𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟗: 𝐉𝐄 𝐒𝐀𝐔𝐑𝐀𝐈𝐒 𝐓'𝐄𝐗𝐀𝐔𝐂𝐄𝐑.

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Holà babiees, ça-va? 🌹


⚠️⚠️⚠️ CELLES QUI CALCULENT PAS LES NOTES D'AUTEURS, JE VOUS OBLIGE AUJOURD'HUI À LIRE MA NOTE À LA FIN DU CHAPITRE SVP ! ⚠️⚠️⚠️


Bisous bisous ❤️


Je vous laisse avec la suite ! ❤️


Bonne Lecture! 📖

Xoxo - Iamkunafa. 🍓











NOOR.






— MAMAN !?

En entendant mon fils pleuré, j'ai sursauté en voulant me redresser sauf que son bras m'en à empêché. Sans le vouloir j'ai sombré dans une sorte de léthargie paralysante. J'ai tout de suite senti mon cœur à tambouriner violemment dans ma poitrine, mais il n'a pas éternisé sa peau sur moi.

En tournant la tête vers lui, mes yeux à moitié endormis ont trouvé sa couleur grise. Un haut-le-coeur de terreur m'a pris, je n'ai pas dormi de la nuit, je me sens atrocement épuisée par un stresse horrible et la fatigue. J'ai invoqué mon Seigneur autant que j'ai pu...

À mon sens rien d'autres ne me sauverais... Je n'avais que ça. De toute façon, je le sais mieux que quiconque, il n'y a que ma foi qui me ferait avancer.

— Va.

Sa voix à retenti tel un gong dans mon ventre, j'ai senti mon estomac se tordre douloureusement. Son ordre m'a fait me lever en quatrième vitesse. Il s'est redressé, mes émotions sont en alertes. Vraiment ce que je ressens à son égard me fait très peur. Je me suis empressée de mettre le maximum de distance entre lui et moi pour rejoindre mon fils en courant dans sa chambre.

Les pleurs de mon bébé mon dépêché vers lui. Le coeur meurtri, j'ai la sensation que l'odeur de Nafir s'est incrustée au fond de mon être. J'ai des frissons désagréable qui m'horrible, et s'ajoute à ça mon inquiétude pour Taimim, d'habitude c'est toujours moi qui le réveille...

En ouvrant sa porte je l'ai trouvé en train de glisser sur le ventre. Prêt à quitter son lit. Il a tourné la tête vers moi, revoir son visage m'a tout de suite redonner un regain de bonheur intense. Soudainement, mes angoisses se sont évaporés je n'avais plus aucun problèmes parce que ma seule priorité c'était de serrer mon amour dans mes bras.

— Oh bonjour mon ange... prononçais-je amoureusement en me baissant pour le prendre, bonjour mon amour.

Je l'ai embrassé sur toute la sa tête toute douce. Je n'arrivais plus à m'arrêter, il fallait que je le sente, son odeur, sa chaleur. C'était mon cocon dans ce cauchemar. Un moment de tendresse que je n'avais pas l'impression de mériter, mais avec mon ange dans mes bras c'était comme si je tenais trop d'or, trop d'amour...

— Maman...

Je lui ai essuyé ses larmes avant qu'une de mes mains ne prenne ses petits doigts, je lui ai fait de gros bisous. Tout chez lui me paraissait à croquer. J'ai presque eu envie de rire. Quelques larmes ont grisé son visage rond alors je l'ai encore serré très fort contre moi.

NAFIR, le magnifique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant