Marco. ( En réécriture )

Nouvelle demeure .

Pdv de Luna :

Je suis rentrée dans « ma chambre » puis je me suis allongée sur mon lit et je n'ai fait que ça pendant toute la matinée.

Allongée en fixant un point imaginaire au plafond.

Pourquoi Catherine m'a-t-elle fait toutes ces confessions ?

Et à quoi bon me dire tout ça ?

Quel rôle je joue exactement dans ce qu'il se passe actuellement dans ma vie ?

Toutes ces questions là pour l'instant demeurent sans réponses.

Après avoir passé toute la matinée à ne rien faire je me décide enfin de me lever et de découvrir l'endroit où je suis prise en captive .

Je me réengage dans le long couloir sombre.

Il y a énormément de porte je ne sais même pas où donner de la tête.

De grands cadres sont accrochés aux murs, dans les mêmes tons que tout le manoir, c'est à dire noir ,gris et des touches de blanc qui se font rares.

Je ne sais même pas combien il y a d'étages de par le nombre d'escaliers que je croise à chaque pas que je fais.

En revanche j'ai remarqué une grande porte au premier étage qui est un peu isolé, curieuse que je suis vous vous doutez bien que j'ai beaucoup hésité à m'aventurer et à découvrir ce que cache cette porte.

Ai-je vraiment besoin de vous préciser que bien évidemment j'ai suivie mes pensées ?

J'arrive devant la grande porte et me décide de l'ouvrir.

Et à ma plus grande surprise cette dernière s'ouvre et ce qui se cache derrière me coupe le souffle.

Une énorme salle remplie de bureaux, d'ordinateurs et d'écrans plats et d'autres machines dont je ne connaissais même pas l'existence .

J'avance de quelques pas avant de me décider à vite ressortir de là avant que Monsieur le mafieux ne rentre à la maison.

Et bien évidemment ça aurait été beaucoup trop simple si je réussissais vraiment à faire ce que je voulais ! 

En me tournant je me prends le mur.

Ou du moins je me prend ce que je pensais être un mur, jusqu'à ce que je relève mes yeux et tombe sur le regard furieux de Marco.

Marco : Tu fais quoi ici ? Me dit-il d'une voix dure.

Moi: Je pique-nique ça ne se voit pas ? Répondis-je avec arrogance.

Oui j'aime bien prendre des risques.

Mais en même temps comment voulez-vous que je m'adresse à lui ?

Je suis encore beaucoup trop énervée.

Il ne faut pas oublier que je suis actuellement dans un endroit qui m'est complètement inconnu en compagnie de personnes dangereuses dont je ne connais même pas la vraie identité.

Il me regarde un moment avant d'arquer un sourcil et de se rapprocher de moi.

Marco : Écoute moi bien je ne me répéterais pas deux fois , ici tu fais comme chez toi tu vas où tu veux quand tu veux mais avant cela tu me demandes l'autorisation et si je ne suis pas ici tu demandes à Catherine . Est-ce bien clair ?

Moi : Je ne suis pas votre marionnette ou votre objet.  Si vous pensez pouvoir me contrôler alors détrompez-vous, de plus si ma présence vous dérange autant vous n'avez qu'à me laisser partir, je ne demande que ça ! Dis-je en haussant le ton .