Mon univers

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Pdv de Luna :

Je commence réellement en avoir marre de leur courir après, et moi qui pensais que j'allais me faire abandonner ...
Je peux vous dire que je me suis royalement trompé.

Moi : Lamin ! Viens là immédiatement. Criais-je a bout de souffle.

Lamin: Mais maman je veux voir papa. Me dit-il en me tendant ses petits bras pour que je le prenne dans les miens ce que je fis immédiatement.

Je le portais alors qu'il me regardait de ses grand yeux marrons.

Lamin: Papa m'a dit qu'il allait m'acheter une Lamborghini. Me dit-il en jouant avec mes cheveux.

Je gloussais alors qu'il continua son activité.

Tel père tel fils.

Au même moment deux bras musclés s'enroulèrent autour de ma taille.

Marco: Et voilà que la famille est au complet. Me susurre une voix rauque que je ne connais que trop bien.

Je me retourne alors pour lui faire face un énorme sourire au visage.

Moi : Chéri.

Marco : En chair et en os. Me dit-il en me prenant Lamin toujours occupé à jouer avec mes cheveux. C'est son passe-temps favoris. Et encore une fois tel père tel fils.

Lamin se rend compte alors que ce n'est plus moi qui le tiens et aborde désormais une mine des plus joyeuses.

Lamin : Papaaaa ! Dit-il en s'accrochant au coup de son père pour lui offrir une étreinte des plus chaleureuses.

C'est la plus belle toile que mes yeux aient vus.

Marco : C'est que je t'ai manqué bonhomme. Lui dit-il en l'enveloppent dans ses bras de manière protectrice.

Lamin: Oui ! Et d'ailleurs elle est où ma Lamborghini ? Dit-il en croisant ses petits bras.

Moi: Mais que lui as-tu encore promis ? Dis-je à l'intention de mon mari qui affiche un sourire moqueur.

Marco: Rien d'impossible.

Moi : Marco ! Dis-je d'une mine dépassée.

Incorrigibles.

Lamin: Je pense que maman n'aime pas les voitures.

Marco :Oh que si elle adore ça. Dit-il en me fixant un moment alors que je fronce sourcils d'incompréhension.

Mais je comprend très vite qu'il fait sûrement référence à la semaine dernière ou disons que la route du retour de notre petit tête à tête à très vite dérapé. Et cela s'étant produit sur la banquette arrière d'une de ses voitures ...

Moi : Tu es impossible ! Dis-je en essayant de cacher mes rougeurs.

Il dépose Lamin par terre qui court vers l'un des gardes du corps à l'autre bout du jardin pour lui montrer l'élastique qu'il a quelques secondes plus tôt détaché de l'unique tresse que j'avais faites et laissé retomber entre le reste de mes cheveux lâchés.

Et quand à Monsieur il s'approche lentement mais sûrement vers moi pour me tirer par la taille et déposer délicatement ses lèvres sur les miennes.

Il m'avait terriblement manqué.

Il avait du partir une semaine pour un voyage d'affaire. Je déteste ça mais je n'avais pas le choix. Parfois il fallait faire des efforts.

Il se détache de mes lèvres et vient prendre une de mes mèches entre ses doigts.

Marco : Je t'aime. Souffla t-il tout bas.

Frissons.

Moi : Et je t'aime encore plus.

Marco : Ça je ne pense pas que ce soit possible angel. Tu es la lumière qui a éclairé mon univers ténébreux. Et tu le resteras à jamais. Toi et notre fils êtes les êtres les plus précieux à mes yeux.

Mes yeux se remplirent de larmes face à ses mots qui me touchèrent profondément.

Je l'aimais plus que tout.
Lui et notre fils.
Nous.
Simplement nous.

J'étais épanouie. Et ça c'était en grande partie grâce à lui.

Cet homme qui au début était pour moi un monstre et devenue aujourd'hui le père de mon enfant et mon âme sœur.

Une larme solitaire coula sur ma joue. Mais il l'efface rapidement avant de m'embrasser le front et de me coller à son torse.

Marco : Je ne veux pas voir de larmes. Jamais.

Moi : C'était des larmes de joie. Répondis je aussitôt.

Marco : Cela ne change en rien le fait que je ne veux pas te voir pleurer. Sinon je peux te donner une réelle raison d'avoir les larmes aux yeux. Me dit-il dans le creux de mon coup là où il dépose de petits baisers qui me font perdre la tête.

Moi : Tu ne peux pas t'empêcher de sortir des choses inappropriées ! Dis-je en lui tapant doucement l'arrière du dos.

Marco: Comme si ça te dérangeais. Dit-il en me mordillant cette fois-ci le coup.

Je ricane avant de le repousser légèrement et de lui donner une tape sur l'épaule.

Moi : Arrête tes conneries et allons déjeuner. Lui dis-je en lui prenant la main.

Marco : A vos ordres madame mais tu ne m'échapperas pas longtemps. Me répond-il avec un clin d'œil.

Je leva les yeux au ciel et nous rentrâmes tous ensemble chez nous.

J'espère que nous resterons toujours épanouie comme cela.
Que notre famille restera réunit.

Amour. Bonheurs. Souvenirs.
C'est tout ce que je nous souhaites et c'est aussi ce que je VOUS souhaites à vous les lecteurs de cette courte histoire.

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Et voilà ! C'est la fin. Déjà ? Ou pas je ne sais pas si c'est long. En revanche j'ai adoré écrire cette histoire et j'espère sincèrement qu'elle vous a plu ! N'hésitez pas à la partager avec vos ami(es) ou encore à voter et commenter. Ça me fait vraiment plaisir.
On se retrouve bientôt pour une nouvelle histoire qui sera encore plus ... intéressante 😉

A très bientôt.

L.

Marco. ( En réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant