Marco. ( En réécriture )

Dans tes bras

Coucou tout le monde ! J'espère que vous allez toutes et tous super bien ! Ça fait super longtemps que je n'avais pas sorti de nouveau chapitre alors je me suis dit qu'aujourd'hui c'était l'occasion. J'espère sincèrement qu'il vous plaira ! N'hésitez pas à me faire savoir vos avis, vraiment ils comptent énormément pour moi. De cette manière je pourrais adapter l'histoire selon vos goûts ou encore modifier ma manière d'écrire ! 🤷🏻‍♀️
Peu importe juste n'hésitez pas à partager votre avis dans la bienveillance bien évidemment 😉

Et puis maintenant je vous dis bonne lecture ! ❤️
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Pdv de Marco :

Pathétique. C'est tout ce que je peux dire.

Il n'y a aucune surveillance, et nous n'avons rencontré aucun homme pour l'instant ce qui laisse le territoire à mes hommes pour se disperser petit à petit jusqu'à prendre le contrôle de la totalité de ce lieu pourri.

Je reste tout de même vigilant car bien que ce con de Victor ne soit pas doué d'une grande intelligence je ne baisse jamais mes gardes, même face à un faible comme lui.

Il a essayé de me berner une fois et essayé de me voler en faussant des papiers pensant que je n'allais pas m'en rendre compte.

Un sourire étira mes lèvres à cette pensée si stupide.

Quel sombre idiot.

Et bien évidemment j'en suis pas resté à la. J'ai pris ma revanche comme tout mafieux qui se respecte. Mais lui, il a décidé de s'en prendre à moi par l'intermédiaire d'une femme innocente qui n'a rien demandé du tout. Et le plus important c'est que ce n'est pas n'importe quelle femme. Raison de plus pour que je le démembre au cutter.

On arrive dans un couloir au sous-sol. Pleins de porte longent les murs. Mais celle qui attire mon attention et celle du milieu. Elle est entre ouverte.

Je m'approche silencieusement et ma vue se noircit lorsque j'aperçois Luna étendue sur un maigre matelas au sol. Ses longs cheveux noirs recouvrent la quasi totalité de son visage, ne permettant pas de voir si des dégâts ont été causés. Et rien que cette idée là ravive encore plus le feu déjà bien entamé en moi.

Il pensait tout de même pas que j'allais négocier avec une rançon ou une connerie du genre.

Avec moi c'est âme contre âme.

Je ne perds pas de temps et fous un coup de pied dans la porte qui se fracasse contre le mur attirant par la même occasion l'attention d'un homme chauve qui jusque là été posé sur une chaise à côté de Luna.

Le chauve me regarda avant de sortir son flingue.
Piteux.

Il n'eut même pas le temps de prononcer sa phrase qui je suppose allait être un truc du genre « Ne bougez pas ou je tire », qu'il faisait déjà parti de l'autre monde. Paix à ton âme.

Je me dirige à pas pressé vers mia moglie qui la respiration saccadée s'est recroquevillée sur elle même.

Ils vont me la payer.

Moi : Luna. C'est moi. Dis-je en essayant de contrôler le timbre de ma voix.

Aucune réaction ne se fait entendre hormis des pleures silencieux accompagné d'une respiration irrégulière sans oublier les tremblements de son corps frêle contre le miens.

J'allais la soulever du matelas lorsque soudainement une voix que j'aurais souhaité ne pas entendre fait écho dans mes oreilles.

Tu es arrivé au mauvais moment la limasse. Au mauvais moment.