𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟔: 𝐇𝐎𝐒𝐓𝐈𝐋𝐄 𝐐𝐀𝐌𝐀𝐑𝐈.

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Hey les badass girls, ça-va? 🌹


Bon, là je dois vous parlez concernant Nafir, mais comme ça fait longtemps, je vous laisse avec la suite, on parle à la fin ! ❤️

(Je fais plus les images trop la flemme PTDR)


Bonne Lecture! 📖

Xoxo - Iamkunafa. 🍓





















Oman.

Flash-back. Il y a sept mois.





NAFIR.










Lentement, ma paupière s'est ouverte. Couverte d'un filtre noir.

Il fait nuit.

Je n'ai pas réussi à savoir où je suis...

Le cheminement de mon cerveau vers le savoir a duré à mon sens tellement longtemps. Sans succès.

Alors j'ai fermé les yeux.










Quand le voile noir de mes paupières à de nouveau laisser libre court à ma vision. Le soleil à pénétrer mes iris.

J'ai plissé les yeux. Voir m'a fait extrêmement mal. Et je sais déjà que mes yeux sont sensibles à la lumière forte.

J'ai gardé les yeux plissés pendant de longues minutes silencieuses.

J'ai inspiré. Mes poumons se sont gonflés comme une manière de me dire... Ça fait longtemps.

J'ai continué de respirer.

J'ai respiré.

Laissez la vie souffler mes organes.

Je me suis jamais senti aussi vivant.

Alors j'ai fermé les yeux.

Peut-être qu'ainsi, la sensation sera éternelle.







La troisième fois.

J'ai eu un visage familier devant le mien.

J'ai reconnu la déformation des traits de visage. C'est de la surprise, un choc, une sorte d'étonnement presque palpable.

— Nafir !?

Entendre mon nom.

Je reconnais la voix. C'est Noham, j'en suis certain.

— Wah, Nafir ! Je vois tes yeux ! Tu peux parler ou pas !?

J'ai essayé. Mes lèvres se sont entrouvertes mais j'ai ressentie une telle sécheresse entre ma gorge que rien n'est sorti.

— Putain oui !? J'écoute ! Vas y ! Aller ! Putain !

Il a placé sa paume sur mon torse. Cet enfant n'a aucun savoir-vivre et pour peaufiner son geste Noham a littéralement mis son oreille sur ma bouche.

— J't'écoute hein. Souffle pour voir ! Ah non mais imagine tu pues de la bouche ! Enfin-. Euh, bref ! Souffle ?

Je suis incapable de lui dire de me donner un peu d'air, mais honnêtement la première chose que j'ai voulu faire c'est rire. Les souvenirs se cognent dans ma mémoire, je me rappelle de lui, de sa façon d'être drôle sans le faire exprès.

NAFIR, le magnifique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant