I Chapitre 8

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Lorsque je me réveilla, j'étais dans mon ancienne chambre au palais du roi Thranduil. Legolas entra dans la chambre, il était armé comme si il se préparait à partir chasser des Orques. Il eu l'air surpris de me voir réveiller et me souris avant de dire :

- Je suis venu te voir avant de partir.

Je fronça des sourcils

- Tu part où ?

- Retrouver Tauriel, elle est partit chercher les Nains.

- Alors je viens avec toi.

- Tu viens à peine d'être soigné.

- Et je t'en remercie, mais je vais mieux et vaux mieux que je reparte le plus vite possible

- Très bien. Je te laisse te préparer.

Il sortit de la chambre après m'avoir embrasser et je me prépara.

On retrouva Tauriel près d'un lac, elle nous tourner le dos, Legolas arma son arc et Tauriel fit de même en se retournant

- Je vous ai prit pour des Orques

- si nous étions des Orques, vous seriez morte

Il abaissèrent enfin leurs arcs et Legolas dit

- Tauriel, vous ne pouvez traquez une trentaine d'Orques à vous seule.

- Mais je ne suis pas seule

- Vous saviez que je viendrais

Tauriel lui sourit et Legolas reprit son sérieux :

- Le roi est furieux Tauriel. Depuis six cent ans mon père vous accorde protection et privilège

Legolas la rejoignis

- Vous avez désobéit à ses ordres. Vous avez trahit sa confiance.

Tauriel ne dit rien

- Rentrez avec moi, il vous pardonneras.

- Mais pas moi. Si je rentre, je ne me le pardonnerais pas.

Elle partit un peu plus vers le lac

- Le roi n'a jamais laissé d'Orques parcourir ses terres. Et il laisserait ces vermines franchir nos frontière et tuer nos prisonniers.

- Ce n'est pas notre combat.

- C'est notre combat, ça ne s'arrêteras pas là. A chaque victoire, le mal ne feras que croître. Si votre père agit à sa guise, nous ne ferons rien. Nous nous terrerons dans nos murs. Nous vivrons loin de la lumière et les ténèbres s'installeront. Ne fait on pas partit de ce monde ? Dites-moi mon ami, quand avons-nous laissé le Mal devenir plus fort que nous ?

Je ne lui donné pas tord, elle avais raison sur toutes la ligne, et je savais que c'était les bon mots pour faire réagir Legolas. 

Nous avons suivis la piste des Orques qui nous as menés jusqu'à Lacville, la ville des Hommes qui a été construite sur l'eau après la destruction de Dale. Entre deux, j'ai sentit le dragon se réveiller. On sauva Bofur, que nous avons vu dehors, d'un Orque qui allait le transpercés. On vit les Orques qui étaient en train d'entrer dans une maison alors on s'y dirigea. Tauriel arriva en première puis moi et Legolas. Dans la maison se trouvait en plus des 3 Nains présents, deux jeunes filles et un jeune homme, sûrement les enfants du propriétaire. On les défendait et tuer les Orques

Seulement un des Orques réussi à sortir en sauta par la fenêtre et indiqua dans sa langue que j'ai apprise il y as déjà fort longtemps, que Thorïn s'était enfuit. Bolg ordonna qu'ils se regroupent près du pont.

Les Orques partirent. Le jeune garçon dit

- Vous les avez tous tuez

Legolas rassurant comme d'habitude lui dit franchement :

- Il y en as d'autres.

Legolas se dirigea vers la sortie

- Tauriel ! Anoriël ! Venez !

Je me suis mise au côté de Legolas, mais Kili n'arrêtait pas de grogner de douleur Oin (le médecin de la compagnie) dit :

- Nous allons le perdre !

Juste avant de sortit Legolas appela noter amie une nouvelle fois :

- Tauriel

Il sortit puis je dit à Tauriel en voyant qu'elle ne laisserait pas Kili mourir.

- Je te fais confiance, sauve le.

Je rejoignis ensuite Legolas pour tuer les Orques qui s'enfuyaient.

Seulement à un moment je fronça des sourcils et montra à Legolas un groupe d'Orques qui se dispersaient dans deux grandes rues. Je dit à Legolas :

- Tu prend la rue de gauche et moi la rue de droite, si tu as fini tu me rejoins et si j'ai fini avant toi, je te rejoins d'accord ?

- Oui

Legolas partit dans la rue de gauche et moi celle de droite. Grâce à mes pouvoirs de transformation, je finis rapidement par tuer tous les Orques du groupe que j'avais suivis. Je retrouva Legolas qui combattait encore. Il ne restait en fait qu'un seul orque, mais de loin de plus grand et le plus laid que l'ont aient affronté jusque là, c'était Bolg, le fils d'Azog. Legolas l'affrontait, armé seulement de l'épée de Thorin et de ses poignards. Quelques corps d'orques gisaient sur les côtés de la rue. Sous mes yeux alors que j'était encore trop loin d'eux pour faire quoique se soit car je n'avait plus mon arc, Legolas tenta de transpercer le cœur de l'orque géant avec son épée, mais l'ennemi se décala juste assez pour que l'épée frôle ses côtes. D'un geste rapide, il coinça la lame sous son bras. J'arriva enfin près d'eux, de surprise, l'orque relâcha Legolas qui tira à son tour ses poignards. On échangea tout les deux un regard puis on attaqua l'orque. Celui-ci poussa un grognement quand les lames s'enfoncèrent dans les interstices de son armure, mais les blessures étaient minimes par rapport à sa taille.

Anorïel et la Terre du MilieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant