Chapitre 6

18 4 1
                                    

- Non Dylan arrête...s'il te plaît ! Dit Stéphanie en pleurant de rire.

- Vas-y dis le ! Je veux t'entendre dire je t'aime stéph. Lui dis-je en continuant mes chatouilles.

- Jamais, t'es moche...t'es pas du tout beau cher Dylan. Dit-elle en rigolant.

- Ah...Ouais moi pas beau ? Retire le tout de suite...Mes chatouilles lui font crier.

Heureusement qu'il y a personne chez elle.

- C'est bon, c'est bon... J'abandonne ! T'es le plus beau sur terre. Ses yeux me fixent et je m'y plonge totalement.

C'est fou comment je me sens bien avec cette fille, en la regardant j'ai l'impression de nager dans les nuages...

Nos lèvres s'attirent, une sorte de force magnétique.

Ses lèvres contre les miennes, elle mord mes lèvres , juste après je sens le goût de sa langue qui entre en contact avec la mienne.

Rien ni personne ne peut gâcher se plaisir.

Au fur et à mesure, l'excitation monte et il fait de plus en plus chaud. J'en peux plus et je vois qu'elle non plus.

Nous retirons tous les deux nos hauts en même temps.

Sa poitrine contre mon torse, je m'en passerai jamais de cette douceur.

Cette fille a fait naître quelques chose en moi, cette chose est bien trop grande pour mon entendement.

Distrait par mes pensées, je ne m'aperçois pas mais elle retire ses sous-vêtements.

Cela veut dire que les prémices sont finies.

Cette journée s'annonce tellement magique, elle et moi juste nous deux et personne d'autre.

[ son de alarme qui retentit ]

C'est quoi ce bruit dans ma tête ?

J'ai du mal à me concentrer...

- Stéphanie...?!?

- Je suis désolé pour tout, à Dieu Dylan ! Dit-elle les larmes aux yeux.

- De quoi tu parles...éh...où vas tu ? Stéph...Stéphanie ? J'ai du mal à l'apercevoir.

Son image est de plus en plus floue, le monde où je suis est entrain de disparaître.

Tout cela n'était...

C'était juste un rêve, juste un rêve.

**

J'ouvre les yeux.

- Juste un rêve... Je continue de dire.

Mon visage en une seconde se retrouve inondé de larmes.

Je ne peux les stopper, elles ne font que couler et pourtant je pensais tous ça derrière moi.

kid LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant