IV Chapitre 5

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Le sol se mit à gronder et à trembler. Des crânes se mirent à rouler à nos pieds. Dans un bruit de tonnerre, la vieille façade du palais se brisa en gros bloc, laissant passer une marée de crânes. La vague charria d'énormes blocs de pierre qui menaçaient d'emporter quiconque s'aventurerait sur leur trajectoire.

- Sortons ! hurla Aragorn, Vite !

On progressa rapidement sur le chemin escarpé qui menait à l'air libre, nageant plus que marchant à cause des crânes qui nous roulaient sous les pieds.

Avec toutes les peines du monde, on traversa une langue de sentier où la cascade d'os était bien plus forte qu'avant. On faillit tous basculer dans le vide mais on réussit finalement à passer au travers.

Au détour de l'ultime virage, on vit enfin le jour poindre. On s'extirpa du goulet de pierre à quelques centimètres d'être ensevelis sous des mètres d'ossements et de pierre.

À l'horizon, je vis plusieurs bateau, sûrement ceux des pirates, voguant sur l'Ithilien, se dirigé vers Minas-Tirith, alors que près des rivés, deux villages étaient en flammes.

Aragorn tomba à genoux, décourager face à ce spectacle macabre

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Aragorn tomba à genoux, décourager face à ce spectacle macabre.

On resta silencieux, sachant très bien que l'on n'avaient pas assez d'hommes pour défaire l'armée du Mordor. Legolas posa une main sur l'épaule de son ami tout comme moi.

On se perdaient dans la contemplation de la scène se déroulant sur la rivière quand Gimli fit un petit hoquet surpris. On se retourna. Le roi des Morts nous faisait face et dit :

- On se battra.

- Excellente nouvelle. lui dit Gimli

On descendit sur la plage puis ont attendit, Legolas, Aragorn, Gimli et moi en ligne droite face à l'Ithilien.

Les bateaux arrivèrent enfin à notre hauteur.

- Vous n'irez pas plus loin ! dit Aragorn d'une voix forte

Il attira l'attention des pirates. L'épée sur l'épaule, il faut dire qu'il avait l'air intimidant. Il continua : 

- Vous n'entrerez pas au Gondor.

Les pirates rirent grassement.

- Et qui êtes-vous pour nous interdire le passage ? le défia le capitaine d'un bateau

- Legolas, envoyez une flèche de semonce au ras de son oreille. dit tranquillement Aragorn

- Visez bien. dit Gimli

Legolas décocha. La flèche se ficha dans la poitrine d'une homme.

Il regarda Gimli d'un air révolté. Discrètement, le Nain avait dévié son arc.

- Oh ! Et voilà l'ami, on vous avez prévenu ! improvisa-t-il, Préparez-vous à être abordés !

Les mercenaires s'esclaffèrent.

- Abordés ? Par vous et quelle armée ?

- Cette armée-ci ! dit tranquillement Aragorn, l'armée des morts apparaissant derrière lui.

Le roi traversa Aragorn en courant suivi de son armé qui passèrent à travers nous alors que nous restions tranquillement debout.

L'armé des morts se déversa sur les bateaux ennemis et tua tous les occupants des bateaux

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L'armé des morts se déversa sur les bateaux ennemis et tua tous les occupants des bateaux.

 Une fois que tous nos ennemis furent tué, on monta dans les bateaux avec l'armé des morts.

Alors que nous étions arrivé près des rives de la cité de Minas Tirith après une journée à vogué sur l'eau, je pouvais entendre les bruit de la guerre, y compris les Cris de Nazguls. Je préviens mes amis : 

- Il y a des Nazgul.

Aragorn me demanda : 

- Sait tu combien il y en a ?

Je lui dit : 

- Je l'ignore, leurs cris se sont tus.

Plusieurs minutes plus tard, on pût avoir un aperçu de la bataille. Des orques attendaient les bateaux. J'entendis sûrement leur chef dire :

- En retard, comme d'habitude. Pourriture de pirate. Vos lames ont fort à faire ici. Allez ras des mers, quittez vos navires.

Les bateaux arrivé presque collé à la rive, alors Aragorn sauta par dessus bord suivi de moi, Legolas et Gimli.

Aragorn s'avança épée levé, vers nos ennemis et on le suivi. Gimli nous dit à Legolas et moi :

- Il y en a bien assez pour tous les trois, que le meilleur des Nains gagnes.

On encocha nos flèche Legolas et moi alors que nous nous faisions traversé par l'armée des morts qui traverser l'eau sans difficultés.

On conta à voix haute le nombres d'Orques que l'on tués. Soudain, alors que l'on était enfin arrivé dans le lieu où se trouvait la vrai bataille, deux Oliphant arrivèrent vers nous. Aragorn nous cria : 

- Legolas, Anorïel !!!

On courus tous les deux vers un Oliphant chacun, je m'accrocha à l'une des défense du mien puis je me balança jusqu'à l'une de ses pattes les plus proches. Ensuite je sauta sur la patte arrière et je grimpa jusqu'à son dos. Je sortit mon arc et t'ira sur les hommes qui s'y trouver. Je continuer de conter à voix haute tout comme Legolas sur l'autre Oliphant. Une fois qu'ils furent tous tué, je m'accrocha à l'une des attaches qui pendait dans le vide puis je coupa toutes les lanières qui retenait la selle. Elle tomba de l'autre côté et ainsi, je me retrouva à nouveau sur le dos de la bête. Je me dirigea vers le haut de sa tête et y décocha deux flèches. L'Oliphant tomba en avant et je me laissa glissé sur sa trompe. En regardant à côté, je vis que Legolas faisait la même chose. J'atterris debout, souplement sur mes jambes devant Gimli, juste à côté de Legolas alors que les oliphants s'écrouler sur le côté.

Gimli nous dit : 

- Ça ne compte quand même que pour un.

Avec Legolas on se regarda avant de rire face à la jalousie du Nain.

Gimli dit aux Orques :

- C'est bon, venait vous battre.

Anorïel et la Terre du MilieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant