Anorïel et la Terre du Milieu

Fin 2

POINT DE VUE Legolas

Le temps sembla se figé alors que je voyait le Troll retiré la lance du corps de la femme que j'aime et je croisa le regard emplie de douleurs de cette dernière.

Je me dirigea vers elle aussi rapidement que je put et réussi à envoyer une flèche en plein dans la tête du Troll qui s'effondra à côté d'Anorïel. Cette dernière s'écroula au sol mais fût retenu par moi qui l'avais rattraper à temps.

- Non, non, tient bon Anorïel, ça va allez, ça ne peut pas se passer comme ça.

La terre se mis à trembler et les créatures du mal s'agitaient en regardant dans la direction de leur maître après que celui-ci est pousser un râle rauque qui résonna en écho sur les murs de la porte noir. Les créatures du mal essayèrent de s'enfuir. Face à quoi ? Je n'en savais rien, j'était trop concentrer sur Anorïel. La tour où se trouver l'œil de Sauron s'effondra puis l'œil implosa. J'entendis de loin Merry crié tout joyeux :

- Frodon ! Frodon !!

La terre sous nos ennemis s'effondra et le volcan explosa. On perdit tous notre sourire en pensant à Sam et Frodon qui était sûrement encore sur le volcan au moment où ce dernier est entré en éruption. Les membres de la communauté à part les Hobbits, semblèrent enfin voir ma détresse. Ils se rapprochèrent de nous à part Gandalf qui partit sur un aigle.

Ce fut au moment où les aigles partaient vers le volcan qu'Anorïel perdit connaissance, pendant mollement dans mes bras.



Lorsque les aigles revinrent de la montagne du destin avec les deux Hobbits, celui monter par Gandalf récupéra le corps d'Anorïel afin de la ramener au Gondor le plus rapidement possible.

Une heure plus tard, le temps de préparer notre retour, nous repartions pour le Gondor. Je n'espérait plus qu'une chose, revoir Anorïel en vie et en bonne santé.

Lorsque l'on arriva, tout en haut de la citadelle, je fut des plus surpris de voir que des Elfes de la Lorien étaient ici. Je reconnu Orophin, le frère d'Haldir qui a du prendre sa place en tant que capitaine de garde et protecteur de la Lorien. Dès qu'il me vit, il se dirigea vers moi d'un air paniqué et me dit :

- Seigneur Legolas ! Je doit vous mener à la dame Galadriel, elle vous attend de toute urgence.

Je ne dit rien et le suivis rapidement, sentant que quelque chose de grave était en train de se passer.

Il me mena jusqu'à une des chambres mises à disposition pour les blessé grave lors de la précédente bataille, les moins graves avaient été soignés dans les couloirs ou les ruelles.

Il frappa à la porte avant de l'ouvrir doucement et de dire :

- Le seigneur Legolas, comme vous me l'avez demander.

Il s'inclina devant la dame Galadriel avant de repartir.

- Entrez Legolas.

J'entra donc dans la chambre, je vis la dame Galadriel, assise sur une chaise presque collé au lit. Sur le lit se trouver ma bien aimé couverte d'un drap jusqu'au dessus de sa poitrine. La dame Galadriel caresser tendrement ses cheveux comme pour la rassurer alors qu'elle était inconsciente.

La dame releva son regard vers moi, ses yeux trahissait une douleur émotionnelle et j'avais peur de comprendre ce qu'il était entrain de ce passer sous nos yeux.

- La vie est en train de la quitter, son esprit se dirige lentement vers les cavernes de Mandos. Nous ne pouvons plus rien pour elle. Elle ne survivras pas à cette nuit, je le sens.