III Chapitre 8

186 9 1
                                    

Aragorn monta pour essayer de sauver Haldir, qui était encore en vie, malheureusement il était trop tard il eu juste le temps de le rattraper et lui parler avant que la vie ne le quitte.

Aragorn repartit se battre et descendit en bas en tombant avec une échelle. Je fut emmené sur le bastion avec d'autres soldats. Nous le défendions alors que les Orques trouver des stratagème pour monter sur le bastion. Nous arrivions à les empêcher d'arriver. D'en haut je vit que Aragorn et Gimli était en difficulté sur le pont en bas. Je cria : 

- Aragorn !

Je lança une corde, trouver, à mes amis, Aragorn la rattrapa en prenant Gimli. Je les remonta sur le mur avec l'aide des soldats.

Hama cria : 

- repliez-vous, repliez-vous !! Ils ont fait une percée, il y a une brèche dans la forteresse. Faut battre en retraite. Il faut battre en retraite. Au bastion.

Nous rentrâmes dans la grande salle. Et j'aida à renforcer la grande port.

Je pouvais entendre Théoden dire : 

- la forteresse est prise. Tout est fini.

Aragorn qui s'est dirigé vers lui dit : 

- vous avez dit que cette forteresse ne tomberez pas tant que vos hommes la défendrez ! Il la défende encore ! Ils sont morts en la défendant. N'y a-t-il pas un autre moyen pour les femmes et les enfants de sortir des cavernes ? Y a-t-il une autre issue ?

Hama finit par dire, sous l'insistance d'Aragorn, : 

- il existe un passage il conduit dans les montagnes. mais il n'iront pas loin, les Uruk-hai sont trop nombreux !

Aragorn lui ordonna : 

- faites dires aux femmes et aux enfants de passé par les montagnes ! Et barricader l'entré.

Hama partit prévenir les femmes et les enfants.

Théoden dit : 

- autant de morts, mais que peuvent les Hommes face à tant de haine.

Aragorn lui dit : 

- venez avec moi, venez à leur rencontre.

Théoden dit : 

- pour la mort et la gloire.

Aragorn ajouta : 

- Pour le Rohan. Pour votre peuple.

Gimli nous annonça :

- le soleil se lève.

Théoden dit : 

- oui, oui, le cor de Helm mes amis va retentir dans le gouffre une dernière fois !!

Gimli acquiesça en criant :

- Oui !

Théoden ajouta : 

- voici l'heure, l'heure de tirez l'épée ensemble.

Gimli se chargea de faire retentir le cor.

Théoden dit : 

- cruauté réveille toi, qu'importe le courroux, qu'importe la ruine, et que l'aube sois rouge.

Nous entendîmes le cor alors que nous montions sur les chevaux. La porte fut défoncé par les Uruk-hai.

Théoden dit : 

Anorïel et la Terre du MilieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant