6. Opération Tsuchigomori !

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La lumière me réveilla. J'ouvris donc les yeux. La Lune était encore visible, même de jour. Dehors, il y avait un grand arbre et un potager. Un garçon traînait dehors. Que faisait-il là ? Je l'observais. On dirait qu'il attendait quelque chose.

- Bouh !

- AAAAAH ! criai-je en sursautant.

- Je t'ai eu, encore une fois !

Sans surprise c'était...

Note de l'auteure : Merci de compléter la phrase en suspension, cher lecteur

- C'est une très mauvaise idées ce que tu viens de faire, lui dis-je avec la fameuse voix du matin (trop sexy enft).

- Pourquoi, t'es encore en vie, non ? me répliqua-t-il.

J'ouvris la bouche pour lui répondre, mais aucuns sons ne sortit. Il marquait un point.

- Bon, l'affaire est close, fit-il d'un ton innocent.

Je déteste avoir tort. Il n'allait pas m'avoir aussi facilement !

- Oui, mais tu m'as fait peur !

- Je savais pas que les animaux avaient des sentiments !

- Hé ! T'es censé avoir oublié !

Il rit.

- C'est parce que les chats c'est mignons.

- Quel est le rapport ? lui dis-je.

Note de l'auteure :

Quelque part en France :

Squeezie : Le rapport ! Le rapport, quel est le rapport !

- Aucun.

- Ah, bah merci, lui fis-je indifférente.

...

- Bon, dis-je au bout d'un moment, qu'est-ce qu'on fait, chef ?

- J'attendais que tu me demandes ça !

- Waw, quelle coïncidence, Père Fouras !

D'après son regard, je pouvais constater qu'il ne voyait absolument pas de quoi je parlais.

- Ne me dit pas que..., murmurai-je, tu ne connais pas Père Fouras ...?

- Euh... fit-il hésitant, non.

En même temps, on est au Japon ici, c'est normal. Mais pourquoi je comprenais ce qu'on disait ? Bah j'en ai pas la moindre idée, donc faites comme si on était des français (Hmmm, baguette).

- Tu veux m'abandonner ? lui proposai-je.

- Non... Merci, répondit-il.

- Ah ouf, alors ! Enfin, sinon, on fait quoi ?

- Suspense !

Ah, super ! Je suis censée rentrer chez moi et on ne me dit rien, yes.


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- C'est donc ça, ai-je dis, une bibliothèque. On doit la démonter ?

Hanako m'avait emmené dans la bibliothèque du lycée Visiblement, il n'y avait personne. Même pas la dame du CDI :

"WOOOOOOW ! BANDE D'ESPRITS, SORTEZ OU J'VOUS BUTE AVEC MON ENCYCLOPÉDIE !"

C'est vrai qu'on peut s'en passer.

Et si j'étais dans Toilet-Bound Hanako Kun...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant