III Chapitre 1

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Cela faisait trois jours que nous étions partit secourir nos amis sans s'arrêté de courir, Gimli était à la traine derrière nous et n'arrêté pas de se plaindre. Au bout d'un moment Aragorn s'était arrêté près d'un rocher pour qu'il sache à peut près la distance qui nous éloigné encore des deux Hobbits et des Uruk-hai.

Il finit par nous annoncé :

- ils ont forcé l'allure, ils ont dû flairé notre présence, vite !!!

J'essaya d'encourager Gimli qui était loin derrière moi alors que je venais d'arriver là où Aragorn venais de partir.

- aller Gimli !

On repartit en courant. Je pût tout de même l'entendre se plaindre malgré la distance qui nous séparé :

- 3 jours et 3 nuits de poursuite sans manger ni se reposer et aucun signe de notre gibier alors que peut bien raconter un rocher

on continua à courir. Soudain Aragorn s'arrêta et ramassa la broche d'un des deux Hobbit. Aragorn dit :

- non s'en raison tombe les feuilles de la Lorien

Je retourna au près d'Aragorn alors que je venais de le dépasser de quelques mètres.

L'espoir renaît en moi de les savoir peut-être en vie et je dit à mon ami :

- ils sont peut-être en vie ?

Il me répondit :

- et ils ont moins d'un jour d'avances ! continuons !

Ont reprit notre course alors que Gimli venait à peine de nous rejoindre en tombant des rochets. Je lui dit afin de l'encourager :

- plus vite Gimli ! Nous gagnons du terrain.

Je l'entendis dire :

- Les longues distances m'épuises, nous les Nains sommes des sprinters redoutables sur les courtes distances.

On courras encore sur quelques mètres avant de s'arrêter sur un Rocher et admiré le Rohan. Aragorn nous expliqua :

- Le Rohan, Pays des Seigneurs des chevaux. Quelque chose d'étranges est à l'œuvres ici, une force maléfique donne des ailes à ces créatures. Et se dresse contre nous.

On descendit un peut des rochers moi en tête. Aragorn me demanda :

- Legolas, que voit vos yeux d'elfe ?

Je lui dit :

- Leurs traces dévient aux Nord-Est, ils conduisent les hobbits en Isengard.

Aragorn dit en chuchotant pour lui-même :

- Saroumane.

Nous reprenions notre course.

Je voyer bien que Gimli était en grande difficulté. Je l'entendis s'encourager lui-même en disant :

- il faut respiré c'est la clé, respiré.

Je dit à mes compagnons :

- ils courent comme si les fouets de leur maitres était à leur troussent.

Nous continuons de courir et pendant la nuit aussi. Le soleil venait de se levé, mais je remarqua une spécificité à ce soleil, je le dit à mes compagnons :

- un soleil rouge se lève, beaucoup de sang à du coulé cette nuit.

Soudain on entendit des bruits de sabots alors nous nous cachâmes entres deux gros Rochers. On vit passer tout un tas de cavaliers en armure. Je reconnus leurs armures comme étant ceux des Rohirims et Aragorn aussi car il se leva, je fit de même ainsi que Gimli.

Aragorn s'adressa aux soldats :

- Cavaliers du Rohan, quelle nouvelle des Hommes de la Marche !

Les Rohirims revinrent vers nous pour nous encerclées, lances pointé vers nous. Celui qui semblait être le chef s'avança plus en avant en demandant :

- que font un Elfe, un Homme et un Nain dans le Riddermark ? Répondez !

Gimli lui rétorqua :

- Donner moi votre nom dresseur de chevaux et je vous donnerais le mien.

Il descendit de son cheval et vint menacer Gimli en disant :

- Je vous couperez volontiez la tête Nains si elle sortait un peut plus du sol.

Je dégéna mon arc avec une flèche prête à être tirée et dit :

- vous seriez mort au moindre gestes.

Les lances se rapprochèrent de nous, menaçantes.

Aragorn baissa mon bras tenant mon arc. Aragorn reprit la parole afin d'apaiser les tensions qui envahissait l'environnement autour de nous.

- je suis Aragorn, fils d'Arathorn, voici Gimli Fils de Gloin et Legolas du Royaume Sylvestre. Nous sommes des amis du Rohan et de Théoden votre roi.

Le chef nous dit :

- Théoden ne reconnais plus ses amis de ses ennemis.

Il enleva son casque, révélant ses long cheveux blonds. Il continua :

- Pas même les siens.

Les lances se relevèrent, faisait ainsi partir la menace qui nous pesé. Le chef nous dit :

- Saroumane à empoisonné l'esprit du Roi et à revendiqué la suzeraineté de ces Terres. Mes cavaliers sont loyaux au Rohan et pour cela nous avons était Bannis. Le magicien Blanc est rusées, il va et viens à ce que l'on dit Vieillards enveloppé d'un manteau à capuchon et ses espions se faufile partout à travers nos filés.

Aragorn voulu le rassurer en disant :

- nous ne sommes pas des espions, nous pourchassons un groupe d'Uruk-hai en directions de l'ouest, ils ont emmenés captifs 2 de nos amis.

Le chef nous annonça :

- les Uruks ont été détruit, nous les avons massacrés pendant la nuit.

Gimli lui dit :

- mais il y avait deux Hobbits, avait vous vu deux Hobbits avec eux ?

Aragorn précisa :

- ils serait petits, des enfant à vos yeux.

Cependant le chef nous indiqua, détruisant notre espoirs de sauver nos amis, :

- il n'y a pas de survivant, nous avons empilés les carcasses et les avons brûlés.

Gimli sous le choc demanda :

- Morts ?

Le chef nous dit :

- Je suis désolé.

Il siffla et dit :

- Hasufel ! Arod !

Un cheval à la robe blanche répondant au nom d'Arod vient à moi et un cheval à la robe marron répondant au nom d'Hasufel se dirigea vers Aragorn.

- Puissent ses chevaux apporté meilleurs Fortune qu'à leur premiers maîtres, Adieu.

Il remit son casque et remonta à cheval.

- Cherchez vos amis, mais n'ayez pas trop d'espoirs, ses peine perdue sur ces Terres. Vers le Nord !

Tous les cavaliers partirent.

Anorïel et la Terre du MilieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant