La traversée des décennies me font surfaces. J'ai longtemps détesté ce sentiment, j'aimerais m'en débarrasser.
Je me souviens de ce jour pluvieux, où les nuages grisâtres ne cessaient de pleurer leur peine ensembles. J'apprenais ce jour là, que la plus fine de mes actions était certainement celle qui allait me coûter mon renvoie.
Je suis (Y/n) (Y/l), ancienne représente économique de Liyue, virée à tord pour actions non commises. Et je compte bien, me hâter de tous leur montrer qui je suis réellement. Afin qu'ils prennent tous et toutes consciences que l'on ne s'en prends pas avec n'importe qui.
Personne ne m'a aimé comme je m'aime, et personne ne m'aimera en retour.
J'ai autrefois eu un grand-père, il était bon, humble et ouvert d'esprit. Son caractère est avec évidence mon opposé. J'admirais sa personne pour être franche, je voulais lui ressembler. Mais, chez les jeunes enfants, être en avance sur son temps tel que lui est un défaut. Alors les gens commencèrent à me mépriser dû à ma maturité, mon caractère et mes divers hobbies.
Mais cela n'était pas dérangeant, étant donné que j'avais toujours mon grand-père à mes côtés, il était le seul à m'encourager et me hisser de l'avant. Essayant de mettre en avant son savoir afin que je puisse être plus éclairé et instruite sur un quelconque sujet.
Il était admirable, les mots me manquent pour exprimer la personne incroyable et fascinante qu'il était.
Oui, aujourd'hui je suis... Laide de l'intérieur, sans amis, abandonné, détesté et toujours aussi méprisable qu'auparavant. Je n'ai jamais aimé personne d'autre que lui, et cela le restera.
Lorsque je suis devenue une des Sept Étoiles de Liyue j'ai été honoré, car sans lui, je n'aurais jamais pu obtenir ce rôle. Quitte à rester seule, autant le faire tout en servant à quelque chose d'utile. Je gérait l'économie de ce pays, j'ai été la personne la plus qualifié pour atteindre ces attentes, et je le suis toujours. Mais seulement, personne ne voit réellement tes qualités et ton utilité mais les défauts de ta propre personne. Je ne suis personne, et vous n'êtes personne. Si l'on venait à vous comparer à moi vous verriez que je suis au dessus de vous.
Alors évitez, de comparer l'incomparable.
Je hais l'incompétence, et vous êtes incompétents, alors évitez de vouloir me ressembler.
Je me rappelle encore du jour de sa mort, elle me laisse un goût amer :
"??: Dame (Y/n), une personne souhaite vous consultez immédiatement.
(Y/n): Dites lui que je n'ai pas de temps à lui consacrer.
??: C'est part rapport à votre grand-père.
Je m'étais mise à lâcher toutes mes occupations, j'étais terriblement inquiète à son sujet. Je ne supporterai d'entendre ces mots fatidiques.
(Y/n): Dépêchez-vous de l'amener ici.
C'est ce que cette idiote de comptable fit, ce monsieur qui s'avance vers moi... Un employé du Funérarium Wangsheng ?
?: Navré de vous dérangez, mais il semblerait que je suis dans le malheur de vous annoncez le décès de votre proche, Chinzhoï (Y/l). Toutes mes condoléances.
Ce jour-là... Avait débuté un cauchemar interminable."
Cela va faire 1 an que j'ai rejoint ces aventuriers, je ne me sens pas à ma place. Ce qui est vexant, c'est le fait que Catherine, met mon salaire sur le comptoir avant de partir. Comme si elle ne voulait pas me croiser. Sympathique. Pour ce qui est de cet Adepte, je ne l'ai plus recroisé depuis.
Mais honnêtement, il arrive que de temps à autre, je puisse ressentir sa présence. Il n'y avait pas que sa présence que je pouvais sentir mais toutes ces mauvaises ondes qu'il portait sur le dos. Un amas de tels choses est invivable pour un mortel.
Je m'ennuie, cette routine est ennuyeuse. Alors que je me rendais au village Qingce pour une nouvelle quête, je passais entre les différentes habitations, jusqu'à entendre du grabuge vers l'une d'entre elles.
Il y avait ce vieux, mettant à la porte des enfants, il avait l'air d'être un vieux croulant.
?: Tss... Ceux-là..
Il ronchonnait, et venait de ce rendre compte de ma présence. C'est étrange, j'ai comme un air de déjà vu. Je n'y fis pas trop attention et me retournais, prête à repartir vers le Port de Liyue.
?: Hé ! Toi là, la fille aux cheveux (c/c).
(Y/n): Un problème Monsieur?
?: Ton visage m'est familié, mais je n'arrive pas à te reconnaître.
(Y/n): Je n'ai pas besoins d'être reconnu.
J'en ai assez de ces idioties, cette fois-ci, j'allais réellement m'en aller.
?: Tu ne serais pas la fille de ce vieux beau parleur de Chinzhoï?
Je mettais arrêter net, sans aucuns mouvements. Cet homme connaissait mon grand-père ?
(Y/n): Sûrement, et si c'était le cas je ne vois en quoi cela vous regarderait.
?: Ton tempérament est toujours aussi froid, tu es totalement son opposé.
(Y/n): Venez-en directement au but, qu'est-ce que vous cherchez?
?: J'ai comme qui dirait, un objet qui pourrait non pas t'être utile mais préserver son honneur.
(Y/n): Il me semble vous avoir demander d'être directe.
?: Je tiens un magasin remplit de toute sorte d'instruments, il y en a un qui appartenait à ton grand-père. Il est à l'intérieur.
(Y/n): Je n'ai pas forcément envie d'entrer chez un inconnu.
?: Aah... Tu es vachement sur la défensive.
(Y/n): C'est évident, je ne vous connais pas.
?: À toi de voir si tu souhaites savoir ou non. Étant donné que tu n'es pas intéressé, je crois bien que je devrais te laisser.
Il se retourna et s'avança de plus en plus de son habitation. Non- je voulais savoir qu'est-ce qu'il détenait ! Il s'agit de mon grand-père.
(Y/n): Attendez!
Il se retourna alors qu'il montait les escaliers.
(Y/n): Faites moi voir ce dont-il possédait !
À suivre
VOUS LISEZ
Xiao x Fem!Reader {Forgive Who You Are}
FanfictionLes étoiles semblent si proches à tes côtés. Je veux les admirer... N-non... Je vais me corriger... Je veux t'admirer, apprend moi à t'aimer correctement, je ne suis pas doué.