EvilEyes { TOME I : La Lumière Ou Les Ténèbres}

Chapitre 20

Chapitre 20

Le réveil fut calme et doux. Quelques rayons de soleil filtré à travers les stores de la fenêtre de ma chambre. Je m'etira doucement, ressentant quelque courbature. A côté de mon lit était posé un sac avec un mot dessus. Je me leva doucement accompagné de mes fils toujours brancher à mon bras et attrapa le petit mot.
《 Ma puce, des vêtements propre pour ta sortie. Prévient nous si tu va au lycée ou rentre à la maison.
- Maman
Ps : Je t'es mis un peu d'argent pour un taxi
- Papa 》

Je sourit bêtement, ils étaient vraiment les meilleures. Je n'aurais pas pu avoir de meilleur personne à mes côtés et j'etait heureuse qu'ils m'aient adopté. Personne n'aurait était aussi patient et si compréhensif surtout après ce qui c'était passé hier soir. Je fut examiné par le médecin et ils me debranchèrent de tout ses machines ainsi que de ses injections. Ils me firent une prise de sang, me disant que je pourrais sortir que si tout les résultats était bon alors en attendant je partis à la douche. Dans le sac je trouva de quoi me maquiller, m'attacher les cheveux et m'habiller. Malheureusement ce n'était pas vraiment les vêtements que je rêver mais c'était toujours mieux que rien. J'enfila jean taille haute avec des trous montrant légèrement mes genoux et un pull crop top lache beige sans débardeur en dessous, qui laisser donc apparaître légèrement mon ventre... Vraiment pas grand chose mais je n'aimais pas exposer mon corps qui attirait déjà pas mal de regard. Puis mis les chaussures montante qui s'accordait assez bien. Mon teint était doux, on aurait dit qu'il ne c'était rien passer et mes yeux n'avais rien de choquant. De simple yeux veyron bleu et vert, qui me donner un regard ténébreux intensifié par le maquillage. Je laissa mes cheveux détacher et rangea mes affaires. Une fois revenu dans la chambre je regarda longuement mon sac me demandant si je devait allez au lycée ou pas... J'avais déjà rater les premières heures de cour mais je savais que mes amis m'attendait impatiemment grâce à leur message qu'ils m'envoyait. Une infirmière entra dans la chambre avec un grand sourire contente et me tendis des papiers de sortie. Tout mes résultats était parfait... Sûrement trop parfait vue la noyade que j'avais fait ! J'envoya un message à mes parents pour les prévenirs que je sortait de l'hôpital et que finalement j'irai en cours. Il était midi pile quand le taxi se gara devant le lycée... J'avais carrément raté toute la matinée et tout le monde devait se trouver à la cantine. Les personnes qui traînait devant le lycée me regardèrent, certains me firent même des signes de main... C'est vrai que personne n'était réellement au courant, ils savaient un peu et se douter sûrement mais rien d'officiel et puis ils m'acceptaient comme ça. Tant mieux car je ne compter pas changer ! Je m'arrêta à mon casier et me dirigea vers la cantine. Les couloirs étaient vide vue le beau temps auquel ont avait le droit aujourd'hui et tout mon monde parfait s'écroula d'un coup me faisant revenir à la réalité que je fuyait. Il était la, devant moi, Garett... On c'était tout les deux stoppé dans notre marche, ouvrant de grand yeux. Mon ventre se tordit et mon coeur se mit à tambouriné violemment. Ses doux yeux étonné qui me regarder avec un peu de soulagement qui se démarquer. Des cernes violacé marqué le dessous de ses yeux, il avait l'air si fatigué et dévasté, que ça me fit un pincement au cœur. Lui qui était toujours si parfait, si heureux, aujourd'hui il n'en était plus rien ! Garett était toujours aussi beau malgré tout à mes yeux et j'avais encore plus envie qu'avant de me jeter dans ses bras et de l'embrasser. Sûrement une pulsion mais tellement oppressante. Si seulement il pouvais réellement  être là personne avec qui j'avais partagé quelque rire et secret... La personne dont j'étais tomber 2 fois follement amoureuse ! Son visage et expression me prouvait qu'il était vraiment triste mais j'arriver encore à douter de lui. Je réussi enfin à détourner le regard remettant mes cheveux en arrière et continua d'avancer, passant à quelques millimètre de lui. J'avais l'impression que ça se passer au ralenti, pouvant sentir son odeur boissé m'enivrer. Encore une fois ce fut intense de mon côté, j'arriver difficilement à passer à côté de lui en l'ignorant...  J'avais envie de lui demander des compte mais à la fois je n'était pas prête à lui parler. J'inspira profondément une fois arriver devant la porte du self. Ce gars me faisait vraiment perdre pied. J'entra dans la cantine et comme d'habitude je cru qu'un projecteur ce braquer sur moi mais je fit juste un grand sourire, totalement à l'aise comparé à avant. J'entendis plusieurs cri et fut complètement écrasé par mon groupe d'amis qui me sautèrent dessus nous faisant chaviré par terre. Ont fini mort de rire par terre, suite à la chute qu'on avait tous fait. Je me releva difficilement encore courbaturé et Carla m'aida avec un petit sourire contente et soulagé. Je prit un plateau repas et m'assis avec eux à leur table. A mon plus grand étonnement ils ne me posèrent aucune question mais me racontèrent la mâtiné, le fait que Marie ne faisait plus entendre parler d'elle. Apparemment son groupe d'amis l'avaient lâcher, juste une autre fille qui était rester à ses côtés. Ont parla de tout et de rien en mangeant et je ne m'était jamais senti aussi bien et c'était vraiment appréciable. Personne ne parler de Garett, ça semblait être un sujet délicat même Yann semblait ne pas s'aventurer sur ce terrain paraissant glissant. Je devait passer à autre chose désormais, ne plus m'attarder sur la personne que je pensait avoir côtoyé mais ça me paraissait impensable. Je leur annonça que je ne viendrai pas au bal du lendemain, préférant me reposer, feignant une grande fatigue alors qu'en vrai je péter la forme et que mes courbature étaient supportable. Le reste de la journée se passa à merveille. Je faisait en sorte de ne pas croisé à nouveau le regard de Garett sachant très bien que ça repartirait directement en hypnose et que je pourrait pas résister éternellement à l'envie de lui parler. Même si je savais que je m'était trompé sur lui, rien n'était cassé, il y avait toujours un lien attractif entre nous et quand au dernier cour de la journée je me retrouva assise à côté de lui ce fut indéniable. Je sentais son regard ce posé sur moi à plusieurs reprise et je lutté pour ne pas le regarder à mon tour. C'était bien plus que mon cœur qui me demander d'agir mais toute mon âme qui voulait vraiment me pousser à avoir une discussion sérieuse avec lui pour mettre les choses au clair. Et c'est vrai que je ne pourrait pas passer à autre chose tant que je n'aurait pas compris ses agissements, pourtant je n'étais pas encore prête à me confronté à toute réalité qui pourrait être. Je ne bouger pas de ma chaise, n'osant pu faire de mouvement complètement paralysé ce qui accentua mes douleurs lombaires, ma jambe tremblante, mon stylo secoué frénétiquement entre mon index et mon majeur et le cœur battant à 200 à l'heure. C'était horrible ! Le stress monté de plus en plus, devant complètement insoutenable, tellement insoutenable que je sentis la même sensation que la veille. L'énergie qui se mit à courir mes veines, je posa mon stylo sur mon cahier et une petite onde sortant de ma main expulsa ma trousse par terre. Tout les regards se tournèrent vers moi et je sentis le rouges empourpré mon visage. Je m'excusa légèrement me penchant sous ma table pour ramasser le petit dégât que j'avais causer mais ressentais une envie de fou rire en même temps sûrement à cause du stress que j'essayer de contenir. Je me redressa pour m'asseoir correctement puis cet fois je ressentis comme un coup de jus dans tout le corps et cela a cause de ma paume de main qui avait frôler celle de Garett. Je me recula au fond de ma chaise violemment en croissant directement les bras. Je l'aperçu du coin de l'œil frisonné. La sonnerie retenti enfin et je resta assez choqué de le voir jeter ses affaires dans son sac et partir à une vitesse folle de la classe, semblant fuir. Yann me regarda étonné, me fit un petit signe de main et parti à sa suite. Les rôles c'était inversé la, c'est moi qui aurait dû le fuir... Je me senti vexé et rit sarcastiquement, ne comprenant plus ce qui ce passer. Avait-il vue quand j'avais expulser ma trousse avec mon pouvoir et il avait pris peur ? Ou était ce l'électricité que je ressentait à chaque frôlement de peau qu'il avait aussi ressenti ? A chaque frolement et decharge que je me prenais j'avais la pulsion de vouloir continuer et ne plus le lâcher. C'était tout un combat de lutter contre cet envie. Je rangea mes affaires, récupéra mes affaires d'hôpital dans mon casier et Kévin m'accompagna à mes petits jobs. Nos parents lui avaient demander de rester avec moi, le temps d'être sur que tout allée vraiment bien et que je retourne pas me fourré au milieu d'un lac, voir pire ! En rentrant je m'écroula sur mon lit, cherchant du regard l'ombre qui se trouver la il y a encore si peut de temps... Mais ma chambre était complètement vide de présence et je soupira assez triste de ne plus pouvoir lui parler. J'ouvris mon téléphone et pianota par message avec mes amis puis je rouvrit les discussions avec Garett... Son dernier message avant la catastrophe était pourtant si adorable et attentionné. Ce dernier m'avais souhaité une bonne nuit et demander de prendre soin de moi. Aucune prévention, aucun signe de problème à l'horizon. J'inspira profondément et envoya un simple ''hé..'' qu'il me renvoya quelque minutes après puis silence total, je ne répondis pas et il me renvoya rien. Juste ce petit message me suffisait pour le moment, c'était un premier petit pas et puis je ne compter pas m'expliquer avec lui par message mais en face. D'ailleurs le fait qu'il me réponde assez rapidement montré qu'il n'avais pas fuis par peur car sinon il m'aurai ignoré, du moins... Je pense. Après tout il n'avais plus aucune raison de me vouloir du mal tout avait était exposé en plein jour d'un coup, il n'avais aucun intérêt à trouver à continuer de me parler... Alors pourquoi il me répondait ? Je ne comprenais vraiment rien à ce garçon... ni à l'amour d'ailleurs ! J'avais juste peur d'être aveuglé par mes sentiments pour lui, tant que ça ne se calmer pas le mieux était de s'éloigner.. J'avais porter trop d'espoir en cet ''relation'' et trop de confiance.
Je m'endormis sans manger et sereinement. Les questions me trottait en tête mais je n'était pu aussi dissiper qu'avant, la vérité et l'acceptation faisait des miracles !