Anorïel est une Elfe de 6340 ans, après avoir secourut les Nains, elle participeras à leur quête pour récupéré Erebor. Elle fera tout pour déjouer leur destins funeste mais réussiras-t-elle ?
60 années plus tard, Anorïel repart dans une nouvelle quê...
En regardant autour de moi, je pouvais voir que nous avions le dessus, l'armée des mort y ayant beaucoup contribuer.
J'étais désormais avec Legolas et Gimli en retrait et Aragorn plus en avant. Le roi de l'armée des mort et son armée derrière lui se tenait devant mon ami.
- Libérez nous.
Gimli secoua la tête et dit :
- Mauvaise idée. Très pratiques ces aides de camp. Même s'ils sont morts.
- Vous nous avez donné votre parole. Dit le roi à Aragorn.
- Je considère votre serment accompli. Allez, soyez en paix. dit respectueusement Aragorn.
Tel un nuage de fumée, l'armée des Morts s'évapora dans le vent.
Je vis Gandalf avec Pippin un peu plus en arrière eux aussi. Soudain on entendit des cris de désespoir. C'était Eomer qui tenait sa jeune sœur inconsciente dans ses bras. Mon cœur se serra en pensant à Eowen.
J'appris plus tard qu'elle avait survécu après avoir tué le roi sorcier d'Angmar, elle avait été soigner par Aragorn, elle avait même fait la rencontre de Faramir, le jeune frère de Boromir. Malheureusement, Merry avait toujours était introuvable jusqu'à ce que la nuit ne tombe. Jusqu'à ce que Pippin ne le retrouve et reste avec lui.
Le lendemain matin, on se réunis dans la salle du trône. J'étais au côté de Legolas et Eomer alors que Gandalf était plus près de Aragorn et Gimli était assis sur le trône de l'intendant en train de fumé une pipe.
Gandalf dit :
- Frodon est passer au delà de ma visions.
Et je dit :
- Ainsi que de la mienne.
Gandalf dit :
- Les ténèbres s'épaississes.
Aragorn le rassura en disant :
- Si Sauron avait l'anneau, nous le saurions.
Gandalf, en aucun cas rassuré, dit :
- Ce n'est qu'une question de temps. Il a subi une défaite c'est vrai, mais, mais derrière les murs du Mordor, notre ennemis se regroupe.
Gimli dit :
- hé bien, qu'il y reste. Et qu'il y pourrisse. Pourquoi s'en soucier ?
Gandalf lui dit :
- Parce-que 10 milles Orques se tiennent entre Frodon et la montagne du destin. Je l'ai envoyé à la mort.
Aragorn lui dit :
- Non. Il y a encore de l'espoir pour Frodon. Il a besoin de temps et d'un chemin sûr pour traverser les pleines de Gorgoroth. Et cela, nous pouvons le lui donner.
Gimli demanda :
- Comment ?
Aragorn dit :
- En attirant les armées de Sauron, Gimli. En vidant ses terres. Rassemblons toutes nos forces et marchons sur la porte Noir.
Gimli s'étouffe avec la fumé puis Eomer s'approcha d'Aragorn et Gandalf en disant :
- Nous n'obtiendrons pas la victoire par la force des armes.
Aragorn lui dit :
- Pas pour nous. Mais nous pourrons donner à Frodon sa chance. Si l'oeil de Sauron reste braqué sur nous. Rendons le aveugle à toutes autres choses en mouvement.
Je compris et dis :
- Une diversion.
Gimli dit :
- Une mort certaine, une faible chance succès, mais qu'attendons nous ?
Gandalf, toujours désespérer dit :
- Sauron soupçonneras un piège. Il ne mordra pas à l'appât.
Aragorn sûr de lui dit :
- oh, je crois que si.
Aragorn alla à la salle du trône afin d'utiliser le palanthir pour défier Sauron. Lorsqu'il revint, je remarqua qu'il n'avait plus le collier d'Arwen.
Tous les guerriers étaient rassemblées, même Merry qui avait été retrouvé par Pippin et ce dernier vinrent avec nous. Aragorn, était en tête de file avec toutes la communauté ainsi que Eomer. Les généraux eux étaient sur les côtés, nous étions tous à cheval sauf les soldats qui étaient à pieds. Aragorn avait revêtu une armure aux couleurs du Gondor.
Lorsque l'on arriva enfin en face des portes Noir, en hauteur, on se mit en ligne, la communauté plus en avant et Aragorn avec un cavalier tenant la bannière du Gondor se trouver devant nous. Pippin derrière Gandalf sur le cheval de ce dernier finit par demander
- Où sont-ils ?
On se dirigea vers la porte Noir, avec le cavalier tenant la bannière, Gandalf, Pippin, Eomer, Merry, Legolas, Gimli et moi. On arriva au pied de la grande porte.
- Que le seigneur de la Terre Noire s'avance ! Justice lui sera faite ! cria Aragorn
Après quelques interminables secondes de silence, l'épais mur pivota. Il laissa apparaître un cavalier seul.
Monté sur un cheval en armure, le cavalier avait une apparence atypique. Un épais casque à corne recouvrait le haut de son visage. Seule une bouche anormalement grande et ornée de dents noires dépassait.
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- Mon maître, Sauron le Grand, vous souhaite la bienvenue. Y a-t-il quelqu'un qui a autorité pour traiter avec moi ? demanda t-il devant notre manque de réaction.
- Nous ne venons pas traiter avec Sauron perfide et maudit. répondit Gandalf, Dites à votre maître ceci : les armées du Mordor doivent se disperser. Il doit quitter ces terres et ne jamais y revenir.
Le serviteur de Sauron dit :
- Ah, vieille Barbe Grise. J'ai là un souvenir que j'ai été chargé de te montrer.
Il sortit de sous sa selle une chemise blanche. La côte de Mithril de Frodon
