III Chapitre 7

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 Après que les femmes et les enfants soit descendu dans les cavernes et les hommes revenus je vais à l'armurerie où je croise Legolas, Aragorn et Gimli.

Aragorn dit

- fermier, forgerons, garçons d'écurie, aucun n'est un soldat.

Gimli dit :

- la plupart ont déjà vu passer trop d'hivers.

Legolas ajouta :

- ou trop peu. Regardez les, ils sont terrifier, ça se lit dans leur yeux. Ils y a de quoi, trois cents contre dix mille ?

Aragorn dit :

- ils se défendront mieux ici qu'à Edoras !

Legolas, désespéré dit :

- Aragorn c'est une bataille qu'ils ne peuvent gagner. Ils mourront tous !

Aragorn finit par dire en criant

- alors je mourrai comme l'un d'entre eux !

Aragorn partit, Legolas voulut le rejoindre mais Gimli le stoppa et dit :

- laissez le mon ami, laissez le.

La nuit était tomber j'avait revêtus l'armure elfique que ma mère m'avait offert il y à des années, je pris mon arc, mes dagues et mes sabres jumelles offert aussi par ma mère pour mon tout premier voyage. Aragorn rentra dans l'armurerie et se prépara puis Legolas qui tendit une épée à Aragorn.

Legolas qui avait repris ses esprits dit : 

- Nous avons eu raison de vous faire confiance, pardonnez moi, j'ai eu tort de désespérer.

Aragorn lui dit en Sindarin : 

- il n'y à rien à pardonné

Gimli qui tenait sa côte de ses mains dit : 

- si on aurais eu le temps j'aurais fait ajusté cette cote.

Il laissa tomber sa côte qui était beaucoup trop longue.

- Elle est un petit peut serré à la poitrine

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- Elle est un petit peut serré à la poitrine.

Je rigolas doucement puis on entendis un cor. Je le reconnaîtrais entre mille.

Ce fut Legolas qui dit : 

- ce n'est pas un cor d'orques.

Nous sortons de l'armurerie et allons retrouvé le roi dehors. Lorsque nous arrivons une armée d'Elfe de Fondcombe était présent et un couple d'Elfes parlais au roi.

Anorïel et la Terre du MilieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant