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Ne me mens pas.

Le fait que je n'étais pas amoureuxe de toi n'empêche pas le fait que tu puisses me blesser. Ne pas être amoureuxe de toi ne m'empêche pas de t'aimer. Pas comme je voudrais, pas comme on le voudrait et toi même tu m'as dit que tu n'étais pas amoureux. Je crois. Mais je t'aimais et la verité fait peut être mal, le mensonge blesse tout autant. C'est peut être même pire. Je me fous que tu aimes quelqu'un d'autre, je me fous du fait que tu relationne avec d'autres gens que moi. Mais ne me mens pas. Ne me dit pas que je suis lae seul.e que tu veu voir, lae seul•e que tu veux tenir dans tes bras pour t'endormir. Je ne sais pas si déjà, au bout de quelques semaines, tu m'as oublié. je ne sais pas si j'existe encore, si tu me vois parfois au détour d'un couloir, fantôme appaisant dans ta mémoire, nos souvenirs communs qui se mélangent et s'entremêment.

Ma peau dans tes draps, ma peau sous tes doigts. Tu me manques et tu m'effaces. Ne me mens pas. Ne m'efface pas.

Ne pas être amoureux de toi ne ferme pas l'accès que tu as à mon coeur, à mon corps, à ma tête et chaque fois que je te vois heureux avec elle, chaque fois que je vois ton silence, tes mots d'amour pour elle et ton bonheur qui n'a rien à voir avec moi, j'ai mal. J'ai mal. J'ai mal.

Encore une personne à oublier. Plus qu'à laisser mes pensées te dire au revoir.

Adieu Aelex.

Peut On Réellement Choisir Ce Que Nous Sommes ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant