( Josef Salavt - Diamonds )
Je suis assis sur le lit de Louis, on ne parle pas. Je ne sais pas si il s'agit d'un silence lourd ou apaisant mais on ne parle pas. Je regarde la porte, face à moi, sa porte toute blanche. J'entend la respiration calme et douce de Louis. J'ai encore les jambes tremblantes de peur pour Louis, mais aussi de haine, de dégout envers Niall. Il a dépassé les limites en se faisant passer pour lui. Je crois que si je suis autant énervé, c'est parce que j'ai eu réellement peur, mais une peur bleu que Louis ait vraiment un problème, j'y tellement cru que j'en avais les jambes tremblantes.
C'est bizarre d'être chez Louis, j'ai l'impression d'être dans un mystère, de percer un secret. J'ai l'impression d'avancer dans ce que je recherche et veut réussir. Je ne m'attendais pas à une aussi grosse maison, je ne m'attendais pas à que ce soit une personne âgée qui m'acceuille, je ne m'attendais pas à une chambre aussi grande, mais tout aussi froide et vide. Je regarde Louis du coin de l'oeil, mais j'ai la vue sur son pendentif qui contient deux photos. Quand j'ai regardé les deux photo à l'hôpital, sur une photo il y avait un couple, je pense, un couple jeune mais la photo était ancienne car la qualitée était mauvaise. Et sur la deuxième photo, j'avais reconnu la fille, la blonde qu'il y avait sur son fond d'écran de téléphone. J'essaye de comparer la photo du couple sur son pendentif et la femme âgée qui m'a ouvert tout à l'heure, mais je ne sais pas si se sont les mêmes personnes. Peut être qu'il s'agit de la personne âgée qui m'a ouvert, quand elle était jeune avec son mari que je n'ai pas vu ? Je n'en sais rien, je ne connais pas la vie de Louis. Je connais seulement son physique, sa maison, c'est tout. Je ressens juste qu'il est triste, qu'il cache quelque chose.
Je commence à gesticuler nerveusement, car je me sens mal à l'aise. Le silence est devenu un malaise, un gêne et je sais que Louis le ressent, parce qu'il se racle la gorge et se redresse.
- Tu peux rentrer chez toi si tu veux, je..
Mais la porte toque doucement et coupe Louis. On sursaute en même temps. Je regardais Louis parler, il avait l'air aussi mal à l'aise et ses doigts taper nerveusement contre ses cuisses. Je ne voulais pas rentrer, mais je n'ai pas eu le temps de répliquer. Louis se racle la gorge et me regarde, je ne sais pas ce qu'il attend pour répondre à la personne qui a tapé contre sa porte, j'ai l'impression qu'il a peur d'ouvrir.
- Je reviens, il dit, mal à l'aise.
Je fronce les sourcils et je le regarde partir vers sa porte. Je ne sais pas ce qu'il lui prend mais je le laisse faire, après tout, je n'ai rien à dire. Je le sens toujours aussi mal à l'aise, comme si quelque chose le perturbait. Il ouvre la porte. Je me penche sur le côté, curieux de voir qui est la personne qui à toqué mais je ne vois que de l'ombre. Je n'ai pas le temps de me remettre comme il le faut, que Louis sort de sa chambre et ferme la porte. Je me retrouve seul dans sa chambre, avec le silence. Je regarde autour de moi, comme si quelque chose d'autre que la couleur blanche de sa chambre allait m'intéresser mais je ne trouve rien. Un frisson froid et fort me traverse le corps, je ne comprend pas pourquoi il fait autant froid dans sa chambre, peut être parce qu'elle est grande, et qu'elle est presque vide.
Les bruits derrière la porte me font oublier ce détail, j'entend la voix de Louis, mais je ne comprend pas ce qu'il dit. J'entend une autre voix, mais faible. Je crois qu'il s'agit de la femme qui m'a ouvert la porte tout à l'heure. Je serais capable de me lever et d'aller écouter à la porte, de savoir ce qu'ils disent tellement j'ai une folle curiosité, et c'est ce que je fais. Je me redresse, prêt à aller écouter à la porte mais elle s'ouvre brusquement, ce qui me fait asseoir brusquement sur le lit. Mon coeur, battant à mille à l'heure, me fait mal tellement j'ai eu peur d'être surpris. Je fais comme si de rien était quand Louis entre et laisse la porte ouverte. J'avale difficilement quand je vois la personne qui m'a ouverte tout à l'heure, rentrer dans la chambre. Son sourire me rassure mais j'ai cet apréhension qu'elle va me virer de chez elle et qu'on va vivre un moment gênant.

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Putain de pari.
Fanfiction" - C'est bon, tu l'as gagné ton putain de pari, tu l'as réussi. Maintenant casse toi, je veux plus te voir ! - Louis je... - CASSE TOI ! "