cette carte. De plus vous avez encore plus de chance qu'une autre de ces personnes soit venu à Fondcombe au moment même où nous sommes aussi présents. Montrer la au seigneur Elrond et à la Dame Anoriël.

Thorin sortit de sa veste la carte, il s'avança vers moi et Elrond qui étions côte à côte et faisait face au invité. Le Nain sans doute le plus sage de leur compagnie empêcha Thorin d'avancer avec son bras

- Thorin non.

Thorin le repoussa et s'avança encore vers nous. Il tendis la carte à Elrond. Ce dernier la prit et la déplia, je remarque de quel endroit il s'agit

- Erebor ?

- De quel nature est votre intérêt pour cette carte ? Demanda Elrond.

C'est Gandalf qui répondit :

- Il est d'ordre intellectuel. Comme vous le savez ce genre d'objets contient parfois des textes caché. Vous lisez toujours le Nanien ancien n'est-ce pas ?

On se dirigea tout les deux vers la lumière de la lune et je dit :

- Ha des runes lunaires

- Des runes lunaires... bien sûr. Difficile à repérer.

Elrond lui expliqua :

- Dans le cas présent c'est vrai, les runes lunaires ne peuvent être lu qu'à la lumière d'une lune de même forme et saison que le jour où elle furent tracées.

- Sauriez vous les déchiffrer ?

On se dirigea vers le lieu où on pourra lire la carte. Le lieu se trouvait dans une crevasse sous les cascade. Je leur expliqua :

- Ces runes ont étés écrites d'une veille de solstice d'été sous un claire de lune à son premier quartier il y as près de 200 ans.

Elrond posa la carte sur le socle qui était présent puis dit :

- Vous deviez être destiné à venir à Fondcombe. La chance est avec vous Thorin écu de chêne. Une lune identique brille au-dessus de nous ce soir.

Les rayons de la lune traverse l'eau pour se refléter sur la carte. Un texte apparût. Elrond lu ce qui était écrit.

- "Tenez-vous près de la pierre grise quand la grive frappera."

Je continua :

- "Et le soleil couchant, à la dernière lueur du Jour de Durin, brillera sur la serrure."

Bilbon demanda :

- Le jour de Durin ?

- Le premier jour du nouvel An des Nains. Quand la dernière lune d'automne et le premier soleil d'hiver apparaissent ensemble dans le ciel.

- C'est très fâcheux. L'été se poursuit. Le jour de Durïn approche à grand pas.

- Nous avons encore le temps.

- Le temps de quoi ?

- De trouver l'entrée. Nous devrons nous tenir au bon endroit, et aussi au bon moment. Alors et alors seulement, la porte s'ouvrira.

Elrond dit :

- Ainsi c'est la vôtre but. Entrer dans la montagne.

- Et alors ?

- D'aucuns estimerait que cela n'est pas prudent.

Il rendit la carte à Thorin. C'est Gandalf qui demanda :

- Que voulez dire ?

Je répond à la place d'Elrond

- Vous n'êtes pas le seul gardien qui veille sur la terre du milieu Gandalf. 

On repartit Elrond et moi.

Gandalf nous rejoignis alors qu'une autre réunion nous attendez, celle ci plus importante que celle avec les Nains, le conseil Blanc. Gandalf nous dit :

- Avec ou sans nous, ces Nains vont continuer leur marche vers la Montagne. Ils ont la ferme attention de reconquérir leur terre. Je ne crois pas que Thorin Ecu-de-Chêne estime n'avoir de comptes à rendre à quiconque. Pas plus que je n'en ai à rendre.

- Ce n'est pas as nous que vous devez rendre des comptes.

Lorsque l'on entra dans la pièce, on pouvait voir la personne la plus sage sur cette terre se tourner doucement vers nous.

- Dame Galadriel

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- Dame Galadriel.

- Mithrandir. Cela fait bien longtemps.

- Il se peut que les ans m'aient changé, mais il n'en est rien pour la Dame de Lórien.

Le sourire de la Dame de la Lórien s'agrandit.

- J'ignorais que le seigneur Elrond et la dame Anorïel vous avait fait venir.

On entendit une voix d'un homme sage, le plus haut gradé des Istaris.

- Ce n'est pas eux. C'est moi.

Saroumane toujours vêtu de blanc et avec son bâton venait de sortir de l'ombre. On baissa la tête en guise de salutation.

- Saroumane.

- Vous êtes fort occupé, ces temps-ci, mon ami.

Gandalf et Saroumane s'assirent l'un en face de l'autre autour d'une table en pierre ronde. Moi, le seigneur Elrond et la Dame Galadriel étions debout. La Dame Galadriel était entre Gandalf et Saroumane un peu plus loin et nous faisait face à Elrond et moi.

Anorïel et la Terre du MilieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant